La page 21 est en face.orcusnf a écrit : Comment tu fais pour dépasser la page 20 ?
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- orcusnf
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et la page 22 alors ? Dur de tourner la page sans se demander si on a pas mieux dans sa pile à lire. ( wonderful par exemple)fabrice a écrit :La page 21 est en face.orcusnf a écrit : Comment tu fais pour dépasser la page 20 ?
Sinon, je viens de lire les tueurs de temps. Comme à chaque fois avec gérard klein, la claque. J'ai toujours l'impression d'avoir lu son meilleur space opéra jusqu'au moment où je me souviens des précédents, et je me demande alors comment les classer. Dans celui là, on a finalement un serpent ourobouros, la fin est prévisible puisque le runi ne peut pas mourir, sinon les runi du futur ne connaitront pas le jeu d'échec. mais on se demande quand même comment shangrin va se sortir de ses ennuis, alors que le monde entier est presque contre lui. D'autant que le runi, qui peut sembler être au début une sorte de deus ex machina qui résout ses ennuis, se révèle au fond un handicap plutôt qu'un atout. Et donc comme d'habitude, on a un roman court mais beaucoup plus complexe que des pavés, et bien meilleur une fois la dernière page finie.
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Petit retour sur La Compagnie Noire. J'en suis au 3ème tome et, malheureusement, ce que je craignais est arrivé : le style de l'auteur se dilue pour se rapprocher de ce qui se fait de pire en fantasy... Et comme, sur le fond, l'histoire ne casse pas des briques, La Compagnie Noire perd son principal atout et devient une banale histoire de fantasy de plus, avec tous les clichés et les longueurs que cela implique.
SPOILERS
Dans le 1er tome, tout était relaté du point de vue de Toubib, l'annaliste de la Compagnie. Et dans la mesure où Toubib n'est pas écrivain, on y retrouvait une écriture "non littéraire" assez surprenante qui faisait tout le charme du livre (absence d'introduction des personnages, que le lecteur est censé connaître puisque ces annales sont la suite d'autres chroniques qu'il n'a pas pu lire, des évènements importants racontés au détour d'une phrase, quand des anecdotes s'étalaient sur une page, etc.).
Dans le 2ème tome, Cook s'est mis en tête de "faire l'écrivain" : ainsi, la moitié de l'histoire est relatée de façon plus littéraire. On y découvre ce que sont devenus Corbeau et Chérie, 6 ans après la bataille de Charme, et leur histoire est étroitement liée à celle de Shed, un aubergiste. Le livre est bon, car la Compagnie et ses aventures occupent tout de même une place importante, et l'histoire de Corbeau est suffisamment glauque et morbide pour tirer le livre vers le genre horrifique, notamment grâce à toutes ces petites trouvailles bien barrées propres à l'auteur (le château construit avec les cadavres que vend Corbeau...). Pourtant, et c'est peut-être dû au changement de traducteur, le style des annales de Toubib devient un peu moins brutal, moins direct.
Et puis voilà le 3ème tome. Cette fois, Cook décide de faire passer la Compagnie au second plan. Il se borne à la faire camper sur la Plaine de la Peur, un cadre pourtant génial (les menhirs parlants, les baleines volantes...) et, par une ellipse assez gonflée de 10 ans, met la Compagnie au service de Chérie qui, de serveuse, devient le général de la rebellion, tacticienne de génie. Bon, pourquoi pas... Mais le revirement est un peu facile après tout ce qu'a fait la Compagnie pour la Dame. On devinait bien qu'on en arriverait là, mais Cook a parfois tendance à verser dans la facilité en expédiant tous ces coups de théâtre sur les dernières pages de ses livres.
