Attention, tu risques de te rendre complice.
Imaginales 2010 : Conf. "Écrire pour le grand public...
Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m, Mathilde Marron, sebastieng
Pas encore fini d'écouter, mais effectivement j'ai tiqué sur la même chose, cette caricature facile de la littérature blanche me fait toujours grincer des dents. En revanche, plutôt d'accord avec le discours d'Henri Loevenbruck par rapport au fait qu'on écrive pour être lu, et pour sa défense de Bragelonne.Don Lorenjy a écrit :L'impression que ça me donne, c'est qu'ils tapent sur la littérature blanche aussi fort que St-Germain les ignore. Et surtout qu'il ne lisent pas plus la blanche avant de la dénigrer, que la blanche ne les lit.
Perso, j'ai lu des livres français primés (Là où les tigres sont chez eux, par exemple) qui m'ont enthousiasmé et envoyé plus loin que certain trucs SF ou fantasy encensés.
Edit : je nuance mon propos après avoir écouté la TR jusqu'au bout. L. et W. reconnaissent une certaine valeur à la blanche dont ils ont su reconnaître le bon grain de l'ivraie, eux !
Henri Loevenbruck relate une anecdote assez sympa sur son passage dans une émission de PPDA. Mais sur son site dans la rubrique Presse on retrouve les paroles de PPDA...
Et on peut aussi lire ça et je sais que ça va plaire à certains. A propos d'un de ses livres.
Et on peut aussi lire ça et je sais que ça va plaire à certains. A propos d'un de ses livres.
" Plus qu'un simple thriller, une leçon de philosophie "
Bernard Wer ber
Salut,
A+
Patrice
C'est assez marrant, ce que tu signales là, Travis, parce que donc il se plaint de ne pas avoir à faire à des journalistes sérieux, et en attendant, sur son site, il se vante de tout cela:Travis a écrit :Henri Loevenbruck relate une anecdote assez sympa sur son passage dans une émission de PPDA. Mais sur son site dans la rubrique Presse on retrouve les paroles de PPDA...
Et on peut aussi lire ça et je sais que ça va plaire à certains. A propos d'un de ses livres.
" Plus qu'un simple thriller, une leçon de philosophie "
Bernard Wer ber
S'il n'était pas content de ça, il ne le citerait pas sur son site, non??? Ou alors c'est schizophrène... Ou bassement... commercial?LE SYNDROME COPERNIC :
"Mené à cent à l'heure, avec une redoutable efficacité narrative, voici un thriller paranoïaque qui palpite comme les tempes du héros lorsque surviennent ses crises de voyances télépathiques. A lire d'urgence ! "
Olivier Delcroix, Le Figaro
" Un passionnant thriller métaphysique mâtiné de SF. Loevenbruck sait mener une intrigue. Le Syndrome Copernic est mû par une mécanique remarquable. Loevenbruck est en passe de s'imposer comme le nouveau maître du thriller français. "
Claire Julliard, Le Nouvel Observateur
"Le Syndrome Copernic (...) est traité avec un art du suspense consommé. Mais c'est surtout par la façon dont Loevenbruck sait dépeindre les sentiments et la confusion de son héros qu'il nous touche."
Hubert Prolongeau, Elle
"Entre certitude du doute et doute de la certitude, Loevenbruck nous mène avec talent dans le dédale des souterrains parisiens et du cerveau humain ."
Julie malaure, Le Point
" Un thriller hors pair (...) qui provoque trouble et manque de sommeil. "
Le Progrès
"Henri Loevenbruck est le roi du suspense (...). Avec Le Syndrome Copernic, il confirme un indéniable talent d'écrivain de suspense. Son roman est formidable de tension, de construction, de documentation scientifique, d'écriture serrée et, en même temps, d'ouverture sur un avenir humain inattendu. C'est haletant et riche. On ne peut s'empêcher de tourner fébrilement page après page, toujours curieux, avide de savoir "
Jean-Claude Vantroyen, Le Soir
"Tension permanente, suspense psychique, dialogues d'une grande maîtrise... Un thriller impécable."
