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Dreamericana, de Fabrice Colin

Posté : mar. déc. 06, 2011 5:29 pm
par jerome

Posté : mar. déc. 06, 2011 5:32 pm
par dracosolis
:shock: on t'a fourgué un lot de virgules dont tu ne sais que faire, dear ? :shock:

Posté : mar. déc. 06, 2011 5:39 pm
par bormandg
Le pire, c'est qu'elles signifient quelque chose. 8)

Posté : mar. déc. 06, 2011 5:53 pm
par Eons
Certes. Mais des tirets – semi-cadratins, de préférence – eussent été de meilleur aloi.

Posté : mar. déc. 06, 2011 6:16 pm
par dracosolis
bormandg a écrit :Le pire, c'est qu'elles signifient quelque chose. 8)
certes, mais c'est vache pour un article qui n'est pas, si, long^^

Posté : mar. déc. 06, 2011 6:23 pm
par Marco
Ah ! J'ai vraiment adoré ce livre. Une première partie très dickienne, une seconde steampunk très cinématographique, en fait. Et, ce qui n'est pas habituel, un de mes froids ventricules a même tressailli au passage suivant (sans spolier, Erik retrouve Ana à Saint Petersbourg) : "comment va la vie, Erik Suncliff ?
Oh, fantasticule.
Je suis amoureux, je n'avais jamais cessé de l'être en vérité, et l'objet de mes désirs vient de me mettre dehors après que je lui ai révélé la teneur de ma mission, par ailleurs hautement confidentielle. A l'autre bout du pays, un président hologramme attend que son double réapparaisse et moi, moi qui tiens son sort entre mes mains, je suis assis sur les marches du théatre Marinski, mon manteau poudré de neige, tout au bord de l'abîme.
En plus, je viens de rater Mozart."
Ben si ça, en plus d'un vrai bon récit d'aventure, c'est pas de la littérature...