Océanique d'egan

[Nébal]

Bah pourquoi ?

Ce mot me paraît le plus juste possible pour des auteurs comme Egan ou Baxter (quand il est en forme).

On pourrait même le qualifier de "métaphysique"...

[Sand]

Papagano va dire que ça vient de moi, alors.

Sujette au vertige, le vrai, le médical, depuis aussi loin que je me souvienne, ben ça ne ressemble pas à ce qui se passe quand je lis Egan.

Le vertige paralyse, il envahit l'esprit et il n'y a plus que le vide en face de soi, on est privé de tout sauf de l'abime ; Egan fait réfléchir, c'est une plongée, ou à l'inverse un élèvement, c'est grisant, de nouveaux horizons s'ouvrent.

rien à voir avec le focalisation délètère du vertige. presque exactement l'inverse.

[Roland C. Wagner]

Papagano va dire que ça vient de moi, alors.

Sujette au vertige, le vrai, le médical, depuis aussi loin que je me souvienne, ben ça ne ressemble pas à ce qui se passe quand je lis Egan.

Le vertige paralyse, il envahit l'esprit et il n'y a plus que le vide en face de soi, on est privé de tout sauf de l'abime ; Egan fait réfléchir, c'est une plongée, ou à l'inverse un élèvement, c'est grisant, de nouveaux horizons s'ouvrent.

rien à voir avec le focalisation délètère du vertige. presque exactement l'inverse.

Bien vu. J'approuve à 99,99 %.

[MF]

Papagano va dire que ça vient de moi, alors.

Sujette au vertige, le vrai, le médical, depuis aussi loin que je me souvienne, ben ça ne ressemble pas à ce qui se passe quand je lis Egan.

Le vertige paralyse, il envahit l'esprit et il n'y a plus que le vide en face de soi, on est privé de tout sauf de l'abime ; Egan fait réfléchir, c'est une plongée, ou à l'inverse un élèvement, c'est grisant, de nouveaux horizons s'ouvrent.

rien à voir avec le focalisation délètère du vertige. presque exactement l'inverse.

Bien vu. J'approuve à 99,99 %.

Le 0,01% qui manque, c'est l'accent sur délétère ?

[Roland C. Wagner]

Papagano va dire que ça vient de moi, alors.

Sujette au vertige, le vrai, le médical, depuis aussi loin que je me souvienne, ben ça ne ressemble pas à ce qui se passe quand je lis Egan.

Le vertige paralyse, il envahit l'esprit et il n'y a plus que le vide en face de soi, on est privé de tout sauf de l'abime ; Egan fait réfléchir, c'est une plongée, ou à l'inverse un élèvement, c'est grisant, de nouveaux horizons s'ouvrent.

rien à voir avec le focalisation délètère du vertige. presque exactement l'inverse.

Bien vu. J'approuve à 99,99 %.

Le 0,01% qui manque, c'est l'accent sur délétère ?

Euh non, c'était celui d'abîme.

Bon, 99,98 % alors.

[Sand]

événement ou évènement ?

Chaque vertige est différent

S'pèce d'accentués !

[Roland C. Wagner]

événement ou évènement ?

Guerre.

[Papageno]

Oui, mais vous, vous êtes les champions du mot millimétrés - je ne peux pas rivalisé avec vous dans ce domaine!

"des nouveaux horizons s'ouvrent" ?
Je ne sais pas ? quand j'ai lu Isolation par exemple, pour moi ce n'était pas des horizons qui s'ouvraient, j'avais déjà lu et beaucoup pensé a ce genre de choses quand j'étais étudiant (J'ai fait physique, hein !)
Ce qu'a fait Egan, c'est de me le faire ressentir dans mes tripes, en concrétisant dans une histoire, des idées parmi les plus abstraites de la physique, jusque qu'a ce que j'en ai "la chair de poule". Moi, j'appelle ça, "vertige", maintenant, appelez ça comme vous voulez, hein - je vous fait confiance pour le choix exact des mots.

Maintenant, je n'ai pas trop envi de me lancer dans un débat pour savoir ce qu'on ressent en lisant Egan. Je ne suis pas vraiment de taille a vous contredire, j'ai donné mon ressenti, c'est tout !

[Eons]

événement ou évènement ?

L'un ou l'autre au choix.

Chaque vertige est différent

Exact. Et le vertige littéraire n'a rien à voir avec l'acrophobie (que je connais bien aussi).

vertige : n. m.
1. Sensation de perte d’équilibre et de tourbillonnement éprouvée à la vue du vide. Par ext. Toute sensation d’étourdissement et de perte d’équilibre. Avoir des vertiges.
2. Fig. Égarement des sens ou de l’esprit.

[marc]

Je ne sais pas ? quand j'ai lu Isolation par exemple, pour moi ce n'était pas des horizons qui s'ouvraient, j'avais déjà lu et beaucoup pensé a ce genre de choses quand j'étais étudiant (J'ai fait physique, hein !)

+1
Quand j'avais lu Isolation, j'avais trouvé que c'était un livre froid et sans âme (un peu comme un film bourré d'effets spéciaux mais avec une histoire banale).
J'espère qu'en lisant Axiomatique, j'y trouverai une autre image d'Egan. Si c'est pas le cas, je retourne au space opera.

[jp the z]

Marc, je pense que oui, tu peux trouver dans "Axiomatique" un interet et un plaisir absent de la lecture de "Isolation".
J ai fait le contraire, lu d abord "Axiomatique" et apres "Isolation" et en ce qui me concerne je prefere Egan commme ecrivain de nouvelles que comme romancier.
Des 3 ou 4 romans de Egan que j ai lu, pas un ne m a accroche, encore moins passionne.
Par contre des le debut de "Axiomatique" , je suis reste scotche, et par la suite je n ai jamais ete decu par une nouvelle de lui.
Mon avis personnel est que Egan n est pas un romancier. Le format de la nouvelle lui convient le mieux. Des que le nombre de page depasse un certain seuil, meme si ses idees restent toujours aussi passionnantes, son style d'ecriture, la construction du recit... ne conviennent plus a la forme longue.
Ceci dit j en connais qui pensent differemment.

[julien.vdhg]

C'est pas la première fois que je lis que Egan est meilleur nouvelliste que romancier. En tout ça sil fait réfléchir à défaut de me donner le vertige! :D

Je continue la lecture... Car finalement, j'accroche bien.

Mais l'ouvrage de vulgarisation est peut-être à ajouter à ma liste d'achat. Car finalement c'est ce genre de vulgarisation là que l'on retient avec le temps non?

[jlavadou]

Papagano va dire que ça vient de moi, alors.

Sujette au vertige, le vrai, le médical, depuis aussi loin que je me souvienne, ben ça ne ressemble pas à ce qui se passe quand je lis Egan.

Le vertige paralyse, il envahit l'esprit et il n'y a plus que le vide en face de soi, on est privé de tout sauf de l'abime ; Egan fait réfléchir, c'est une plongée, ou à l'inverse un élèvement, c'est grisant, de nouveaux horizons s'ouvrent.

rien à voir avec le focalisation délètère du vertige. presque exactement l'inverse.

Le Petit Larousse illustré - 2005 :
vertige n.m.
(...)
3. Trouble, exaltation, égarement dus à qqch d'intense. Le vertige de la gloire.

Va falloir sortir le dictionnaire à chaque fois dès qu'on emploie un mot dans le sens qui n'est pas celui que vous attendez ou bien ?...

[Sand]

Abus de langage !

[Eons]

Le Petit Larousse illustré - 2005 :

T'as des heures de retard sur ma propre réponse, Jérôme.