Hubert Artus, Virgin
"Henri Loevenbruck signe un thriller captivant, précis et efficace, qui tient en haleine le lecteur sans discontinuer jusqu’à la dernière page. Brillant. "
R. Yalcin, Aufeminin.com
"Un cauchemar qui laisse le lecteur scotché à l'histoire... "
Télé 7 jours
"À l’aise entre les genres et aujourd’hui traduit en plusieurs langues, Loevenbruck figure parmi les auteurs français les plus prometteurs de sa génération."
Le Libraire
"Henri Loevenbruck fait s'écraser une tour à La Défense. Bilan : un très bon roman."
La Dernière Heure
"Le neuvième roman d'Henri Loevenbruck nous entraîne à pas feutrés dans le monde trouble de la schizophrénie (...) Fascinant."
Nouvelobs.com
" Ce roman construit comme un angoissant voyage au coeur d'une paranoïa est d'une efficacité redoutable. Henri Loevenbruck s'impose comme un maître du thriller français. Succès garanti en cas d'adaptation cinéma. "
Dominique Langard, France 3
" Il y a dans ce roman plus d'interrogations que de réponses, et c'est, sans conteste, dans cette forêt de doutes que réside toute l'âme de ce suspense haletant. (...) Alors désormais, si on vous oppose encore que "tous ces thrillers, ce n'est pas de la vraie littérature", soyez ferme, répondez que... vous lisez Henri Loevenbruck. "
Frédéric Ploton, Le Magazine des livres
" Ce roman m'a fasciné. "
Patrick Poivre d'Arvor, Vol de Nuit.
" Henri Loevenbruck, qui multiplie rebondissements et apartés, sait faire et mène son histoire à un train d'enfer... et nous avec, un peu essouflés derrière, mais ravis de l'être. "
Le Journal de Saône et Loire
" Ce roman entraîne le lecteur dans un pur moment de dépaysement qui ravira plus d'un amateur de thriller. Après avoir tourné la dernière page, il faut un moment pour que retombe la tension du voyage. (...) Un ton bien à lui qui imposera sans doute Henri Loevenbruck comme l'un des meilleurs auteurs de thrillers à la française. "
Gaston-Paul Effa, Le Républicain Lorrain
" Un thriller passionnant de bout en bout. "
L'écho de la Haute-Vienne
LE TESTAMENT DES SIECLES :
" Si vous avez aimé le Da Vinci Code, vous devez absolument lire ce livre "
Le Coup de coeur des libraires, LCI
" Plus qu'un simple thriller, une leçon de philosophie "
Bernard Werber
" Henri Loevenbruck a été l'un des premiers, en France, à pratiquer un mélange où se côtoient Umberto Eco, Arturo Perez-Reverte et Ian Pears... "
Le Figaro Littéraire
" Captivant. Le thriller de Henri Loevenbruck revient en force après le succès du Da Vinci Code et soutient la comparaison. Aussi passionnant, aussi haletant que le roman de Dan Brown, il surfe avec brio sur la vague de l'ésotérisme, du mystère, du complot. A ce petit jeu, toutefois, Henri Loevenbruck prend l'avantage. Il signe un roman captivant qui ne nous laisse pas sur notre faim. Le Testament des siècles sera assurément le roman de l'été. "
Karine Leroy, Paris Normandie
" L'un des meilleurs thrillers des trente dernières années. Superbe intrigue. "
Eure infos
" Ce genre de roman vaut bien quelques coups de soleil : on s'y laisse prendre avec plaisir ! "
Olivier Maison, Marianne
" L'exercice est parfaitement maîtrisé, le roman est passionant de la première à la dernière ligne. Le style est fluide et élégant, le suspense bien mené : on se régale, tout simplement ! "
Lanfeust Mag
"Les informations sur le Bilderberg sont très intéressantes, c'est-à-dire inquiétantes, et témoignent d'un beau souci de documentation de la part de l'auteur. (…) Le Testament des siècles bénéficie de la veine fantastique où l'auteur a fait ses premières armes, ce qui contribue au fait qu'on a bien du mal à ne pas le lire d'une seule traite."
