Oooooh...fabrice a écrit :Parce que, au fond, est-ce que ce John Gregan existe vraiment, mm ?
Ca serait donc un nouvel exemple de prennage de gens pour des cons, comme avec le Wayne Barrow ?
Roooooooh...
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Je ne vois pas en quoi utiliser un pseudonyme c'est prendre les gens pour des cons.Virprudens a écrit : Ca serait donc un nouvel exemple de prennage de gens pour des cons, comme avec le Wayne Barrow ?
Virprudens a écrit :Oooooh...fabrice a écrit :Parce que, au fond, est-ce que ce John Gregan existe vraiment, mm ?
Ca serait donc un nouvel exemple de prennage de gens pour des cons, comme avec le Wayne Barrow ?
Roooooooh...
C'est là où tu te trompes. Emile et Maxence étaient de gros vendeurs en leur temps. La série des George Labiche (George Labiche contre les chiens-robots, George Labiche en enfer, George Labiche est de retour, et le cultissime Pardonnez-moi, mais ce tentacule est-il le vôtre ?) a connu un succès authentique dans les années 1910. Les documents d'archive en témoignent : un optimisme rayonnant habitait le cœur de nos deux feuilletonistes ardéchois.Xavier Mauméjean a écrit : (...) un western signé par Emile Broutache et Maxence Poicard n'est pas très vendeur.
fabrice a écrit :Xavier Mauméjean a écrit : C'est là où tu te trompes. Emile et Maxence étaient de gros vendeurs en leur temps. La série des George Labiche
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Oui, enfin, la série des George (effecitvement, sans "s" dans la version originale) Labiche s'est bien vendue. Mais si tu prends les deux romans consacrés au Professeur Pharnabase, ça m'étonnerait, on dirait du Feydau sous Peyotl...Cela dit ça n'empêche pas A.F. Ruaud de songer à les reprendre dans sa collection La bibliothèque Voltaïque.
Aaaah, ouééééé...Bouse Bleuâtre a écrit :Y a pas que les dents…Fred Combo a écrit :Par contre, un détail m'intrigue encore : pourquoi les dents de la sorcière sont-elles jaunes et irrégulières au début, blanches et bien plantées au milieu, et un peu jaunes mais assez régulières à la fin ? Hein ?
Tout est une question de point de vue.
Merci pour cette réponse fort éclairante - quoique non, en fait, c'est exactement celle que j'attendais : le côté vendeur du truc.Xavier Mauméjean a écrit :Que non, mais un western signé par Emile Broutache et Maxence Poicard n'est pas très vendeur. Et puis l'auteur faisait partie intégrante du projet littéraire, mais je n'ai pas le temps d'expliquer parce que je dois aller boire un Coca.Virprudens a écrit :Ca serait donc un nouvel exemple de prennage de gens pour des cons, comme avec le Wayne Barrow ?fabrice a écrit :Parce que, au fond, est-ce que ce John Gregan existe vraiment, mm ?
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Je corrige donc ma formulation : c'est donc bien du prennage de gens pour ce qu'ils sont.Heliot a écrit : Sinon, prendre les lecteurs pour des "suckers" peut parfois constituer un projet littéraire en soi