Je ne partage pas ce point de vue.Anne a écrit : Sinon, si, je maintiens que cette démarche est rare. Et également que cette démarche rend le livre plus intéressant, en soi, à analyser.
On peut saluer la démarche d'un éditeur qui prend des risques, qui publie des coups de coeur,... mais en ce qui me concerne, je ne vois pas très bien en quoi cela interfère avec l'analyse du livre publié, d'autant plus quand il s'agit d'une simple traduction d'un ouvrage originellement édité à l'étranger.
Ceci vaut pour Bragelonne comme pour n'importe quel éditeur.
C'est l'utilisation du genre pour faire passer un message qui semble vous diviser.Anne a écrit :Je trouve donc le livre triplement intéressant, à ce titre: démarche éditoriale rare, sujet grave et prêtant à débat et utilisation (tant dans la stylistique que le fond) d'un genre particulier pour faire passer un message.
Mais ça reste mon avis...
Certains (peut-être Dracosolis encore plus que toi) ressentent un investissement émotionnel tellement fort vis-à-vis du message et du sujet qu'il semble empêcher de débattre d'éventuels défauts relevés à tort ou à raison par une approche plus analytique et distanciée.
D'où le dialogue de sourd.