critiques scandaleuses de Spin !!!
Posté : mar. févr. 20, 2007 6:28 pm
C'est une blague.
Ah ah ! J'ai honte.
PS : C'est AK qui va être content.
Ah ah ! J'ai honte.
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Arf, oui ! Sans compter que Wilson n'est pas tendre avec les excès des petites chapelles protestantes américaines. La critique des religions est si peu appréciée de nos jours.Eric a écrit :Cela dit je tiens tout de même à saluer publiquement le courage de l'éditeur pour avoir publié un ouvrage qu'ils avaient aimé.
gutboy a écrit :Quand j'écris sectes/religions, ce n'est pas que pour signaler que je ne fais pas de différence. Au Canada, la loi non plus ne fait pas de différence.
Oué, c'est l'idée géniale du Spin. Comment vivre quand on sait, en gros, que la fin est pour dans 30-40 ans ? Ca modifie pas mal de truc quand on y réfléchit. ce n'est pas assez près pour tout lacher et s'offrir une dernière fiesta, mais en même c'est pas assez loin pour continuer à se reproduire et faire comme si de rien n'était. Le décalage est interessantgutboy a écrit : Je n'ai pas eu cette impression.
Sans spolier trop, la fin du monde est à la fois rapide à l'échelle de l'espèce (une génération) et lente à l'échelle individuelle (une génération). Du coup, que l'humanité ne parte pas en vrille dans une grande flambée immédiate et hyper violente est assez logique.
La fin de tout est toujours présente en arrière plan, et chaque personnage vit sa vie à l'intérieur de ça.
Sauf, que j'ai pas l'impression que la fin soit si brutale et si rapide pour nous. OK dérèglement climatique, pollution, grippe aviaire... Mais rien qui n'affiche "attention, fin de l'humanité dans 40 ans". Du coup on fait encore des momes. Plein.gutboy a écrit :
Quand on y réfléchit, la fin du monde à l'échelle d'une génération, c'est ce qui attend chacun d'entre nous. Et on vit avec, le plus extérieurement possible. C'est là et on continue. Dans le roman aussi, ça m'a parut assez cohérent.
Attention spoilergutboy a écrit :
J'ajouterais que le sentiment de "fin de partie" est tout à fait présent le long du livre. Plus on avance, plus on sent bien que la récré est bientôt terminée. Il y a, je ne sais pas, une sorte de nostalgie, qui m'a touché.
Je ne sais pas toi, mais il y a des scènes qui m'ont particulièrement touché, notamment celle du retour des étoiles. Il y a quelques choses d'effrayant et en même temps de très fort lorsqu'il est dans le motel avec le tenancier et sa fille.
Pas contre, comment tu trouves la fin avec cette histoire de monde paralèlle ? C'est pas un peu facile comme échapatoir ?
Jérome a répondugutboy a écrit:
Quand on y réfléchit, la fin du monde à l'échelle d'une génération, c'est ce qui attend chacun d'entre nous. Et on vit avec, le plus extérieurement possible. C'est là et on continue. Dans le roman aussi, ça m'a parut assez cohérent.
Je crois que ce dont Gutboy voulait parler, c'était plus notre fin personnelle, plutôt qu'une fin générale du monde entier... C'est vrai que pour vous autres, les jeunots, c'est certainement assez lointain...Sauf, que j'ai pas l'impression que la fin soit si brutale et si rapide pour nous. OK dérèglement climatique, pollution, grippe aviaire... Mais rien qui n'affiche "attention, fin de l'humanité dans 40 ans". Du coup on fait encore des momes. Plein.
Oui. Subjectivement il n'y a aucune différence.Fred Combo a écrit :Je crois que ce dont Gutboy voulait parler, c'était plus notre fin personnelle, plutôt qu'une fin générale du monde entier...