MEMORIA de Laurent GENEFORT
Posté : jeu. sept. 10, 2009 5:52 pm
Bonjour,
Je viens de lire MEMORIA de Laurent GENEFORT.
Même si rédiger un commentaire n’est pas simple pour moi, je trouve que ce bouquin en vaut la peine. Merci d’être indulgent si des fautes sont présentes dans ma rédaction.
Alors que l’humanité s’étend dans l’univers grâce à des « portes » qui permettent de voyager à travers l’univers (oui je sais ça n’est pas nouveau), vestiges d’une civilisation extra terrestre qui semble disparue, des entreprises multimondiales exploitent les ressources des planètes ou astéroïdes ainsi découverts. Cette exploitation s’accompagne souvent de l’établissement de colonies où les humains s’organisent en sociétés aux normes variables. Les entreprises multimondiales ne sont pas très regardantes sur ce qui se passe sur leurs colonies tant que les exportations de matières premières n’en souffrent pas. Mais parfois, les actes d’un leader local perturbent gravement ou tarissent le flot de ressources. Les conglomérats propriétaires de la planète décident alors l’envoi de corps expéditionnaires pour rétablir la situation ou mandatent un tueur pour éliminer le problème à sa source.
C’est là qu’intervient le héros du roman.
Pour effectuer ces missions il dispose d’un atout colossale : un artefact extraterrestre, logé dans une valise, qui lui permet de sauvegarder l’esprit d’un individu et de transférer le sien dans le cerveau du même individu en s’appropriant les connaissances de son «hôte ». Il peut donc théoriquement, en occupant un autre corps, infiltrer n’importe quelle organisation, même la plus hermétique pour s’approcher des cibles les mieux protégées.
Pourtant au fil du temps, en l’occurrence un millénaire, des effets secondaires se manifestent sous forme de crises durant lesquelles des réminiscences assaillent le tueur, et le rendent vulnérable voir inopérant. Ces crises finiront par révéler l’origine extraordinaire du héros qui, de transferts en transferts ne sait plus vraiment qui il est.
J’ai été vite accroché par ce récit au rythme soutenu qui ne m’a pas ennuyé un seul instant, et même si le roman est assez court et que l’on y retrouve certains accessoires déjà exploités dans d’autres livres (mais après tout ça doit devenir de plus en plus inévitable) l’univers dépeint est assez riche. Un lexique est d’ailleurs présent à la fin de l’ouvrage, pour apporter des explications sur les termes et notions de l’univers décrit. De plus l’utilisation de souvenirs et l'exposé de leurs impacts sur leur personnalité donnent de la profondeur aux personnages "empruntés" par le héros.
J’ai juste trouvé la fin un peu rapide et frustrante quand au devenir du personnage principal.
Voilà, c’est mon humble avis.
Je viens de lire MEMORIA de Laurent GENEFORT.
Même si rédiger un commentaire n’est pas simple pour moi, je trouve que ce bouquin en vaut la peine. Merci d’être indulgent si des fautes sont présentes dans ma rédaction.
Alors que l’humanité s’étend dans l’univers grâce à des « portes » qui permettent de voyager à travers l’univers (oui je sais ça n’est pas nouveau), vestiges d’une civilisation extra terrestre qui semble disparue, des entreprises multimondiales exploitent les ressources des planètes ou astéroïdes ainsi découverts. Cette exploitation s’accompagne souvent de l’établissement de colonies où les humains s’organisent en sociétés aux normes variables. Les entreprises multimondiales ne sont pas très regardantes sur ce qui se passe sur leurs colonies tant que les exportations de matières premières n’en souffrent pas. Mais parfois, les actes d’un leader local perturbent gravement ou tarissent le flot de ressources. Les conglomérats propriétaires de la planète décident alors l’envoi de corps expéditionnaires pour rétablir la situation ou mandatent un tueur pour éliminer le problème à sa source.
C’est là qu’intervient le héros du roman.
Pour effectuer ces missions il dispose d’un atout colossale : un artefact extraterrestre, logé dans une valise, qui lui permet de sauvegarder l’esprit d’un individu et de transférer le sien dans le cerveau du même individu en s’appropriant les connaissances de son «hôte ». Il peut donc théoriquement, en occupant un autre corps, infiltrer n’importe quelle organisation, même la plus hermétique pour s’approcher des cibles les mieux protégées.
Pourtant au fil du temps, en l’occurrence un millénaire, des effets secondaires se manifestent sous forme de crises durant lesquelles des réminiscences assaillent le tueur, et le rendent vulnérable voir inopérant. Ces crises finiront par révéler l’origine extraordinaire du héros qui, de transferts en transferts ne sait plus vraiment qui il est.
J’ai été vite accroché par ce récit au rythme soutenu qui ne m’a pas ennuyé un seul instant, et même si le roman est assez court et que l’on y retrouve certains accessoires déjà exploités dans d’autres livres (mais après tout ça doit devenir de plus en plus inévitable) l’univers dépeint est assez riche. Un lexique est d’ailleurs présent à la fin de l’ouvrage, pour apporter des explications sur les termes et notions de l’univers décrit. De plus l’utilisation de souvenirs et l'exposé de leurs impacts sur leur personnalité donnent de la profondeur aux personnages "empruntés" par le héros.
J’ai juste trouvé la fin un peu rapide et frustrante quand au devenir du personnage principal.
Voilà, c’est mon humble avis.