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En gare ici http://quoideneufsurmapile.blogspot.com ... alite.html

Je confirme.

Il est en haut de ma pile 00 (SPs) Donc j'en parlerai dans Phenixweb avant la fin de ce monde (si elle n'est pas avancée, bien sûr).

Je l'ai fait mettre de côté par mon libraire, d'ici deux ou trois jours il sera officiellement dans ma PAL. Mon planning de restriction budgétaire ne te remercie pas.

Je lui présente toutes mes confuses.

La remorque, puisque c'est la mode.

Et puis un batteur eud' rock'n'roll au coin du feu.

Enjoy.

Merci, T.

akhenatonej a écrit :En gare ici http://quoideneufsurmapile.blogspot.com ... alite.html

Marrant , moi , j'ai trouvé Le train plus grave dans le ton que Rêves .
Ma nouvelle préfèrée est celle du batteur de Rock , sans doute parce qu'elle m'a rappelé tant de copains d'adolescence .
La référence à Billy Milligan m'a également frappé et , de mon point-de-vue , c'est la plus expérimentale et la plus réussie sur le plan stylistique .
Pour le philosophe "borgne" , il me semble plutôt qu'il partage une particularité avec Feldman (marty) et un autre philosophe existentialiste... le lieu de la "révélation" du narrateur me paraît plus approprié qu'un pilier de Notre-Dame...
Bref , un très bon moment de lecture .

Hoêl a écrit :La référence à Billy Milligan .

Le truc, c'est qu'il n'y a pas de référence. Je n'ai pas lu le bouquin de Keyes, je ne me rappelais même plus qui c'était ce Billy Machin quand j'ai lu le billet de Gromovar, il a fallu que Sylvie me rafraîchisse la mémoire.

L'idée du texte doit venir du titre d'un album solo de Ian Hunter : « You're never alone with a schizophrenic. »

Comme quoi , les références sont dans la tête de celui qui les trouve...
N'empêche , ça n'a pas dû être évident à écrire .

miawpwag a écrit :l me semble plutôt qu'il partage une particularité ropa interior calvin kleinavec Feldman (marty) et un autre philosophe existentialiste...

J'ai bien saisi , gentil Robby , ton attachement pour mes commentaires , tu as su reconnaître un membre vigoureux de la Sociation pour le développement des I.A.

Lu !
J'ai moins accroché qu'à Rêves de Gloire, sans doute faute de liant entre les récits, eux-mêmes pas vraiment calibrés comme des nouvelles à l'exception du premier et du dernier.
La narration avec l'accent (algérois ou loulou), j'avoue que j'ai du mal au-delà d'une page ou deux. Heureusement, il y a Sartre en peignoir, la Facel-Vega de Michel Gallimard, et le JC de Zéro qui s'en prend à une autre cible que dans notre monde (on peut développer en imaginant ce qu'aurait été la vie de l'époux de ladite victime, d'ailleurs).
Finalement, ce sont les morts du Général qui m'ont le plus emportée, malgré la brièveté des textes. J'adore le concept, et l'idée que dans le multivers, il y a sans doute plus de mondes où De Gaulle est tombé à la Croix que Berny que de mondes où il est passé par le Petit-Clamart.