Mais là où le livre pose problème, c'est que Cook se met en tête de nous raconter par le menu comment la Dame et les Asservis ont été libérés. A la rigueur, une page de résumé nous aurait suffi mais il préfère nous raconter, avec un style plus classique que celui des annales (qui nous font vite constater ses limites formelles), TOUTE l'histoire du sorcier qui a réveillé la Dame. Et là, rien ne nous est épargné : la femme acariâtre, le fils de retour de ses études dans une autre contrée qui vient annoncer son mariage, etc. Et au bout d'un moment, habitués que nous sommes aux idées fracassantes de Cook, on commence à bailler devant cette histoire hyper classique (franchement, on se fout de connaître la vie de ce sorcier). On attend donc avec impatience le retour vers les aventures de la Compagnie, mais voilà : elle ne fait pas grand chose, la Compagnie, du moins dans le premier tiers du livre. Il ne reste plus qu'une poignée d'hommes vieux et fatigués terrés dans une grotte et menés par une muette, les trois sorciers ne peuvent pas utiliser leurs pouvoirs en sa présence... Et, autre problème : l'intérêt du cycle venait du fait que ses héros se trouvaient du côté des "méchants". En abandonnant partiellement son style, en décimant sa compagnie et en la mettant au service des gentils, tout en la faisant passer au second plan, Cook jette aux orties tout ce qui faisait le sel de sa création.
SPOILERS
Dans le 1er tome, tout était relaté du point de vue de Toubib, l'annaliste de la Compagnie. Et dans la mesure où Toubib n'est pas écrivain, on y retrouvait une écriture "non littéraire" assez surprenante qui faisait tout le charme du livre (absence d'introduction des personnages, que le lecteur est censé connaître puisque ces annales sont la suite d'autres chroniques qu'il n'a pas pu lire, des évènements importants racontés au détour d'une phrase, quand des anecdotes s'étalaient sur une page, etc.).
Dans le 2ème tome, Cook s'est mis en tête de "faire l'écrivain" : ainsi, la moitié de l'histoire est relatée de façon plus littéraire. On y découvre ce que sont devenus Corbeau et Chérie, 6 ans après la bataille de Charme, et leur histoire est étroitement liée à celle de Shed, un aubergiste. Le livre est bon, car la Compagnie et ses aventures occupent tout de même une place importante, et l'histoire de Corbeau est suffisamment glauque et morbide pour tirer le livre vers le genre horrifique, notamment grâce à toutes ces petites trouvailles bien barrées propres à l'auteur (le château construit avec les cadavres que vend Corbeau...). Pourtant, et c'est peut-être dû au changement de traducteur, le style des annales de Toubib devient un peu moins brutal, moins direct.
Et puis voilà le 3ème tome. Cette fois, Cook décide de faire passer la Compagnie au second plan. Il se borne à la faire camper sur la Plaine de la Peur, un cadre pourtant génial (les menhirs parlants, les baleines volantes...) et, par une ellipse assez gonflée de 10 ans, met la Compagnie au service de Chérie qui, de serveuse, devient le général de la rebellion, tacticienne de génie. Bon, pourquoi pas... Mais le revirement est un peu facile après tout ce qu'a fait la Compagnie pour la Dame. On devinait bien qu'on en arriverait là, mais Cook a parfois tendance à verser dans la facilité en expédiant tous ces coups de théâtre sur les dernières pages de ses livres.
Mais là où le livre pose problème, c'est que Cook se met en tête de nous raconter par le menu comment la Dame et les Asservis ont été libérés. A la rigueur, une page de résumé nous aurait suffi mais il préfère nous raconter, avec un style plus classique que celui des annales (qui nous font vite constater ses limites formelles), TOUTE l'histoire du sorcier qui a réveillé la Dame. Et là, rien ne nous est épargné : la femme acariâtre, le fils de retour de ses études dans une autre contrée qui vient annoncer son mariage, etc. Et au bout d'un moment, habitués que nous sommes aux idées fracassantes de Cook, on commence à bailler devant cette histoire hyper classique (franchement, on se fout de connaître la vie de ce sorcier). On attend donc avec impatience le retour vers les aventures de la Compagnie, mais voilà : elle ne fait pas grand chose, la Compagnie, du moins dans le premier tiers du livre. Il ne reste plus qu'une poignée d'hommes vieux et fatigués terrés dans une grotte et menés par une muette, les trois sorciers ne peuvent pas utiliser leurs pouvoirs en sa présence... Et, autre problème : l'intérêt du cycle venait du fait que ses héros se trouvaient du côté des "méchants". En abandonnant partiellement son style, en décimant sa compagnie et en la mettant au service des gentils, tout en la faisant passer au second plan, Cook jette aux orties tout ce qui faisait le sel de sa création.