Le Littéraire
" Ca démarre très fort et on rest collé sur l'intrigue jusqu'au bout. Henri Loevenbruck sait aller à l'essentiel : tenir son lecteur en haleine. Pari gagné "
Les affiches d'Alsace et de Lorraine
TRILOGIE DE GALLICA :
" Le Louvetier : de la littérature fantastique de grand talent !
Henri Loevenbruck, qui avait déjà fait très fort avec sa trilogie « la Moira » (rééditée à l’occasion par les éditions Bragelonne), poursuit aujourd’hui son histoire avec un nouveau cycle, celui de « Gallica ». Légendes, merveilleux et magie se mêlent pour un grand roman d’érudition et de secrets gravés dans la pierre. Ainsi, Loevenbruck forge peu à peu ses outils pour apporter sa pierre au grand-œuvre de la littérature fantastique francophone. "
Carole Pernet, Marianne
" Le récit terminé on reste émerveillé par le verbe de Loevenbruck, cette justesse de l'évocation des sentiments comme pris sur le vif. Une mélopée qui donne corps aux personnages. On sent la vie dans ce récit mais aussi cette grâce communicative qui toujours prend le lecteur. Un grand livre à cacher comme un trésor dans une bibliothèque. "
Emmanuel Collot, Ozymandias
TRILOGIE DE LA MOÏRA :
" Henri Loevenbruck signe là un beau roman de Fantasy, qui montre sa maîtrise pour ce genre et son envie de faire plaisir à son lecteur. L'essentiel quoi ! "
Alain Grousset, Lire
" Détente et émerveillement garantis. Un vrai bonheur de lecture. La suite, vite ! "
Lire et délires
" La Guerre des Loups tient toutes les promesses du premier tome. La Moïra s'annonce comme une grande trilogie de Fantasy d'aujourd'hui (...) Une réussite... "
Lanfeust Mag
" Une épopée de grande qualité à ne surtout pas bouder et à conseiller au plusgrand nombre "
Mauvais Genres
" Loevenbruck signe des romans parfaitement rythmés, qui nous apportent l'évasion et un émerveillement rare à notre époque. "
La Revue Indépendante
" Une trilogie poignante, qui vient enrichir la Fantasy francophone de par son originalité "
Khimaira
A+
Patrice
Autre hypothèse : tu n'as pas fait attention à ce qui s'est dit dans la conférence.Patrice a écrit : S'il n'était pas content de ça, il ne le citerait pas sur son site, non??? Ou alors c'est schizophrène... Ou bassement... commercial?
"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
http://melkine.wordpress.com/
http://melkine.wordpress.com/
C'est de la promo, c'est un aspect nécessaire du métier et il aurait bien tort de s'en priver. Le contraste avec ce que tu cites ne me choque pas spécialement, ce n'est pas comme s'il se contredisait ouvertement sur ce point entre deux interviews ou tables rondes.Patrice a écrit :S'il n'était pas content de ça, il ne le citerait pas sur son site, non??? Ou alors c'est schizophrène... Ou bassement... commercial?
Je cause pas pour les autres, mais je confirme : j'étais dans mon train sinon, je te garantis que j'aurais fait le cochon qu'on égorge.Denis a écrit :Quelque chose m'échappe dans la TR avec Werber, Loevenbruck et autres sur "Est-ce mal d'écrire pour le grand public". Je n'y pas pas assisté et je l'ai écouté , là, en lecture un peu rapide.
