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- Stéphane
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Concernant Silverberg : j'oserais même dire que même quand il est mauvais, il est bon !
Sinon j'ai terminé hier la lecture d'Emphyrio de Jack Vance.
J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire et au bout d'un moment j'ai cru que j'allais être déçu, que j'étais finalement tomber sur une bouse dans la bibliographie de Vance.
Et miracle ! L'auteur redresse la barre et m'émerveille comme il en a l'habitude. Ouf !
Encore du grand, du beau, du Vance !
Bon, je vais prendre mon valium...
Sinon j'ai terminé hier la lecture d'Emphyrio de Jack Vance.
J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire et au bout d'un moment j'ai cru que j'allais être déçu, que j'étais finalement tomber sur une bouse dans la bibliographie de Vance.
Et miracle ! L'auteur redresse la barre et m'émerveille comme il en a l'habitude. Ouf !
Encore du grand, du beau, du Vance !
Bon, je vais prendre mon valium...
- Eric
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Hélas, non.
Au pire, il est mauvais. Comme tout le monde.
cf. Le Long chemin du retour, Valentin de Majipoor, et quelques unes des plus affligeantes nouvelles de Mon nom est Titan. Je pense, là comme ça au débotté, au très insuffisant Chip Runner, mais il y en a d'autres.
Ce recueil, en général, n'ajoute vraiment rien à la gloire du Silverbob. Limite l'inverse.
Au pire, il est mauvais. Comme tout le monde.
cf. Le Long chemin du retour, Valentin de Majipoor, et quelques unes des plus affligeantes nouvelles de Mon nom est Titan. Je pense, là comme ça au débotté, au très insuffisant Chip Runner, mais il y en a d'autres.
Ce recueil, en général, n'ajoute vraiment rien à la gloire du Silverbob. Limite l'inverse.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
Il faut voir, aussi, la quantité de textes qu'il a fournis.
Il est sûr qu'il a eu une période vraiment formidable, où tout était excellent. Aujourd'hui, c'est lus difficile.
Il me semble qu'il ne faut jamais perdre de vue que Silverberg est un des ces écriviains qui vivent vraiment de leur plume, dont écrite est vraiment le gagne pain. Ils doivent donc fournir, fournir... C'est un des paradoxes de la SF, qui fonctionne comme une littérature populaire (commerciale), et qui est aussi reçue par un pubilc plus exigeant (genre critiques du Cafard). C'est une situation délicate, que l'on oublie souvent de prendre en compte dans les critiques ou même les simples commentaires.
Oncle Joe
Il est sûr qu'il a eu une période vraiment formidable, où tout était excellent. Aujourd'hui, c'est lus difficile.
Il me semble qu'il ne faut jamais perdre de vue que Silverberg est un des ces écriviains qui vivent vraiment de leur plume, dont écrite est vraiment le gagne pain. Ils doivent donc fournir, fournir... C'est un des paradoxes de la SF, qui fonctionne comme une littérature populaire (commerciale), et qui est aussi reçue par un pubilc plus exigeant (genre critiques du Cafard). C'est une situation délicate, que l'on oublie souvent de prendre en compte dans les critiques ou même les simples commentaires.
Oncle Joe
Science-Fiction 2007. Sans être indispensable, c'est quand même autrement plus sympathique que le pathétique Fantasy 2007...
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
Gérard KLEIN, Mémoire vive, mémoire morte. Inégal, mais intéressant. Faudra que je tente Les seigneurs de la guerre, un de ces jours.
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
- Eric
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Non... de son propre aveu, Le Château de Lord Valentin l'a mis à l'abri du besoin pour le restant de ses jours. Il n'a plus besoin d'écrire pour vivre.Lensman a écrit :Il faut voir, aussi, la quantité de textes qu'il a fournis.
Il est sûr qu'il a eu une période vraiment formidable, où tout était excellent. Aujourd'hui, c'est lus difficile.
Il me semble qu'il ne faut jamais perdre de vue que Silverberg est un des ces écriviains qui vivent vraiment de leur plume, dont écrite est vraiment le gagne pain. Ils doivent donc fournir, fournir... C'est un des paradoxes de la SF, qui fonctionne comme une littérature populaire (commerciale), et qui est aussi reçue par un pubilc plus exigeant (genre critiques du Cafard). C'est une situation délicate, que l'on oublie souvent de prendre en compte dans les critiques ou même les simples commentaires.
Oncle Joe
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
Pas SF, mais pour ceux que ça intéresse, le dernier Milovanoff vient de sortir, et comme d'hab c'est un bijou. On a finalement pas tant de grands auteurs de "blanche" en France, alors ne ratez pas celui là. Comme d'hab donc, c'est court, magnifiquement écrit, incisif et ça prend aux tripes. A ceux qui ne le connaissent pas : Miliovanoff c'est de la veine de Nabokov, en moins dense...
"Ils ne sont grands que parce que vous êtes à genoux"