« J’ai un projet, devenir fou. »
Charles Bukowski
Charles Bukowski
Je disais récemment que j'avais relu Carrie, je me suis revu le film dans la foulée et je m'interroge. Est-ce que je suis la seule personne au monde qui chiale en regardant Carrie ? Ça ne m'avait pas fait ça quand je l'avais vu ado, mais je ne sais pas comment dire, c'est la façon dont Sissy Spacek interprète le personnage. Toute la scène du bal, quand on sait à quoi elle mène, c'est monstrueusement triste. Sans doute qu'ado, j'étais encore trop proche de tout ça pour être touchée par certains sujets.
Sinon, parmi mes lectures récentes : La chambre de sable de Joëlle Wintrebert. J'ai adoré regarder interagir ses personnages en me demandant comment tout ça allait se terminer. Mais surtout, même si j'ai toujours été impressionnée par l'écriture de Joëlle, je trouve qu'il y a un petit quelque chose en plus dans ce livre, une grâce particulière, c'est vraiment de toute beauté.
Et comme c'est pas tous les jours que plusieurs de mes auteurs préférés hors genre (voire de mes auteurs préférés tout court) publient des bouquins en même temps, je me fais une semaine Nancy Huston (Passions d'Annie Leclerc + L'espèce fabulatrice) et Tonino Benacquista (Malavita encore). Nancy Huston, c'est une des rares personnes dont je lise tous les essais, j'adore sa pensée, sa vision du monde, son écriture (moi quand je serai grande, je veux écrire comme Nancy Huston - je sais, y a encore beaucoup de boulot) J'aime beaucoup les idées développées dans L'espèce fabulatrice sur le rapport à la fiction, mais je regrette un peu que ça ne m'ait pas remuée comme son génial Journal de la création, qui m'avait fait remettre en cause pas mal d'idées reçues sur mon propre rapport à l'écriture (et à la maternité, et à plein d'autres choses).
Et pour Benacquista, moi j'aime bien quand il met en scène des personnages italiens (ou italo-américains comme ici), ça me rappelle ma famille. Enfin, à part le côté mafieux.
Sinon, parmi mes lectures récentes : La chambre de sable de Joëlle Wintrebert. J'ai adoré regarder interagir ses personnages en me demandant comment tout ça allait se terminer. Mais surtout, même si j'ai toujours été impressionnée par l'écriture de Joëlle, je trouve qu'il y a un petit quelque chose en plus dans ce livre, une grâce particulière, c'est vraiment de toute beauté.
Et comme c'est pas tous les jours que plusieurs de mes auteurs préférés hors genre (voire de mes auteurs préférés tout court) publient des bouquins en même temps, je me fais une semaine Nancy Huston (Passions d'Annie Leclerc + L'espèce fabulatrice) et Tonino Benacquista (Malavita encore). Nancy Huston, c'est une des rares personnes dont je lise tous les essais, j'adore sa pensée, sa vision du monde, son écriture (moi quand je serai grande, je veux écrire comme Nancy Huston - je sais, y a encore beaucoup de boulot) J'aime beaucoup les idées développées dans L'espèce fabulatrice sur le rapport à la fiction, mais je regrette un peu que ça ne m'ait pas remuée comme son génial Journal de la création, qui m'avait fait remettre en cause pas mal d'idées reçues sur mon propre rapport à l'écriture (et à la maternité, et à plein d'autres choses).
Et pour Benacquista, moi j'aime bien quand il met en scène des personnages italiens (ou italo-américains comme ici), ça me rappelle ma famille. Enfin, à part le côté mafieux.
Je la trouve plus cruelle que triste à proprement parler, cette scène. Et pour moi elle est encore plus dérangeante en se disant que ses auteurs eux-mêmes se rendent compte qu'ils sont allé trop loin au moment où le seau tombe. Après, devant cette scène, tout le monde se sent plus ou moins concerné car à peu près tout le monde a vécu au moins une humiliation au collège. Quelque part la façon dont De Palma joue là-dessus, en faisant durer la préparation, est un peu facile (mais bon, c'est son boulot de jouer avec nos sentiments, après tout).
