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Bohème - Mathieu Gaborit
Posté : mer. juil. 14, 2010 10:02 am
par Stéphane
Le monde d’Ecryme est en gros le début du vingtième siècle pour nous. Mais une brume épaisse a envahi toute la surface de la Terre, cachant tout sous une fine couche de brouillard. Le problème est que ce produit (l’Ecryme) est acide et a fâcheusement tendance à tuer ceux qui tombent dedans. Les hommes ont dû se réfugier sur des passerelles et des traverses surélevées pour survivre et voyager. De même les villes sont protégées de la brume et reliées entre elles par voie aérienne.
Jean a aimé.
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Re: Bohème - Mathieu Gaborit
Posté : mer. juil. 14, 2010 12:45 pm
par bormandg
Moi pas (mais pas moyen de joindre ma critique Phenixweb; vérification faite elle n'est pas encore en ligne).
Posté : ven. juil. 23, 2010 10:35 am
par Lune
Je n'ai pas trop aimé, à vrai dire je m'attendais un peu à autre chose, et surtout à me balader un peu plus sur l'écryme, sur les traverses...
Posté : ven. juil. 23, 2010 2:25 pm
par Eons
Je vais gâcher un Versins : L'écryme ne paie pas.
Posté : ven. juil. 23, 2010 2:27 pm
par Lensman
Eons a écrit :Je vais gâcher un Versins : L'écryme ne paie pas.
Trop travaillé pour un Versins...
Oncle Joe
Posté : ven. juil. 23, 2010 2:41 pm
par Lune
Eons a écrit :Je vais gâcher un Versins : L'écryme ne paie pas.
Posté : ven. juil. 23, 2010 6:54 pm
par bormandg
Mon opinion est désormais
en ligne.
Posté : ven. juil. 23, 2010 6:55 pm
par bormandg
Eons a écrit :Je vais gâcher un Versins : L'écryme ne paie pas.
Trop juste pour un Versins
Posté : lun. août 02, 2010 6:21 pm
par André Valentie
Gaborit ne m'a jamais enchanté.
une question en passant, qui n'a rien à voir : y a-t-il parfois des français dans les prétendants au prix Hugo, Locus ou Nébula ?
Posté : mar. août 03, 2010 10:07 am
par rmd
André Valentie a écrit :une question en passant, qui n'a rien à voir : y a-t-il parfois des français dans les prétendants au prix Hugo, Locus ou Nébula ?
Globalement non. Ce sont des prix anglophones, donc faut avoir des oeuvres parues en anglais, ce qui exclut la quasi-totalité de la production francaise. (je laisse les dypterophiles lister les exceptions.)