Il me semblait bien qu'il ya quelques temps Bernard avait été descendu grave au lance-flammes sur le forum ActuSF par Colin and Cie.
Or, il ne me semble pas qu'il y ait eu la moindre contestation dans la salle . Où étaient passés ces courageux pourfendeurs de la Ligue de l'Imaginaire. Au bar, en train de se gausser ? N'était-ce pas le moment idéal pour argumenter ? Une affaire de courage ?
Les types qui veulent le beurre et l'argent du beurre, moi, ça me fait le même effet que les grands patrons qui chouinent qu'on ne les aime pas, je trouve ça vulgaire. Henri, je lui disais bonjour gentiment, jusque là, je n'avais rien à lui reprocher d'autre que la médiocre qualité de ses écrits, mais là, des clous, et ça tombe bien, il s'en fout.
Sire Cédric, lui, est un garçon adorable et qui a l'énorme double qualité d'être gentil avec tout le monde, et de chercher sans cesse à s'améliorer, ce qu'il réussit de plus à faire fort bien.
On peut même sérieusement s'interroger sur le fait que cette table ronde ne comprenait en effet aucun détracteur sérieux à opposer à ces messieurs, on aurait pu s'amuser pour de bon...
Et franchement, Denis, les attaques persos et le persiflage, à force, ça fatigue.
Modifié en dernier par Le_navire le mar. juin 01, 2010 2:32 pm, modifié 1 fois.
"Ils ne sont grands que parce que vous êtes à genoux"
SAlut,
A+
Patrice
Si si, justement. Je reconnais volontiers qu'on écrit pour vendre: c'est normal. Pas de problème là dessus. Mais donc pour vendre, il refourgue des critiques dont il dit finalement qu'il ne les accepte pas faute de sincérité. Donc il se moque du monde.Erion a écrit :Autre hypothèse : tu n'as pas fait attention à ce qui s'est dit dans la conférence.Patrice a écrit : S'il n'était pas content de ça, il ne le citerait pas sur son site, non??? Ou alors c'est schizophrène... Ou bassement... commercial?
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Patrice
- jlavadou
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Ecoutage en cours, je fais un break parce que j'en suis au moment où Werber dit : "J'attends finalement, au bout de 20 ans de carrière, une première critique d'un type qui a lu le livre. Ca, je l'ai jamais eu. Même pour en dire du mal". C'est amusant de voir qu'il fustige la presse qui ignore ses livres, quand lui-même ignore celle qui en parle (je pense notamment à Noosfère, Bifrost et même Actusf). Considérerait-il que les revues ou sites spécialisés dans l'imaginaire n'ont aucun intérêt ?...
Sinon, pour le moment, je trouve que Loevenbruck ne dit pas que des conneries. En tout cas, il a l'honnêteté de considérer d'autres points de vue que le sien.
En revanche, je suis contre le discours du "tout pour le lecteur". Je ne vois pas pourquoi on n'aurait pas le droit d'écrire pour soi, en tout cas sans mettre le lecteur au centre de ses préoccupations, à partir du moment où c'est bien fait (mais alors en effet, qu'on ne vienne pas se plaindre d'une faible audience). La littérature est un art et n'a pas à se préoccuper forcément du public. Les deux approches cohabitent très bien, il n'y a pas de raison d'opposer l'une à l'autre. Ne pas lire de la littérature exigeante ne signifie pas que l'on est un attardé, au même titre que ne pas lire de littérature populaire ne signifie pas que l'on est élitiste.
Et j'aimerais que l'on cesse avec ce terme de "germanopratin" (que Werber prononce parfois "germanopractin", en passant), je lis de la littérature blanche et j'habite La Garenne-Colombes, je ne vois pas le rapport !
Sinon, pour le moment, je trouve que Loevenbruck ne dit pas que des conneries. En tout cas, il a l'honnêteté de considérer d'autres points de vue que le sien.