Je n'ai pas lu le livre mais je trouve que c'est une histoire très adolescente, qui montre à quel point l'adolescence n'est pas juste un passage difficile, mais peut représenter une période de réel traumatisme qui peut conditionner toute une vie, dans la mesure où on construit sa personnalité à cet âge. Je ne sais plus où j'ai lu ça, peut-être dans ANATOMIE DE L'HORREUR, mais King expliquait qu'il s'était inspiré de 3 filles qu'il avait connues au collège et harcelées par leurs "camarades" pour écrire CARRIE, et certaines avaient très mal tourné dans leur vie d'adulte.
Pour l'anecdote, il s'agit du premier livre publié de King. Il l'avait jeté à la poubelle et c'est sa femme qui l'a récupéré pour l'envoyer à un éditeur.
Je n'ai pas lu le livre mais je trouve que c'est une histoire très adolescente, qui montre à quel point l'adolescence n'est pas juste un passage difficile, mais peut représenter une période de réel traumatisme qui peut conditionner toute une vie, dans la mesure où on construit sa personnalité à cet âge. Je ne sais plus où j'ai lu ça, peut-être dans ANATOMIE DE L'HORREUR, mais King expliquait qu'il s'était inspiré de 3 filles qu'il avait connues au collège et harcelées par leurs "camarades" pour écrire CARRIE, et certaines avaient très mal tourné dans leur vie d'adulte.
Pour l'anecdote, il s'agit du premier livre publié de King. Il l'avait jeté à la poubelle et c'est sa femme qui l'a récupéré pour l'envoyer à un éditeur.
« J’ai un projet, devenir fou. »
Charles Bukowski
Charles Bukowski
Qu'est-ce qui te fait penser ça ? Je n'ai ressenti ça ni dans le livre, ni dans le film. Au contraire, Chris me semble être le seul personnage qui n'ait jamais d'états d'âme, et Billy Nolan se contrefout de ce qu'il est en train de faire, il se contente de suivre le mouvement. Ce qui ressort de cette scène dans le film, c'est l'euphorie totale de Chris au moment de passer à l'acte.Florent a écrit :Je la trouve plus cruelle que triste à proprement parler, cette scène. Et pour moi elle est encore plus dérangeante en se disant que ses auteurs eux-mêmes se rendent compte qu'ils sont allé trop loin au moment où le seau tombe.
Autant j'ai trouvé que certains passages entre Carrie et sa mère étaient un peu exagérés (mais c'est peut-être volontaire, Piper Laurie explique dans les bonus du DVD qu'elle a accepté le rôle pour son côté satirique), autant je trouve que tout le passage du bal est dosé à la perfection. J'étais scotchée par la mise en scène d'ailleurs. Le genre de film dont on pourrait décortiquer chaque scène pendant des heures.Après, devant cette scène, tout le monde se sent plus ou moins concerné car à peu près tout le monde a vécu au moins une humiliation au collège. Quelque part la façon dont De Palma joue là-dessus, en faisant durer la préparation, est un peu facile (mais bon, c'est son boulot de jouer avec nos sentiments, après tout).
Et c'est vrai que Carrie joue sur des sentiments universels. Même sans parler d'humiliation au collège, pour peu que tu aies connu cette impression d'être en décalage, de ne pas réussir à t'intégrer ou à être accepté par les autres, tu te reconnais forcément dans cette histoire. Plus particulièrement dans le roman où tout cet aspect est nettement plus développé et plus troublant.
Tu devrais. J'adore l'adaptation qu'en a faite Brian De Palma, mais pas mal d'aspects sont perdus en cours de route (ce qui était nécessaire de toute façon). Le personnage de Carrie est légèrement différent d'une version à l'autre et je trouve ce décalage intéressant. Et certains aspects du film sont difficilement compréhensibles sans avoir lu le roman. La raison pour laquelle Sue Snell décide de prêter son petit ami à Carrie, par exemple, c'est un aspect très intéressant du roman. A la première vision du film, je croyais qu'elle était complice de la farce, mais ça n'a rien à voir.Je n'ai pas lu le livre (...)
