L'Homme Stochastique (Bob). Spoiler.
Posté : ven. oct. 24, 2008 1:58 pm
Lu hier soir.
Nom de Zeus, après L'Homme dans le Labyrinthe que j'ai aussi lu pour la première fois récemment, deuxième claque par Silverberg.
J'ouvre ce sujet car je voudrais votre avis sur la fin de l'Homme Stochastique.
Le personnage principal a atteint lui aussi un stade où il "voit" distinctement le futur.
Il a fait peur à Quinn, le futur Président/Dictateur des USA.
A ce stade, normalement, le lecteur a de la sympathie pour le "Héros", qui a perdu sa femme, son Job, le but de sa vie, et qui est en plus en proie à de sérieux cauchemars autour de sa propore mort.
Puis, à la toute toute fin du livre, Nichols ouvre une école de "post-stochastique" où il recrute et forme d'autre personnes, ses nouveaux frêres, à l'art de voir dans le futur.
But avoué, que tous puisse posséder ce "don" et que l'Homme soit enfin débarrassé de ce fardeau qu'est le libre arbitre. Chacun jouant à la perfection son rôle, connu à l'avance.
Dixit les dernières phrases du livre : "Mort à Jacques Monod, Vive Dieu"
Ben, je ne sais pas pour vous, mais moi du coup, je ne pense qu'à une seule chose : être Quinn et foutre tout ce beau monde en face d'un peleton d'exécution.
Ce salaud de Silverberg a réussi à me faire rendre sympathique Gengis Khan !
Fort, très fort le gars
Mort à Nichols !
Vive Quinn !
Nom de Zeus, après L'Homme dans le Labyrinthe que j'ai aussi lu pour la première fois récemment, deuxième claque par Silverberg.
J'ouvre ce sujet car je voudrais votre avis sur la fin de l'Homme Stochastique.
Le personnage principal a atteint lui aussi un stade où il "voit" distinctement le futur.
Il a fait peur à Quinn, le futur Président/Dictateur des USA.
A ce stade, normalement, le lecteur a de la sympathie pour le "Héros", qui a perdu sa femme, son Job, le but de sa vie, et qui est en plus en proie à de sérieux cauchemars autour de sa propore mort.
Puis, à la toute toute fin du livre, Nichols ouvre une école de "post-stochastique" où il recrute et forme d'autre personnes, ses nouveaux frêres, à l'art de voir dans le futur.
But avoué, que tous puisse posséder ce "don" et que l'Homme soit enfin débarrassé de ce fardeau qu'est le libre arbitre. Chacun jouant à la perfection son rôle, connu à l'avance.
Dixit les dernières phrases du livre : "Mort à Jacques Monod, Vive Dieu"
Ben, je ne sais pas pour vous, mais moi du coup, je ne pense qu'à une seule chose : être Quinn et foutre tout ce beau monde en face d'un peleton d'exécution.
Ce salaud de Silverberg a réussi à me faire rendre sympathique Gengis Khan !
Fort, très fort le gars
Mort à Nichols !
Vive Quinn !