En revanche, je suis contre le discours du "tout pour le lecteur". Je ne vois pas pourquoi on n'aurait pas le droit d'écrire pour soi, en tout cas sans mettre le lecteur au centre de ses préoccupations, à partir du moment où c'est bien fait (mais alors en effet, qu'on ne vienne pas se plaindre d'une faible audience). La littérature est un art et n'a pas à se préoccuper forcément du public. Les deux approches cohabitent très bien, il n'y a pas de raison d'opposer l'une à l'autre. Ne pas lire de la littérature exigeante ne signifie pas que l'on est un attardé, au même titre que ne pas lire de littérature populaire ne signifie pas que l'on est élitiste.
Et j'aimerais que l'on cesse avec ce terme de "germanopratin" (que Werber prononce parfois "germanopractin", en passant), je lis de la littérature blanche et j'habite La Garenne-Colombes, je ne vois pas le rapport !

- Don Lorenjy
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D'accord pour le rapport 1 (être lu, mais c'est encore mieux dit par Sire Cé), en revanche, il ne défend pas Bragelonne mais vilipende ceux qui ont un avis sur Bragelonne. Une attitude que j'ai déjà rencontrée...Mélanie a écrit : En revanche, plutôt d'accord avec le discours d'Henri Loevenbruck par rapport au fait qu'on écrive pour être lu, et pour sa défense de Bragelonne.
Les marques Don Lorenjy et Don Lo sont retirées des rayons
Peut être ne souhaite il pas avoir des personnes qui ont du répondant et un certain bagage SF, en face de lui?Considérerait-il que les revues ou sites spécialisés dans l'imaginaire n'ont aucun intérêt ?...
Je dirais même que c'est vrai dans n'importe quel "média".En revanche, je suis contre le discours du "tout pour le lecteur". Je ne vois pas pourquoi on n'aurait pas le droit d'écrire pour soi, en tout cas sans mettre le lecteur au centre de ses préoccupations, à partir du moment où c'est bien fait (mais alors en effet, qu'on ne vienne pas se plaindre d'une faible audience). La littérature est un art et n'a pas à se préoccuper forcément du public. Les deux approches cohabitent très bien, il n'y a pas de raison d'opposer l'une à l'autre. Ne pas lire de la littérature exigeante ne signifie pas que l'on est un attardé, au même titre que ne pas lire de littérature populaire ne signifie pas que l'on est élitiste.
Et moi Puteaux et comme toi je ne vois pas le rapport.'habite La Garenne-Colombes, je ne vois pas le rapport !
QUELLE DISTRIBUTION DE TOPINAMBOURS ?jlavadou a écrit :En revanche, je suis contre le discours du "tout pour le lecteur". Je ne vois pas pourquoi on n'aurait pas le droit d'écrire pour soi, en tout cas sans mettre le lecteur au centre de ses préoccupations, à partir du moment où c'est bien fait (mais alors en effet, qu'on ne vienne pas se plaindre d'une faible audience).
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
Soit il voulait dire "une premier critique positive", soit il a effectivement la même déformation germanopratine que ceux qu'il critiquent et voulait parler d'une critique dans un quotidien ou hebdomadaire à grand tirage. C'est plutôt amusant.jlavadou a écrit :Ecoutage en cours, je fais un break parce que j'en suis au moment où Werber dit : "J'attends finalement, au bout de 20 ans de carrière, une première critique d'un type qui a lu le livre. Ca, je l'ai jamais eu. Même pour en dire du mal". C'est amusant de voir qu'il fustige la presse qui ignore ses livres, quand lui-même ignore celle qui en parle (je pense notamment à Noosfère, Bifrost et même Actusf). Considérerait-il que les revues ou sites spécialisés dans l'imaginaire n'ont aucun intérêt ?...
Après des années de cérémonie du Thé, il n’y a rien de meilleur que de vomir de la Bière.