Page 1 sur 1
Joseph ALTAIRAC - H.G. Wells. Parcours d'une oeuvre
Posté : ven. oct. 03, 2008 5:42 pm
par Nébal
Hop.
Un essai passionnant et riche, qui permet d'entrevoir bon nombre de facettes de l'immense "père de la science-fiction".
Un seul bémol : c'est court, et du coup parfois frustrant...
N'empêche, merci, oncle Joe !
(J'en veux encooooooooore !!! J'en veux d'auuuuuuuuuuuutres !!!)
Posté : ven. oct. 03, 2008 5:48 pm
par Bull
Ben celui qu'il écrit sur AEVV te tend les bras.
Toutes les discussions sur le sujet, sur tous les forums, synthétisées. Entre autres
Posté : ven. oct. 03, 2008 5:58 pm
par Nébal
Bull a écrit :Ben celui qu'il écrit sur AEVV te tend les bras.
Le pire, c'est que, quand bien même j'exècre, vomis et conspue l'immonde tâcheron en question...
(oui, je sais : 1° "
Gutbooooooooooy !!!" ; 2° "
Nébal : t'es mort.")
... le pire, donc, c'est que je crois volontiers que je pourrais trouver ça intéressant.
Donc c'est pas exclu.

Posté : ven. oct. 03, 2008 7:35 pm
par Bull
Gutbooooooooooooooooooooooooooooooooooooooy !
Posté : ven. oct. 03, 2008 9:29 pm
par gutboy
Nébal: t'es mort
Posté : ven. oct. 03, 2008 10:50 pm
par orcusnf
Nébal a écrit :Bull a écrit :Ben celui qu'il écrit sur AEVV te tend les bras.
Le pire, c'est que, quand bien même j'exècre, vomis et conspue l'immonde tâcheron en question...
(oui, je sais : 1° "
Gutbooooooooooy !!!" ; 2° "
Nébal : t'es mort.")
... le pire, donc, c'est que je crois volontiers que je pourrais trouver ça intéressant.
Donc c'est pas exclu.

Tu m'as oublié nebal :
3°
gaffe à l'orque
Posté : sam. oct. 04, 2008 8:57 am
par Papageno
En parlant de Van Vogt, je viens encore de relire sa nouvelle "Ni commencement ni fin" (à vrai dire je me demande si ce n'est pas la troisième fois!)
Et bien, c'est plus que bien, quoi qu'en disent ses ennemis. Le paradoxe temporel (plutôt spacio-temporel ici) est manié avec éclat et maestria. La narration (embrouillée, comme toujours chez Van Vogt) est implacable, inexorable. La conclusion, surprenante. La mise en abime, impressionnante
Le quelques défauts - anachronismes (des lampes à huile pour éclairer le vaisseau spatial en cas de panne!) - une science plus que fantaisiste (il comprend rien a la relativité - mélange accélération, et vitesse...) ne gênent absolument pas - au contraire, ils renforcent encore l'étrangeté du récit.
En un mot, du grand art! Même ses ennemis devraient l'admettre!
Posté : sam. oct. 04, 2008 6:33 pm
par Lensman
Papageno a écrit :En parlant de Van Vogt, je viens encore de relire sa nouvelle "Ni commencement ni fin" (à vrai dire je me demande si ce n'est pas la troisième fois!)
Et bien, c'est plus que bien, quoi qu'en disent ses ennemis. Le paradoxe temporel (plutôt spacio-temporel ici) est manié avec éclat et maestria. La narration (embrouillée, comme toujours chez Van Vogt) est implacable, inexorable. La conclusion, surprenante. La mise en abime, impressionnante
Le quelques défauts - anachronismes (des lampes à huile pour éclairer le vaisseau spatial en cas de panne!) - une science plus que fantaisiste (il comprend rien a la relativité - mélange accélération, et vitesse...) ne gênent absolument pas - au contraire, ils renforcent encore l'étrangeté du récit.
En un mot, du grand art! Même ses ennemis devraient l'admettre!
Je crois que tu as bien compris l'esprit. Mais il faut admettre que tout le monde ne peut pas y adhérer. Il y a un certain nombre de créateurs de ce type, qui provoquent autant d'enthousiasme de que de rejet. C'est une des limitations (heureuses) du caractère efficient de l'activité de critique: l'impossibilité de donner une appréciation qui sera à peu près acceptée par tout le monde, dans certains cas.
Oncle Joe
Posté : sam. oct. 04, 2008 11:50 pm
par Thibaud E.
Lus dernièrement :
- Au sud de nul part, Bukowsky
- Les neiges du Kilimandjaro, Hemingway
- L'empire invisible, Jérôme Noirez
Grosse claque sur le premier, vif intérêt pour le deuxième, qui me donne envie de lire d'autres nouvelles d'Hemingway, et réel plaisir avec le troisième.
L'empire invisible est un roman jeunesse – mais encore une fois, pas si jeunesse que ça – sur l'esclavage, dans la Caroline du Sud du milieu du XIXe siècle. Ca flirte souvent avec le fantastique, sans jamais y verser vraiment. Les personnages sont aux petits oignons, l'intrigue convenue, quoique pas toujours bien pensante, mais sans jamais tomber dans la facilité. Ca se lit d'une traite.
Posté : ven. oct. 10, 2008 6:48 pm
par Thibaud E.
Bah… Pourquoi qu'il est là, mon post ? Et pas dans Derniers livres lus ?
Posté : ven. oct. 10, 2008 7:11 pm
par kibu
C'est le début de la saison de la migration des posts.
Posté : ven. oct. 10, 2008 7:15 pm
par Patrice
Salut,
Bah… Pourquoi qu'il est là, mon post ? Et pas dans Derniers livres lus ?
Oncle Joe, sors de ce corps aussi!
Non mais alors. Ca ne se fait pas des choses comme ça...
A+
Patrice