L'élixir d'oubli - Pierre Pevel
Posté : lun. mars 20, 2006 5:06 pm
Je veins de terminer L'élixir d'oubli, de Pierre Pevel, deuxième aventure de Louis Denizart Hippolite Griffont, mage du Cercle Cyan.
Dans un Paris du début du vingtième siècle hypothétique où l'on peut croiser des gnomes, des mages et tout un tas de personnages issus de l'Outremonde (qui s'est dévoilé quelques années plus tôt), Louis Griffont va tenter d'élucider le mystère qui plane autour du meurtre d'un antiquaire, qui pourrait avoir un rapport avec ce qu'il s'est passé 200 ans plus tôt dans le cadre d'une guerre séculaire entre fées et dragons.
Roman d'aventure écrit dans un langage au charme parfois un peu désuet, il décrit un univers où la magie fait partie du quotidien. Si ce n'est pas franchement original, ça se lit de façon très agréable. Le principal atout du roman est ses personnages, Griffont et Isabelle de Saint Gil en tête, très attachants, que l'on prend plaisir à retrouver après un premier opus (Les enchantements d'Ambremer) du même acabit.
Seul défaut un peu énervant : cette manie de faire intervenir des personnages secondaires célèbres réels ou imaginaires (Voltaire, Arsène Lupin...). Je ne vois pas trop l'intérêt : ça ne rend pas l'histoire plus crédible et ça fait un peu bidouillage. Mais bon, ce n'est pas bien grave.
Jérôme
Dans un Paris du début du vingtième siècle hypothétique où l'on peut croiser des gnomes, des mages et tout un tas de personnages issus de l'Outremonde (qui s'est dévoilé quelques années plus tôt), Louis Griffont va tenter d'élucider le mystère qui plane autour du meurtre d'un antiquaire, qui pourrait avoir un rapport avec ce qu'il s'est passé 200 ans plus tôt dans le cadre d'une guerre séculaire entre fées et dragons.
Roman d'aventure écrit dans un langage au charme parfois un peu désuet, il décrit un univers où la magie fait partie du quotidien. Si ce n'est pas franchement original, ça se lit de façon très agréable. Le principal atout du roman est ses personnages, Griffont et Isabelle de Saint Gil en tête, très attachants, que l'on prend plaisir à retrouver après un premier opus (Les enchantements d'Ambremer) du même acabit.
Seul défaut un peu énervant : cette manie de faire intervenir des personnages secondaires célèbres réels ou imaginaires (Voltaire, Arsène Lupin...). Je ne vois pas trop l'intérêt : ça ne rend pas l'histoire plus crédible et ça fait un peu bidouillage. Mais bon, ce n'est pas bien grave.
Jérôme