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Geoff ryman dans solaris 170

Posté : mar. juin 02, 2009 1:12 pm
par rmd
Solaris 170 contient une nouvelle de geoff ryman, "la jolie fille de Pol Pot", mettant en scène la fille richissime et improbable de Pol Pot hantée par les fantomes du génocide. Sujet éminemment casse-gueule et traité particulièrement bien par Ryman, c'est la meilleur nouvelle que j'ai lu depuis longtemps.

Les lecteurs de l'antho "les continents perdus" chez denoel se souviennent certainement de l'excellent texte de ryman qu'elle contenait déjà, on ne peut que regretter qu'il ne soit pas plus traduit.

Achetez solaris 170, rien que ce texte est une raison suffisante!

Posté : mar. juin 02, 2009 2:41 pm
par kibu
"Air" était annoncé chez Bragelonne SF à une époque.

Posté : mer. juin 03, 2009 5:06 pm
par Razheem L'insensé
Oui et je n'ai de cesse de me demander: Mais où est-il passé ce Air ?

Posté : ven. juin 05, 2009 6:02 am
par thomasday
Je confirme pour la nouvelle de Geoff Ryman dans Solaris 170, elle vaut amplement qu'on achète la revue (d'ailleurs, je ne lui vois guère de concurrent pour le GPI). Ceux qui connaissent un peu le Cambodge seront fascinés de passer par certains lieux-clés de Phnom Penh.

TD

Re: Geoff ryman dans solaris 170

Posté : ven. juin 05, 2009 6:13 am
par thomasday
rmd a écrit :...on ne peut que regretter qu'il ne soit pas plus traduit.
Mouais...
Ryman est très bon en nouvelles/novella, je trouve qu'il s'essouffle sur le roman (à part peut-être de The Child Garden, mais c'est difficile à traduire, impossible à vendre). Par ailleurs, il choisit souvent un cadre référentiel (une série populaire américaine, des événements historiques méconnus) dont il ne donne pas les clés.
Je n'ai pas lu Air jusqu'au bout (c'est intéressant mais interminable), et ce que j'en ai lu ne contenait guère plus de choses que la nouvelle à la base du roman (publiée il y a quelques années dans un des year's best de Dozois).

TD

Posté : ven. juin 05, 2009 7:36 am
par Lensman
Gilles nous rappelle opportunément qu'allonger ou délayer une bonne nouvelle fait rarement un bon roman (j'ai écrit "rarmement", pas "jamais").
Oncle Joe