C'est aussi à mon sens le personnage le plus raté.le prêtre qui passe l'hiver au castel est gratiné
A+
Patrice
Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
pas à mon sens mais peut être que ce personnage souffre de ce qu'il représente : il est un peu trop appuyé parce qu'il est une image de l'église inquisitrice qui se profile à l'horizon. (enfin dans ma lecture). du coup il manque de naturelPatrice a écrit :Salut,
C'est aussi à mon sens le personnage le plus raté.le prêtre qui passe l'hiver au castel est gratiné
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Patrice
le prologue est scotchant ah ça oui !Mors Ultima Ratio a écrit :J'ai pris une vraie claque en lisant ce roman (trop court!). l'ambiance, le rythme, la beauté de l'écriture... Il y a de menues imperfection bien sûr, mais quelle bouffée d'air frais! Et je reste encore scotché par l'intro.
Disons qu'il est quand même l'objet d'un changement de personnalité radical en même pas une page. Ca va trop vite. Du genre "hop, j'enlève le masque".Lhisbei a écrit : pas à mon sens mais peut être que ce personnage souffre de ce qu'il représente : il est un peu trop appuyé parce qu'il est une image de l'église inquisitrice qui se profile à l'horizon. (enfin dans ma lecture). du coup il manque de naturel
Tout dépend si c'est un changement de personnalité, auquel cas la brutalité choque, ou le rejet d'un masque, qui peut être brutal...Patrice a écrit :Salut,
Disons qu'il est quand même l'objet d'un changement de personnalité radical en même pas une page. Ca va trop vite. Du genre "hop, j'enlève le masque".Lhisbei a écrit : pas à mon sens mais peut être que ce personnage souffre de ce qu'il représente : il est un peu trop appuyé parce qu'il est une image de l'église inquisitrice qui se profile à l'horizon. (enfin dans ma lecture). du coup il manque de naturel
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Patrice
Marrant : je vais le voir la semaine prochaine !Cheminant du début à la fin, je me suis parfois un peu ennuyé, comme extérieur à ce que racontait le roman, comme observant un objet d’art réussi techniquement mais dépourvu d’émotion. "Chien du Heaume" n’est pas le retable d’Issenheim, c’est bien dommage.
Si c'est le bonne explication, alors c'est que je suis trop homme pour atteindre la substantifique moelle de ce roman.Chien du heaume et mordre le bouclier sont un autre regard,
des visions de femmes -non pas féministes, mais parce que "autres"