quand le cliffhanger est systématique à chaque chapitre et renvoie au chapitre suivant du même fil de naration qui se trouve parfois 200 pages plus loin, ca devient lourd.frOM a écrit :Oui, on sent les techniques d'écriture. Que ressentirions-nous s'il n'y avait ni cliffhanger (il y a tellement de fils dans cette histoire), ni discussion (on peut partager ou ne pas partager sa 'philosophie' — mais les discussions sont indispensables chez lui), ni foisonnement de personnages et d'intrigues ?
Olympos, de Dan Simmons
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Ce qui dit donc bien notre intérêt : on a envie de connaître la suite de la sous-intrigue. Sans cliffhanger, le texte paraîtrait sans doute très haché, présentant des histoires indépendantes.rmd a écrit :quand le cliffhanger est systématique à chaque chapitre et renvoie au chapitre suivant du même fil de naration qui se trouve parfois 200 pages plus loin, ca devient lourd.