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Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
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Pour Vance, c’est d’ailleurs l’unique intérêt de ses romans,
Le cadre s’étend a tout, par seulement aux paysages exotiques, mais a tout.
Avec Vance si on entre dans une taverne, on sait TOUS, la valeur des tableaux accrochées aux murs, la composition (exotique) des menus, les opinions politiques (exotique) du tenanciers de la taverne, la couleur de la robe de la serveuse, les traditions religieuses (exotique encore) de la région, le prix des consommations, le style de mobiliers, la liste des spectacles prévus, les horaires, prix et destination des transports en commun…, tous quoi !’
Par contre ce que l’on ne sait pas c’est l’intérêt pour le récit d’être entré dans cette taverne !
Mais de toute façon, ses intrigues, la plupart de temps sans intérêt, ne sont que des prétextes pour cette descriptions du cadre justement, et c’est la, le génie de Vance, la ou il est unique et inégalable.
Ses ennemis sont insensible a cet aspect du récit et cherche toujours dans Vance ce qui, bien entendu, n’y est pas. Constatant cette absence d’intrigues consistantes, le jugement tombe rapidement – Vance est nul – mais leurs jugements est toujours « a coté » !
Cela dit je comprends parfaitement leur déception – question de goût.
En plus, les seuls récits sur lesquels ils seraient moins sévère, ce sont justement ceux ou l’intrigue et légèrement plus consistante (un « chouilla » seulement) – mais ce sont probablement ceux qui, du point de vue Vancéen, sont les moins intéressants.
PS : c’est bien sur – mon avis a moi – qui ne vaut que pour moi – pas de polémique !
Le cadre s’étend a tout, par seulement aux paysages exotiques, mais a tout.
Avec Vance si on entre dans une taverne, on sait TOUS, la valeur des tableaux accrochées aux murs, la composition (exotique) des menus, les opinions politiques (exotique) du tenanciers de la taverne, la couleur de la robe de la serveuse, les traditions religieuses (exotique encore) de la région, le prix des consommations, le style de mobiliers, la liste des spectacles prévus, les horaires, prix et destination des transports en commun…, tous quoi !’
Par contre ce que l’on ne sait pas c’est l’intérêt pour le récit d’être entré dans cette taverne !
Mais de toute façon, ses intrigues, la plupart de temps sans intérêt, ne sont que des prétextes pour cette descriptions du cadre justement, et c’est la, le génie de Vance, la ou il est unique et inégalable.
Ses ennemis sont insensible a cet aspect du récit et cherche toujours dans Vance ce qui, bien entendu, n’y est pas. Constatant cette absence d’intrigues consistantes, le jugement tombe rapidement – Vance est nul – mais leurs jugements est toujours « a coté » !
Cela dit je comprends parfaitement leur déception – question de goût.
En plus, les seuls récits sur lesquels ils seraient moins sévère, ce sont justement ceux ou l’intrigue et légèrement plus consistante (un « chouilla » seulement) – mais ce sont probablement ceux qui, du point de vue Vancéen, sont les moins intéressants.
PS : c’est bien sur – mon avis a moi – qui ne vaut que pour moi – pas de polémique !
- marc
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Maintenant que tu en parle, ton avis est assez juste sur Vance.Papageno a écrit :PS : c’est bien sur – mon avis a moi – qui ne vaut que pour moi – pas de polémique !
Marc Le Blog science-fiction de Marc et Phenix Mag
Auteurs préférés : Banks, Hamilton, Simmons, Heinlein, Reynolds, Vance, Weber, Bordage, P. Anderson, Eddings
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- Stéphane
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Personnellement, la seule chose que je reproche à Vance, c'est que ses héros sont souvent inactifs : ils sont les victimes des événements, ils se laissent porter par l'action. J'ai souvent l'impression qu'il suffirait qu'ils se remuent (excusez-moi l'expression) une bonne fois les fesses pour échapper aux ennuis, mais ils restent là sans rien faire, spectateurs de leurs propres malheurs.
Sinon, j'adore (vraiment)
En fait, je crois que mon avis se rapproche de celui de Papageno : si le héros est trop actif, l'intrigue coupe court et on ne peut pas découvrir l'univers exotique de l'auteur
Sinon, j'adore (vraiment)
En fait, je crois que mon avis se rapproche de celui de Papageno : si le héros est trop actif, l'intrigue coupe court et on ne peut pas découvrir l'univers exotique de l'auteur
Cette fois, on est bien d'accord ! C'est clairement le haut du panier.efelle a écrit :J'ai bien apprécie Question de mort avec ses clins d'oeil à tout va uax séries et films des années 80. Je le place immédiatement derrière Délires d'Orphée.
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
Edward WHITTEMORE, Jérusalem au poker. Chef-d'oeuvre. Encore plus délirant et hilarant que Le codex du Sinaï. Ayé, Whittemore a intégré mon panthéon personnel...
