Le Désert Inhumain, de Mamadou Soukouna
Posté : ven. mars 25, 2011 12:04 am
Je viens de terminer la lecture de "Le désert inhumain" de Mamadou Soukouna, un malien naturalisé Français en 2000 par Chirac et qui vit à Choisy-le-Roi. Un collègue donc qui a publié cet ouvrage en 1990 aux éditions Belfond. Est-ce de la SF africaine : très érudit ce texte procède par des accumulations d'énumérations en tout genre. L'auteur avoue beaucoup travailler avec le dictionnaire et mépriser son ancien pays, le Mali, qui n'est pour lui qu'un désert qui n'a aucun sens...
Mamadou Soukouna est arrivé en France en 1972 et bénéficie d'une maigre pension d'invalidité, mais il passe des heures à noircir des feuilles avec sa machine à écrire. Il n'est pas passé à l'informatique et a écrit des dizaines d'ouvrages qui n'ont pas été publiés. Aussi, si des éditeurs lisent ce message, qu'ils contactent donc monsieur Soukouna, éventuellement grâce à la Médiathèque de Choisy-le-Roi car cet homme a un langage, un style et des mots à lui, une musique personnelle et cela même s'il est un peu dans la Lune...
Et lisez "Le désert inhumain", les aventures d'un africain dans le monde de 1930, un personnage très porté sur la sexualité et qui finit par "naître" à la fin du roman. En tout cas un tourbillon de mots portés par un souffle épique vertigineux. Simplement étourdissant !
Bonne journée. ludwig van.
Mamadou Soukouna est arrivé en France en 1972 et bénéficie d'une maigre pension d'invalidité, mais il passe des heures à noircir des feuilles avec sa machine à écrire. Il n'est pas passé à l'informatique et a écrit des dizaines d'ouvrages qui n'ont pas été publiés. Aussi, si des éditeurs lisent ce message, qu'ils contactent donc monsieur Soukouna, éventuellement grâce à la Médiathèque de Choisy-le-Roi car cet homme a un langage, un style et des mots à lui, une musique personnelle et cela même s'il est un peu dans la Lune...
Et lisez "Le désert inhumain", les aventures d'un africain dans le monde de 1930, un personnage très porté sur la sexualité et qui finit par "naître" à la fin du roman. En tout cas un tourbillon de mots portés par un souffle épique vertigineux. Simplement étourdissant !
Bonne journée. ludwig van.
