Julian, de Robert Charles Wilson
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Oh, ça c'était facile, ils sont peu nombreux. Même dans les critiques "positives".Lensman a écrit :... il est peut-être plus important de comprendre au moins la moitié des compliments faits au bouquin...Aldaran a écrit :Bon...
En gros, je ne comprends pas la moitié des reproches faits à ce bouquin. OK, c'est pas le Wilson auquel on est habitué mais ça vaut tout de même le coup.
J'ai lu ta chronique , je suis globalement d'accord dans l'ensemble , mais je ne me souviens pas avoir comparé ce roman avec les précédents de Wilson , et ce que tu dis n'ôte rien aux faiblesse soulignées .Aldaran a écrit :Oh, ça c'était facile, ils sont peu nombreux. Même dans les critiques "positives".Lensman a écrit :... il est peut-être plus important de comprendre au moins la moitié des compliments faits au bouquin...Aldaran a écrit :Bon...
En gros, je ne comprends pas la moitié des reproches faits à ce bouquin. OK, c'est pas le Wilson auquel on est habitué mais ça vaut tout de même le coup.
Par ailleurs , la référence à Mark Twain qui semble t'avoir marqué m'a paru relever du prétexte car je n'ai rien reconnu du côté trucculent et jubilatoire du brave Sam .
"Tout est relatif donc rien n'est relatif !"
- Jacques Ah !
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Dont acte. Robert Charles Wilson est un auteur important de la SF de ces dernières décennies. ludwig van.
Artiste polymorphe, écrivain et président d'un Groupe d'Entraide Mutuel : le Social Art Postal Club de Choisy-le-Roi. Site : http://jacquesabeasis.e-monsite.com ;
- dracosolis
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Sam est trop enfoui dans mes souvenirs pour que je m'essaye à une comparaison.Hoêl a écrit :J'ai lu ta chronique , je suis globalement d'accord dans l'ensemble , mais je ne me souviens pas avoir comparé ce roman avec les précédents de Wilson , et ce que tu dis n'ôte rien aux faiblesse soulignées.Aldaran a écrit :Oh, ça c'était facile, ils sont peu nombreux. Même dans les critiques "positives".Lensman a écrit :... il est peut-être plus important de comprendre au moins la moitié des compliments faits au bouquin...Aldaran a écrit :Bon...
En gros, je ne comprends pas la moitié des reproches faits à ce bouquin. OK, c'est pas le Wilson auquel on est habitué mais ça vaut tout de même le coup.
Par ailleurs , la référence à Mark Twain qui semble t'avoir marqué m'a paru relever du prétexte car je n'ai rien reconnu du côté trucculent et jubilatoire du brave Sam.
C'est surtout que le style employé par l'auteur a complètement modifié mon regard sur les personnages et ceux-ci, du coup, m'ont paru beaucoup moins basiques que ne semblent le dire tous ceux qui ont lu le roman. Le narrateur, par exemple, me paraît beaucoup plus gentil et ouvert d'esprit que naïf. Et plein d'humour (dans sa vision des personnes et des institutions qui l'entourent, ce qui est particulièrement présent dans les nombreuses notes de bas de page). Mais c'est un humour et une ouverture d'esprit d'une autre époque, qui nous paraissent bien fades et sans relief si on oublie de les replacer dans leur "contexte". Si on oublie pas, c'est le pied.
Ben , pour mémoire , les personnages (enfants) de Twain sont plus manipulateurs que manipulés (cf. l'un des premiers chapitres de Tom Sawier sur la barrière à repeindre et les innombrables où Huck se sert de la superstition de l'esclave en fuite qui l'accompagne) .Aldaran a écrit :Sam est trop enfoui dans mes souvenirs pour que je m'essaye à une comparaison.Hoêl a écrit :J'ai lu ta chronique , je suis globalement d'accord dans l'ensemble , mais je ne me souviens pas avoir comparé ce roman avec les précédents de Wilson , et ce que tu dis n'ôte rien aux faiblesse soulignées.Aldaran a écrit :Oh, ça c'était facile, ils sont peu nombreux. Même dans les critiques "positives".Lensman a écrit :... il est peut-être plus important de comprendre au moins la moitié des compliments faits au bouquin...Aldaran a écrit :Bon...
En gros, je ne comprends pas la moitié des reproches faits à ce bouquin. OK, c'est pas le Wilson auquel on est habitué mais ça vaut tout de même le coup.
Par ailleurs , la référence à Mark Twain qui semble t'avoir marqué m'a paru relever du prétexte car je n'ai rien reconnu du côté trucculent et jubilatoire du brave Sam.
C'est surtout que le style employé par l'auteur a complètement modifié mon regard sur les personnages et ceux-ci, du coup, m'ont paru beaucoup moins basiques que ne semblent le dire tous ceux qui ont lu le roman. Le narrateur, par exemple, me paraît beaucoup plus gentil et ouvert d'esprit que naïf. Et plein d'humour (dans sa vision des personnes et des institutions qui l'entourent, ce qui est particulièrement présent dans les nombreuses notes de bas de page). Mais c'est un humour et une ouverture d'esprit d'une autre époque, qui nous paraissent bien fades et sans relief si on oublie de les replacer dans leur "contexte". Si on oublie pas, c'est le pied.
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- Soslan
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De mon côté j'ai vraiment l'impression soudaine, qui m'avait paru absurde jusqu'à présent, que Jacques Ah! est un bot : en plus d'être vide de contenu, à défaut d'être hors sujet (paradoxe auquel les bots nous ont habitués) vous avez remarqué que son message commence exactement en reprenant le post très court d'akhetatonetj au début de la page ?dracosolis a écrit :non non
ça colle à peu près
En tout cas je commence seulement à me poser des questions, et je ne sais plus que croire.
"La Lune commence où avec le citron finit la cerise" (André Breton)
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