2001 au ciné le vendredi 15 février
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2001 au ciné le vendredi 15 février
Vendredi 15 février, à 20h, projection de "2001, l'odyssée de l'espace" au cinéma Grand-Action (5 rue des Ecoles, Paris V). Projection suivie d'un débat. Renseignements sur inrees.com (lu dans le journal gratuit "Métro").
Oncle Joe
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Re: 2001 au ciné le vendredi 15 février
Si c'est une copie 70mm, foncez. Un grand moment.Lensman a écrit :Vendredi 15 février, à 20h, projection de "2001, l'odyssée de l'espace" au cinéma Grand-Action (5 rue des Ecoles, Paris V). Projection suivie d'un débat. Renseignements sur inrees.com (lu dans le journal gratuit "Métro").
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Je voudrais bien, c'est même tentant, mais le même jour à la même heure la Cinémathèque française propose un double programme de cinéma bis philippin.
2001 fait pas le poids.
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« Je m’en fiche. Dans ma tête je peux aller où je veux. C’est moi qui décide.
Je n’ai qu’à décider, et je peux aller où je veux... Ailleurs, n’importe où. »
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Tu as tort, mon oncle.Lensman a écrit :ça fait un moment (3 ou 4 ans, au moins) que je n'ai pas re-re-re-(etc.)revu ce film au cinéma (je continue à refuser de le voir sur un écran télé, même si j'ai le DVD...)
Oncle Joe
J'ai bien vu 2001 une vingtaine de fois. La dernière, c'était sur une toute petite télé pourrie et j'ai carrément redécouvert le film : la compacité de l'image empêchant l'immersion, il est permis de l'admirer de l'extérieur, comme une suite de miniatures. Certaines séquences (en particulier l'alunissage de la navette, sa descente à travers les docks souterrains) sont quasiment de la géométrie et de la couleur pures, ce que je n'avais jamais perçu auparavant à ce niveau d'intensité. Ce film fait mieux que résister aux distorsions ; il les met à profit pour se réinventer. Mais c'est la vertu des grandes œuvres d'art, tu ne seras pas surpris.
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Je plussoie avec fermeté.
Toutes les séquences de la Lune sont de cet acabit. Le jeu sur le grand angle dans les salons de transit, avec cette perspective flouée et la blancheur clinique du décor que viennent trancher les sièges rouges sursaturés et les vêtements sombres des personnages, c'est de l'ordre de pureté d'un haïku monosyllabique.
Toutes les séquences de la Lune sont de cet acabit. Le jeu sur le grand angle dans les salons de transit, avec cette perspective flouée et la blancheur clinique du décor que viennent trancher les sièges rouges sursaturés et les vêtements sombres des personnages, c'est de l'ordre de pureté d'un haïku monosyllabique.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
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Dans le même genre redifusion vieux classique, l'utopia de bordeaux passe la version non coupée et qui finit mal de Blade Runner.
http://www.fantastinet.com l'actualité de la littérature de l'imaginaire
Plutôt un euphémisme : là, à vue de nez, c'est carrément du gros Z.Lensman a écrit : Le "cinéma bis philippin"? Je ne suis guère connaisseur, mais n'y a-t-il pas laàaussi un pléonasme?
Oncle Joe

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Ça reste clairement du bis (Reanimator d'un coté, Mad-Max de l'autre). Et à priori c'est plus de la série B que du vrai Z, pas assez fauché pour du Z ^^Nébal a écrit :Plutôt un euphémisme : là, à vue de nez, c'est carrément du gros Z.
Je pencherais donc plutôt pour le pléonasme.
(quoi que je connais certaines personnes qui vous soutiendront mordicus que non il n'y a pas que du bis aux Philippines, mais aussi tout plein de films érotiques et quelques films indépendants d'auteurs)
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