Effectivement, les ferrailleurs tchèques n'en sont pas à piller les pierres du pont. N'empêche que, d'une certaine façon, l'intégrité du pont est remise en cause.Hoêl a écrit :Georges , les statues , sur un pont , est-ce l'essentiel ?bormandg a écrit :Vu que je n'ai pas lu le roman, je ne saurais réagir sur la façon dont les ponts y sont traités.Hoêl a écrit :Merci , c'est vrai que ça en a l'air , et ça correspondrait donc à la 1ère campagne militaire des protagonistes .kibu a écrit :ça ressemble au pont Jacques Cartier de Montréal
N.B. : c'est marrant et cohérent que la seule chose qui n'ait pas été pillée/récupèrée des générations antérieures soit les ponts , voie de communication et , en l'occurence , de communication intergénérationnelle , par excellence... on dirait que ça a été voulu !
Et puis , je trouve amusante la vue de l'Europe que Wilson donne ici...
Ceci étant, pôur ce qui est de l'idée de pillage des ponts, je repense à ce qui se passe en Tchequie sur le Pont Charles (pillage du métal des statues qu'ils sont obligés de remplacer par des imitations en plastique). Y'a quelque chose à méditer à ce sujet....
Bon , je n'en suis qu'au tiers du bouquin , mais , franchement , il vaut le coup pour l'instant .
Quant à un pont métallique (ce qui est le cas de celui considéré), c'est autre chose.
Je rappelle que je ne saurais parler du contenu du roman, de l'histoire traitée... Ma remarque tenait du HS.