justi a écrit :
Nébal a écrit :Kurt Steiner a beau multiplier les rebondissements et construire un univers pour le moins original et foisonnant, on s’ennuie. Enfin, en tout cas, JE me suis ennuyé.
Notons que malgré le ressenti négatif personnel, des élèments positifs sont également mis en avant.
là ben tu vois, c'est typo le bon ton de la bonne chronique, Nébal chou parle de lui, de son ressenti et ça c'est incontestable
et moi ça me va, jusqu'à ce qu'il dise C'EST trop écrit
(outre que je ne vois réellement pas ce qu'il veut dire) on passe du ressenti à une critique "apparente" (je dis apparente parce que ne reposant sur aucune tentative ni de définition ni d'analyse) sur la littérarité du texte.
alors que
"le style m'a fait chier parce que trop : ampoulé, phrases trop longues, tournures lourdingues et/ ou archaïque, y'a des imparfait du subjonctif, le ton est précieux, y'a des mots de plus de trois syllabes, figures de styles à la tonne" (whatever, je sais toujours pas ce qu'est "trop écrit") là ça fonctionne en tant que chro du ressenti par rapport à la langue...
foilà
ou alors on fait une critique et on se sert des vrais outils critiques pour juger de la littérarité du texte, un truc à cheval entre les deux, qui fait mine d'utiliser lesdits outils lorsqu'en fait il n'use que du ressenti, pour moi c'est à la limite de la faute de culture perso du chroniqueur et/ ou de l'escroquerie intellectuelle
comme je sais Nébal capable de mieux (on ne lit pas impunément dix livres par semaine, ou alors c'est à désespérer Billancourt) ça m'agace
Par ailleurs, oui bien sûr la critique ayant été positive je suis sûre que j'aurais moins réagi, j'ai adoré ortog jadis et ce jugement me heurte. Mais ça ne change pas pour autant la validité de mes arguments métacritiques (^^) ça veut simplement dire que lorsqu'il fait la même en positif pour un livre que j'aime bien (ou pas d'ailleurs), je laisserais pisser le mérinos, vu que j'ai pas intérêt à descendre un livre que j'aime bien
(euh suis je bien claire là^^)