Conférence Buffy contre les Vampires
Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m, Mathilde Marron, sebastieng
en tout cas c'est un peu c*n d'avoir deux fils ouverts sur le même sujet. Pour plus de clarté il aurait fallu poster dans ce fil :
http://www.actusf.com/forum/viewtopic.p ... 9&start=15
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Malheureusement, les progrès de la science sont souvent comme une hache dans les mains d’un criminel pathologique - Albert Einstein
Une musique qui bouge, une blonde plutôt pas mal (pour un jeune ado que j'étais). Un humour très présent et des références assez bien senties, parfois un peu lourde mais bon.
Une série sympas, mais psa sur que je reprendrais du plaisir à la revoir.
Zarca
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Le temps est une drogue. À haute dose, il tue.
- Terry Pratchett -
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Les deux premières saison sont outrageusement adolescente, et puis Joss Whedon c'est réveillé...
Il aborde (et de belle manière) des thèmes comme la maturité, le passage à l'âge adulte avec le poids des responsabilité et de ses propres choix, la mort (of course, la sienne, celle de ses amis et de sa famille, et évidemment celle de ceux qu'elle pourchasse - d'ailleurs l'épisode du décès de sa mère est très intense).
Y a une grosse dose d'autodérision, ce qui est rare. La série n'hésite pas à se moquer d'elle-même et des codes qu'elle utilise. Et puis les références sont toujours bien placées (un épisode entier est une grosse référence aux film muets, et à Nosferatu en particulier, avec un passage ou Giles, l'observateur, explique avec un retro, un tableau et des poly transparents, comment tuer les démons, en enchainant dessins et textes).
Elle mérite d'être vue (bon évidemment dans le lot, y a quand même des épisodes à jeter hein)
Il aborde (et de belle manière) des thèmes comme la maturité, le passage à l'âge adulte avec le poids des responsabilité et de ses propres choix, la mort (of course, la sienne, celle de ses amis et de sa famille, et évidemment celle de ceux qu'elle pourchasse - d'ailleurs l'épisode du décès de sa mère est très intense).
Y a une grosse dose d'autodérision, ce qui est rare. La série n'hésite pas à se moquer d'elle-même et des codes qu'elle utilise. Et puis les références sont toujours bien placées (un épisode entier est une grosse référence aux film muets, et à Nosferatu en particulier, avec un passage ou Giles, l'observateur, explique avec un retro, un tableau et des poly transparents, comment tuer les démons, en enchainant dessins et textes).
Elle mérite d'être vue (bon évidemment dans le lot, y a quand même des épisodes à jeter hein)
"C'est comme une des œuvres de petits et exquis de l'art comme je pense que vous aimerez à croire que je suis droit dans votre propre de voir pour savoir."
Yoyoangel, bot.
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- Fred Combo
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Vous êtes chiants avec vos fils doubles (dit la fille qui s'est fait chier à développer dans l'autre, et qui aimerait bien ne pas faire le ping pong)
Juste sur le féminisme de la série :
Je pense que ça se tient même si Nicky a raison sur ses critiques (il a toujours oublié d'être con, Nicky...^^) en particulier sur le problème du couple gay qui est vu quand même comme une transgression facile (je parierai volontiers que Whedon a voulu faire "le premier baiser entre femmes de la TV américaine, comme Roddenberry en son temps le premier baiser interracial) et qui manque de réalisme (accusé par le fait que visiblement, les actrices sont aussi mal à l'aise) (et sauf dans la dernière saison, ou un nouveau personnage de "potentielle" traite enfin le problème avec acuité).
Sur le côté "femme sur son piédestal" je suis chouilla moins convaincue, peut être qu'il y a matière à gratter un peu plus, mais ça se défend.
Reste que les femmes sont en effet présentées comme ayant le pouvoir, mais c'est plus subtil que ça, comme toujours chez Whedon.
Juste sur le féminisme de la série :
Je pense que ça se tient même si Nicky a raison sur ses critiques (il a toujours oublié d'être con, Nicky...^^) en particulier sur le problème du couple gay qui est vu quand même comme une transgression facile (je parierai volontiers que Whedon a voulu faire "le premier baiser entre femmes de la TV américaine, comme Roddenberry en son temps le premier baiser interracial) et qui manque de réalisme (accusé par le fait que visiblement, les actrices sont aussi mal à l'aise) (et sauf dans la dernière saison, ou un nouveau personnage de "potentielle" traite enfin le problème avec acuité).
Sur le côté "femme sur son piédestal" je suis chouilla moins convaincue, peut être qu'il y a matière à gratter un peu plus, mais ça se défend.
Reste que les femmes sont en effet présentées comme ayant le pouvoir, mais c'est plus subtil que ça, comme toujours chez Whedon.
