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Nicolas Eymerich, Inquisiteur - Valerio Evangelisti -

Posté : lun. juin 29, 2009 8:53 pm
par Zarcania
Un roman de science-fiction mélangeant les époques.

L'histoire se situe en trois point différents de la ligne de temps. Le futur explique le passé, les concepts sont expliqués par le présent.

Une enquête un peu faible pour un concept très intéressant. L'histoire passée sur des faits réels (histoire de l'inquisition et personnages) est vivante et ne laisse pas le temps de s'ennuyer.

Un seul bémol, la mollesse des tenants et aboutissants policiers. La suite de la série m'attire tout de même.

Zarcania

Posté : mar. juin 30, 2009 8:46 am
par Eons
J'ai apprécié les 5 (ou 6 ? j'ai un doute) volumes parus en France.

Posté : mar. juin 30, 2009 10:21 am
par Le_navire
J'en ai lu un, me suis fait chier, j'ai trouvé ça mal fichu et mal écrit (ou mal traduit).

Posté : mar. juin 30, 2009 12:49 pm
par Lhisbei
pareil que le Navire sauf que j'en ai lu 2

Posté : mar. juin 30, 2009 12:52 pm
par Roland C. Wagner

Posté : mar. juin 30, 2009 3:12 pm
par Lem
Roland C. Wagner, dans son article sur Evangelisti, a écrit :…au lecteur novice en matière de littératures de l'imaginaire.
Mais mais mais alors je n'y comprends plus rien.

Posté : mar. juin 30, 2009 3:55 pm
par Roland C. Wagner
Lem a écrit :
Roland C. Wagner, dans son article sur Evangelisti, a écrit :…au lecteur novice en matière de littératures de l'imaginaire.
Mais mais mais alors je n'y comprends plus rien.
:lol:

Posté : mer. juil. 01, 2009 7:39 am
par Hoêl
Il ne faut pas s'arrêter à la lecture d'un ou deux volumes avec Eymerich , Evangelisti a véritablement construit une triple Histoire du passé/présent/futur , très cohérente mais dont certains éléments du premier volume ne sont élucidés que dans les suivants . Même si la sauce prend moins bien dans Picatrix , l'ensemble relève pour moi du chef-d'oeuvre .
En revanche , les deux volumes de Nostradamus sont une sombre bouse .

Posté : mer. juil. 01, 2009 9:20 am
par bormandg
Hoêl a écrit :En revanche , les deux volumes de Nostradamus sont une sombre bouse .
Je ne sais pas si c'est une revanche, n'ayant pas lu Eymerich; mais j'ai calé au 1° volume de la "sombre bouse" et je trouve le qualificatif atténué. :twisted:

Posté : mer. juil. 01, 2009 9:20 am
par Roland C. Wagner
Hoêl a écrit :Il ne faut pas s'arrêter à la lecture d'un ou deux volumes avec Eymerich
C'est d'ailleurs une caractéristique des séries dont la construction suit un projet global.

Posté : mer. juil. 01, 2009 9:24 am
par bormandg
Roland C. Wagner a écrit :
Hoêl a écrit :Il ne faut pas s'arrêter à la lecture d'un ou deux volumes avec Eymerich
C'est d'ailleurs une caractéristique des séries dont la construction suit un projet global.
Phrase gratuite et qui n'est vraie que de façon partielle: il y a des auteurs capâbles de faire apparaître leur projet global dès le premier volume. 8)

Posté : mer. juil. 01, 2009 9:39 am
par Roland C. Wagner
bormandg a écrit :
Roland C. Wagner a écrit :
Hoêl a écrit :Il ne faut pas s'arrêter à la lecture d'un ou deux volumes avec Eymerich
C'est d'ailleurs une caractéristique des séries dont la construction suit un projet global.
Phrase gratuite et qui n'est vraie que de façon partielle: il y a des auteurs capâbles de faire apparaître leur projet global dès le premier volume. 8)
Ce n'est pas une question de capacité mais de choix.

Pour s'en rendre compte, il suffit de comparer la série du Centre galactique de Gregory Benford, où le projet global se dévoile peu à peu, avec Rupture dans le réel, où le projet en question est clair dès le premier volume.

Posté : mer. juil. 01, 2009 9:51 am
par Le_navire
Si je comprends bien , faut que je me mette à l'Italien... *soupir*

Posté : mer. juil. 01, 2009 10:04 am
par bormandg
Roland C. Wagner a écrit :
bormandg a écrit :
Roland C. Wagner a écrit :
Hoêl a écrit :Il ne faut pas s'arrêter à la lecture d'un ou deux volumes avec Eymerich
C'est d'ailleurs une caractéristique des séries dont la construction suit un projet global.
Phrase gratuite et qui n'est vraie que de façon partielle: il y a des auteurs capâbles de faire apparaître leur projet global dès le premier volume. 8)
Ce n'est pas une question de capacité mais de choix.

Pour s'en rendre compte, il suffit de comparer la série du Centre galactique de Gregory Benford, où le projet global se dévoile peu à peu, avec Rupture dans le réel, où le projet en question est clair dès le premier volume.
Il peut y avoir un choix de ne pas dévoiler immédiatement le projet global comme il peut y avoir absence de projet global ou incapacité à le mettre en évidence dès le départ. Les exemples prouvent des cas possibles, mais n'excluent pas les autres (à part l'impossibilité de faire ce dont on n'est pas capable). 8)

Posté : mer. juil. 01, 2009 10:48 am
par Roland C. Wagner
bormandg a écrit :Il peut y avoir un choix de ne pas dévoiler immédiatement le projet global comme il peut y avoir absence de projet global ou incapacité à le mettre en évidence dès le départ. Les exemples prouvent des cas possibles, mais n'excluent pas les autres (à part l'impossibilité de faire ce dont on n'est pas capable). 8)
Je corrige donc ta phrase de départ :

Il y a des auteurs capables de faire apparaître leur projet global dès le premier volume (1), mais ils peuvent choisir de ne pas le faire.

(1) Ou la première saison, voir Buffy.