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
... et puis Edward WHITTEMORE, Ombres sur le Nil. Radicalement différent des précédents, mais une fois de plus superbe. (rhaaaaaaaa)
La suite ! La suiiiiiiiiiiiiiiiiit-euh !
La suite ! La suiiiiiiiiiiiiiiiiit-euh !
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
Lu "l'énigme du cadran solaire" de Mary Gentle.
Pour résumer violement, ce livre est au roman de capes et d'épées ce que "Cendres" est au roman moyen-ageux. Les amateurs de Cendres ne seront donc pas décus, ceux qui ont trouvé Cendres trop long trouveront certainement le même défaut à "L'énigme du cadran solaire",
Pour ma part, j'ai trouvé ca extrèmement bien rythmé et j'ai lu les milles pages à grande vitesse. L'incrustation de l'intrigue science-fictive (car il s'agit bien de science-fiction, pas de fantasy) dans la situation politique de l"époque est réussie.
Pour résumer violement, ce livre est au roman de capes et d'épées ce que "Cendres" est au roman moyen-ageux. Les amateurs de Cendres ne seront donc pas décus, ceux qui ont trouvé Cendres trop long trouveront certainement le même défaut à "L'énigme du cadran solaire",
Pour ma part, j'ai trouvé ca extrèmement bien rythmé et j'ai lu les milles pages à grande vitesse. L'incrustation de l'intrigue science-fictive (car il s'agit bien de science-fiction, pas de fantasy) dans la situation politique de l"époque est réussie.
Après des années de cérémonie du Thé, il n’y a rien de meilleur que de vomir de la Bière.
Argh, j'ai repris du retard... Bon, en résumé, et en attendant de pouvoir en dire un peu plus :
- Catherine DUFOUR, L'Immortalité Moins Six Minutes. Très sympathique, ma foi. Du Pratchett en plus trash, certes, une parodie du Seigneur des anneaux, certes, mais aussi un peu plus que ça finalement. Et puis zob, c'est bien écrit et c'est drôle.
- Brian ALDISS, Croisière sans escale. Bien, très bien même, mais j'avoue avoir été un peu déçu par ce classique. Dans le genre histoire de vaisseaux-mondes, j'ai dans l'ensemble préféré Les orphelins du ciel de Robert Heinlein, notamment.
- Fantasy 2007 (Bragelonne). A chier. Heureusement que c'est gratuit...
- Christian CHARRIERE, La forêt d'Iscambe. Un petit bijou, bien ciselé, inventif, drôle et pertinent. A lire à tout prix.
- Catherine DUFOUR, L'Immortalité Moins Six Minutes. Très sympathique, ma foi. Du Pratchett en plus trash, certes, une parodie du Seigneur des anneaux, certes, mais aussi un peu plus que ça finalement. Et puis zob, c'est bien écrit et c'est drôle.
- Brian ALDISS, Croisière sans escale. Bien, très bien même, mais j'avoue avoir été un peu déçu par ce classique. Dans le genre histoire de vaisseaux-mondes, j'ai dans l'ensemble préféré Les orphelins du ciel de Robert Heinlein, notamment.
- Fantasy 2007 (Bragelonne). A chier. Heureusement que c'est gratuit...
- Christian CHARRIERE, La forêt d'Iscambe. Un petit bijou, bien ciselé, inventif, drôle et pertinent. A lire à tout prix.
Modifié en dernier par Nébal le sam. janv. 26, 2008 10:01 am, modifié 5 fois.
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
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- Nick_Holmes
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L'ambiance c'est ... comment dirai-je ?
Une nouvelle... Une balle dans la tête. Bref, c'est joyeux et croquignolet.
Je commence le nouveau Bifrost par les razzies pour rire un bon coup pour changer
NicK.
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- Eric
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J'ai en ce moment même entre les mains un exemplaire du Rasoir d'Ockham, le dernier monument de Riton Loevenblog, et je peux d'ores et déjà vous dire après un sérieux biditest que :
1) hélas, ça n'est pas tout à fait aussi drôle qu'un Aubenque
2) ça l'est tout de même un peu plus qu'un Werber, mais de manière tout aussi involontaire
3) qu'il a lu très attentivement Le Pendule de Foucault et le Da Vinci Code
4) mais pas Avoir du style en dix leçons, ou comment devenir Flaubert à la portée de tous
5) que la chronique ne sera pas à suivre sur ActuSF (de toute façon on a une excuse, c'est pas de la SF)
1) hélas, ça n'est pas tout à fait aussi drôle qu'un Aubenque
2) ça l'est tout de même un peu plus qu'un Werber, mais de manière tout aussi involontaire
3) qu'il a lu très attentivement Le Pendule de Foucault et le Da Vinci Code
4) mais pas Avoir du style en dix leçons, ou comment devenir Flaubert à la portée de tous
5) que la chronique ne sera pas à suivre sur ActuSF (de toute façon on a une excuse, c'est pas de la SF)
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.