Donc oui, les femmes sont fortes dans Buffy, oui, elles cassent la gueule aux méchants et elles sauvent le monde, mais elles sont toujours à la recherche d'une balance, d'un équilibre. Les féministes des années 70 hurleraient au loup, mais celles des années 90 et d'aujourd'hui pourraient y trouver leur compte, sauf si elles sont chiennes de garde.SPOILERS a écrit :La mère : elle est seule à assumer (le père est évacué et à peine évoqué dans un ou deux épisodes) elle bosse (boulot intéressant) mais elle est complètement dépassée par la situation (celle de mère seule avec une fille ado). C'est en tout cas l'impression qu'on en a dans les premières saisons : et puis ça se corse : lorsqu'elle apprend qui est vraiment sa fille, elle devient un point d'ancrage pour tout le Scoubigang, y compris pour Giles, l'adulte lui aussi parfois dépassé. Après sa mort, on découvre qu'elle menait finalement sa barque avec beaucoup plus de maîtrise que sa fille ne le croyait, au point qu'une totale désorganisation de son existence l'oblige à assumer tout d'un coup des choses dont elle n'avait pas conscience (le quotidien,.la "soeur").
Willow : c'est la plus fragile. Ado timide et mal dans sa peau, désarmée devant le monde et les garçons en particulier. Sauf que. C'est aussi la plus puissante, Buffy à côté d'elle c'est de la gnognotte (cf la saison 6 où elle manque de détruire le monde avec ses pouvoirs). Et le résultat ? elle devra apprendre à accepter sa fragilité et ses propres faiblesses pour survivre. Pas de féminisme forcené là-dedans, c'est le moins qu'on puisse dire. Mais on se rapproche des théories d'un féminisme soft version moderne, où la puissance de la femme est bornée par la volonté de s'inscrire dans les rapports aux autres. Le fait d'en avoir fait une lesbienne brouille encore un peu plus les cartes. (les archétypes ne survivent jamais bien longtemps chez Whedon). Tandis que son grand amour, Tara, encore plus douce et effacée qu'elle, devient au contraire celle qui a les pieds sur terre, ancrée dans la réalité et avec la plus grande force de caractère.
Oué, ça se complique.
Anya : c'est la cerise sur le gâteau. Un démon (puissance, tout ça...) qui, devenu femme se transforme en obsédée sexuelle mais succombe à l'amour et à cause de ça, tente d'être douce et complaisante. Quand ça devient douloureux, elle redevient démon... sans parvenir à abandonner son humanité, à laquelle elle fini par revenir. Toujours cette idée féministe soft : la force et la douceur assumées à parts égales. Une fois encore, c'est pas les chiennes de garde...
Buffy : Ouais, au début, elle est blonde de partout. Au début. Tant qu'elle rêve encore de pouvoir être Cheerleader. C'est une jeune fille bien élevée, polie, douce d'apparence et qui, si elle n'était pas Slayer, n'aurait probablement jamais gravement dérogé à la moindre règle et aurait fini mariée à un vendeur en immobilier ancien quaterback.
Bon. Son rapport aux figures masculine est au début complètement dépendant : Giles, représentation paternelle, est une béquille dont elle ne peut se passer. Sa première expérience sexuelle est un désastre. Si on s'en tient là, à la fin de la saison 3, on se dit qu'elle est quand même, malgré sa force, loin d'être une figure féministe. Vient la saison 4. Le petit ami suivant est un militaire (le personnage le plus monolithique de la série, tiens tiens...^^) on se dit que ça ne va pas s'arranger. Et puis ça se complique : elle est plus forte que lui, il a du mal à assumer. Malgré tout, jusqu'au bout, elle rêvera d'être celle qui a besoin de lui. Un thème du féminisme, mais une résolution encore en demi teinte. Enfin, à la saison 6, elle fini par assumer ce qu'elle est : avec Spike, c'est elle qui domine, y compris au pieu. Mais du coup, elle abandonne, parce qu'elle a conscience de se servir de lui. Résultat, un trop grand pouvoir, une très grande force, ça va pas avec l'amour. encore du féminisme version light années 90 : sans équilibre, pas d'amour possible, c'est pas les Vésuviennes.
"Ils ne sont grands que parce que vous êtes à genoux"
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Sans parler de la petite soeur adolescente, tellement bien réussie qu'on a qu'une envie, c'est la baffer, et de la prof de psycho castratrice...
Ton analyse est vraiment intéressante.
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Yoyoangel, bot.
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Bien vu, Le-navire.
Il n'y a pas de "Tueur", uniquement des "Tueuses"
J'ajouterais la fin de la série elle-même (Spoiler) toutes les nanas deviennent des tueuses.
C'est les nanas qui sauvent le monde tout au long de la série.
Effectivement Buffy c'est une série féministe.
Toujours beaucoup aimé Buffy contre les Vampires.
Vu autant d'épisodes que possible, à l'époque où j'avais accès à Sérieclub.
C'est une très bonne série.
