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Un avis sur "Le coup du cavalier" de Walter Jon Williams :

Tracas immortels

Doran Falkner a fait deux cadeaux fabuleux à l’humanité: l’immortalité et une source d’énergie inépuisable. Les hommes ont ainsi pu conquérir l’espace et déserter la Terre, fondant une civilisation de colonies galactiques. Mais une limite demeure: l’impossibilité de dépasser la vitesse de la lumière et de communiquer efficacement entre colonies. Lorsque sur la planète Amaterasu sont découverts d’étranges animaux qui semblent avoir la capacité de se téléporter, Falkner décide de s’y rendre, dans l’espoir d’offrir aux humains la solution à leur isolement. Entre space-opera et planet-opera, "Le coup du cavalier" de Walter Jon Williams interroge l’immortalité et ses conséquences sur la nature humaine. Sans l’épée de Damoclès de la mort, en proie à l’ennui et à la folie, l’immortel est-il encore un homme? L’intrigue, divertissante à souhait, ouvre de nouvelles perspectives pour le surhomme en le confrontant à d’autres formes de consciences intelligentes. Un roman écrit en 1985 qui garde toute sa fraîcheur et son intérêt.

http://fictionaute.over-blog.com/articl ... 31022.html

montag a écrit :Un roman écrit en 1985 qui garde toute sa fraîcheur et son intérêt.

Comment dire?...
Oncle Joe

Comment dire?...

Up ?

Je commence à le lire et je lui trouve un coté très zelaznyen. Doran Falkner ressemble beaucoup au Conrad Nomikos de "Toi l'immortel". D'ailleurs le fait que le héros ait choisi de vivre en Grèce comme celui de Zelazny n'est certainement pas une coïncidence. Hommage ? Pastiche ? Je vous en dirais plus quand je l'aurais terminé.

Fabien Lyraud a écrit :Je commence à le lire et je lui trouve un coté très zelaznyen. Doran Falkner ressemble beaucoup au Conrad Nomikos de "Toi l'immortel". D'ailleurs le fait que le héros ait choisi de vivre en Grèce comme celui de Zelazny n'est certainement pas une coïncidence. Hommage ? Pastiche ? Je vous en dirais plus quand je l'aurais terminé.

S'il est en Grèce, ce n'est pas Pastiche. Ouzoche à la rigueur...
Bon, je >--->[], hein, c'était juste pour faire mon mauvais esprit.

Ce qui m'inquiète le plus, c'est que j'ai ri.

Fabien Lyraud a écrit :Je commence à le lire et je lui trouve un coté très zelaznyen. Doran Falkner ressemble beaucoup au Conrad Nomikos de "Toi l'immortel". D'ailleurs le fait que le héros ait choisi de vivre en Grèce comme celui de Zelazny n'est certainement pas une coïncidence. Hommage ? Pastiche ? Je vous en dirais plus quand je l'aurais terminé.

S'il est en Grèce, ce n'est pas Pastiche. Ouzoche à la rigueur...
Bon, je >--->[], hein, c'était juste pour faire mon mauvais esprit.

Jean-Claude, c'est moins drôle la deuxième fois.

A la seconde, j'ai compris !!! C'est vrai que c'est drôle!
Oncle Joe

J'ai terminé de le lire et je vais donc répondre à la question posée plus haut. C'est à la fois un pastiche et un hommage. Pastiche parce que c'est beaucoup plus drôle que le roman de Zelazny. Hommage parce que les clins d'oeil sont nombreux.

Il est dans mes prochaines lectures

je suis occupé à le lire, c'est pas mal