Et puis franchement, un premier roman comme celui-là... chapeau bas.
Dans la préface de la version du roman que j'ai lue récemment, il parle de deux jeunes filles. On reconnaît effectivement Carrie à travers le portrait qu'il en fait. Et la façon dont il parle de son regret de n'avoir rien fait à l'époque éclaire le roman (et le personnage de Sue Snell, un peu sacrifié dans le film) sous un jour intéressant.Je ne sais plus où j'ai lu ça, peut-être dans ANATOMIE DE L'HORREUR, mais King expliquait qu'il s'était inspiré de 3 filles qu'il avait connues au collège et harcelées par leurs "camarades" pour écrire CARRIE, et certaines avaient très mal tourné dans leur vie d'adulte.
J'ai vu le film il y a longtemps, et je ne sais pas pourquoi j'ai gardé le souvenir du personnage de Travolta qui commence à s'apercevoir de sa connerie (peut-être l'espace d'un plan...). Enfin en tout cas, ce qui est sûr, c'est qu'à un moment ils regrettent tous 

« J’ai un projet, devenir fou. »
Charles Bukowski
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Ben écoute, j'ai vu le film il y a trois jours et je n'ai absolument pas perçu ça. Par contre, quand Nancy Allen parle de la façon dont elle a joué cette scène (dans les bonus du DVD), elle insiste sur le plaisir quasi sexuel que prend son personnage au moment de mettre la farce à exécution. Quand tu vois la scène, c'est effectivement ce qui ressort. Pour moi, la seule personne qui ait le moindre remords par rapport à Carrie dans le film, c'est Sue, et elle n'est pas complice de la farce : elle y contribue malgré elle en permettant à Carrie d'assister au bal.Florent a écrit :J'ai vu le film il y a longtemps, et je ne sais pas pourquoi j'ai gardé le souvenir du personnage de Travolta qui commence à s'apercevoir de sa connerie (peut-être l'espace d'un plan...).
Par contre, on est un peu en train de flooder là, non ?
Il faudrait que je le revoie. Le pied pris par Nancy Allen quand l'innocence et la naïveté de Carrie sont souillés, ça je m'en souviens très bien. Il y a chez elle une espèce de plaisir sadique à salir ce qui est pur qui me rappelle une phrase de FIGHT CLUB, après que le narrateur ait totalement explosé la tronche d'un jeune homme à la gueule d'ange (de mémoire : "J'avais envie de détruire quelque chose de beau".
Ce qui me permet de sortir du flood en disant : lisez FIGHT CLUB (et regardez le film), qui est un livre génial. Et que je relirais bien, si je ne l'avais pas prêté sans qu'on me le redonne.
Ce qui me permet de sortir du flood en disant : lisez FIGHT CLUB (et regardez le film), qui est un livre génial. Et que je relirais bien, si je ne l'avais pas prêté sans qu'on me le redonne.
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Charles Bukowski
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Joe Haldeman - Le vieil homme et son double
-> Hommage débridé à Hemingway emmêlé dans une trame baroque de pluralités spatio-temporelles, avec un héros qui lorgne autant du côté d'Hemingway que d'Haldeman, le tout servi sur un plateau SF concocté sauce humoristique et pimenté de quelques passages autobio ; ça se se dévore sans temps mort et toujours avec un petit sourire au coin des lèvres. 240 pages de plaisir assuré, autrement dit...
-> Hommage débridé à Hemingway emmêlé dans une trame baroque de pluralités spatio-temporelles, avec un héros qui lorgne autant du côté d'Hemingway que d'Haldeman, le tout servi sur un plateau SF concocté sauce humoristique et pimenté de quelques passages autobio ; ça se se dévore sans temps mort et toujours avec un petit sourire au coin des lèvres. 240 pages de plaisir assuré, autrement dit...
Michael MOORCOCK, Déjeuners d'affaires avec l'Antéchrist.
Très bon. C'est la première fois que je suis aussi convaincu par Moorcock.
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Hop : Cédric FERRAND, Wastburg