çà me paraît un excellent argument pour se jeter dessus !Nébal a écrit : C'est bien simple : en ce qui me concerne, c'est probablement le meilleur roman du genre depuis... L'Echiquier du mal ?
et j'aime bien les bébêtes assassines...
Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
çà me paraît un excellent argument pour se jeter dessus !Nébal a écrit : C'est bien simple : en ce qui me concerne, c'est probablement le meilleur roman du genre depuis... L'Echiquier du mal ?
C'est tout sauf chiant. Et quand je dis "historique", c'est en raison du cadre et du remarquable travail de documentation ; mais Simmons est un conteur à qui on ne la fait pas, et, si son récit est érudit et précis, il ne verse jamais dans la gratuité ou le didactisme, à l'encontre des trop nombreux "mauvais romans historiques". La documentation et le cadre servent le récit, sans jamais lui nuire, en le parasitant ou en l'étouffant.gutboy a écrit :Y-a-t'il suffisamment d'éviscérations pour faire oublier la chiantude habituelle généralement inhérente aux romans historiques?
Normal après une ablation des viscères.Nébal a écrit :C'est tout sauf chiant.gutboy a écrit :Y-a-t'il suffisamment d'éviscérations pour faire oublier la chiantude habituelle généralement inhérente aux romans historiques?
… comme en Irak, donc…Nébal a écrit :Et y'a pas mal d'éviscérations, de démembrements, de décapitations, etc.
En plus celle ci semble joueuse ou taquine au point où j'en suis de ma lecture.Usher a écrit : et j'aime bien les bébêtes assassines...
Pour les dialogues seulement, si je ne m'abuse (le reste étant "adapté" dès l'instant que cela ne nuit pas à la cohérence du récit).Sylvain a écrit :et la mauvaise nouvelle, si je n'me trompe, est que JDB a gardé ces unités impériales dans sa traduction !
Exact. Je voyais mal des marins de Sa Majesté parler en litres et en kilomètres, surtout en 1845.Nébal a écrit :Pour les dialogues seulement, si je ne m'abuse (le reste étant "adapté" dès l'instant que cela ne nuit pas à la cohérence du récit).Sylvain a écrit :et la mauvaise nouvelle, si je n'me trompe, est que JDB a gardé ces unités impériales dans sa traduction !
Remarque judicieuse.Herbefol a écrit :D'autant plus que même aujourd'hui il me semble que l'on continue à parler en nautique dans le domaine maritime.
(smiling) on peut imaginer - à mon nouveau - que la traduction de ce livre n'est pas une tâche facile. Les descriptions du bateau, des cales, des couloirs, des différents niveaux abondent, et personnellement en lisant la VO, j'ai eu bcp de mal à m'en sortir 'spatialement". Eh oui ! Personne n'est parfait !Bon, quand les personnages évoquaient des distances sur la banquise (eau de mer gelée), j'avoue que je me suis posé des questions...
J'ai eu les mêmes difficultés avec la traduction de Ballet temporel, dont une partie se passe en mer sur un voilier (littéralement) antédiluvien. Sauf pour les unités de mesure : des gens du XXe siècle envoyés près de deux cent mille ans dans le passé, soit on parle en km, soit on garde les unités "de l'époque".Sylvain a écrit :(smiling) on peut imaginer - à mon nouveau - que la traduction de ce livre n'est pas une tâche facile. Les descriptions du bateau, des cales, des couloirs, des différents niveaux abondent, et personnellement en lisant la VO, j'ai eu bcp de mal à m'en sortir 'spatialement". Eh oui ! Personne n'est parfait !Bon, quand les personnages évoquaient des distances sur la banquise (eau de mer gelée), j'avoue que je me suis posé des questions...