Bon, si, j'en ferai un, finalement.Roland C. Wagner a écrit :Je rappelle quand même que mon premier contact avec "Pete Bondurant" a été son blog sur les Utopiales d'il y a deux ans où il m'a introduit en suggérant que j'étais bourré parce que j'ai évoqué le révisionnisme lors de la présentation d'une collection d'uchronies pour la jeunesse.Erion a écrit :Et concernant ton différent avec Roland, ce n'est pas le fil qui a modifié ton avis sur lui, tu avais déjà ton opinion auparavant. Va pas trouver ce fil comme excuse.
Je ne ferai aucun commentaire, mais ne vous gênez pas, les enfants, c'est ma tournée.
Je veux bien qu'on écrive que je suis bourré — enfin, si c'est vrai, et ça ne l'était pas à ce moment-là — mais j'ai du mal à supporter qu'on affirme que je dis des conneries lorsque ce n'est pas le cas. J'ai donc fait une chose que je n'avais jamais faite en 35 ans de carrière : j'ai envoyé un mot au rédacteur en chef de la revue qui hébergeait le blog pour que ce passage quasiment diffamatoire soit retiré.
J'imagine qu'après avoir pris connaissance des faits ci-dessus, les rares lecteurs de ce fil comprendront mieux pourquoi l'on trouve ceci en première page dudit fil :
Et qu'on ne vienne pas me dire qu'il s'agit d'une "attaque personnelle". je ne fais que me défendre.Pete Bondurant a écrit :Pour ma part, j'ai juste trouvé l'article de Wagner un peu à côté de la plaque.
Et un peu haineux, aussi.
Je ne comprends pas pourquoi il serait obligatoire de donner systématiquement à ses critiques la forme pamphlétaire, quand il s'agit de discuter des thèses ou de corriger des approximations. Le statut de la métaphysique dans la science-fiction n'est pas un sujet qui appelle l'invective violente, à mon sens.
(…)
je ne peux pas m'empêcher de voir une certaine mauvaise foi dans le propos de Roland, que je ne m'explique pas, sauf à supposer des motifs de discorde extra-philosophiques et autres rancœurs secrètes, dont la teneur m'intéresse peu, et qui n'ont rien à faire dans une critique littéraire. AMHA.
Pour ceusses qui n'auraient pas encore lu ma critique haineuse où je pratique à l'évidence l'invective violente, elle est ici.