Il n'y a pas de "Tueur", uniquement des "Tueuses"
J'ajouterais la fin de la série elle-même (Spoiler) toutes les nanas deviennent des tueuses.
C'est les nanas qui sauvent le monde tout au long de la série.
Effectivement Buffy c'est une série féministe.
Toujours beaucoup aimé Buffy contre les Vampires.
Vu autant d'épisodes que possible, à l'époque où j'avais accès à Sérieclub.
C'est une très bonne série.
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)
Non, ça me semble tout à fait normal comme évolution.Julien d'Hem a écrit :Les deux premières saison sont outrageusement adolescente, et puis Joss Whedon c'est réveillé...
Les 2 premières saisons, c'est l'équivalent du lycée : la 2nde et la 1ere (classes, pas saisons ^^°). Buffy a 16 puis 17 ans. Soucis d'ados, donc l'ambiance de la série est à l'âune de ces thématiques.
L'amour y est idéalisé (Angel), mais se casse la gueule (toujours Angel) tout en restant ultra dramatique (paske c'est Angel). Quand on est ados, il est vrai qu'on peut ressentir de manière assez extrême les histoires sentimentales, on croit au Vrai Amour, et quand ça se casse la gueule, on diabolise absolument l'Autre.
Mais déjà en saison 2, gros coup de maturité : l'ennemi principal n'est finalement pas l'étranger (Spike), mais l'ami (toujours Angel) qui change et se révèle finalement loin d'être le prince charmant que l'on croyait.
Ensuite, saison 3 : l'année du passage à l'âge adulte, l'année de la fin du lycée. Il faut choisir son avenir (études ou pas études ?).
Le sexe y devient moins sacré (Willow & Oz fun ; Xander & Faith weird), l'amitié y devient plus trouble (Buffy & Faith) (trouble à la fois au sens sexuel du terme, et au sens confiance). L'ennemi est plus dérangeant : il s'agit du pouvoir politique, de l'ambition de chacun (Le maire, mais aussi Faith qui le rejoint).
Bref, c'est une période de transition, et Joss Whedon ne se réveille pas, à mon sens : il fait évoluer sa série selon ce dont les personnages (et, potentiellement, les spectateurs du même âge ou presque) ont besoin pour s'épanouir et évoluer.
Les saisons suivantes deviennent de plus en plus adultes dans les thématiques (pas forcément dans la réalisation, hein). On floute les ennemis/amis avec l'armée en saison 4 (bon, c'était raté à mon goût, mais l'intention compte aussi) et aussi Spike qui rejoint le cast principal petit à petit. En saison 5, on remet en question les relations familiales : Dawn qui apparaît, Joyce qui meurt (l'épisode s'appelle "The body"). On devient adultes : Wilow s'installe avec Tara, Xander avec Anya... Mais les épreuves sont dures (l'ennemi est un Dieu)
La saison 6 déconstruit la structure habituelle. Plus rien ne paraît sérieux : les ennemis sont des bouffons qui peuvent faire beaucoup de mal par pure bêtise, les héros sont confrontés à des situations plus burlesques qu'effrayantes (l'épisode musical, l'épisode amnésique) et se battent plus entre eux (Willow qui devient Junkie, la relation entre Buffy & Spike). Bref, tout devient flou, gris, vachement moins épique.
Et en fin de saison, le moment le plus héroïque est une métaphore d'un groupe qui empêche une amie de se suicider (accessoirement, de détruire le monde avec elle, mais c'est amené de façon tellement grossière qu'à mon sens, c'est pour dire "ce qui compte, c'est Willow, pas le monde")
Et en saison 7 (que j'ai pas aimée), les personnages principaux décident de prendre leur vie en main, et d'entraîner d'autres avec eux. La forme "ultime" de responsabilité (un peu comme monter une société, les morts en plus). Buffy y crée ce qu'elle avait vaguement découvert/combattu en saison 4 : un groupe soudé, une communauté avec ses propres buts.
Bref, il y a une évolution logique. Pas forcément pensée entièrement dès le début, mais pas de transition plus spéciale d'une saison à l'autre. Tout est dans l'évolution des thématiques du passage à l'âge adulte, et ce en partant de l'adolescence la plus culcul ("J'ai peur des hopitaux", "j'ai peur des cauchemars" cf la 1ere saison).
(C'est long, mais c'est la faute du Navire qui balance des pavés que je me sens déshinibé)
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- Enregistré le : mar. déc. 23, 2008 4:45 pm
J'avais mis ça sur le compte d'une dédramatisation d'un "fond" assez tendu (la mort de Buffy et sa résurrection, ainsi elle devient elle-même ce qu'elle a toujours combattu - d'où le rapprochement avec Spike, avec en prime le ressentiment envers ses amis qui l'ont arraché à un paradis douillet).Nicky a écrit :La saison 6 déconstruit la structure habituelle. Plus rien ne paraît sérieux : les ennemis sont des bouffons qui peuvent faire beaucoup de mal par pure bêtise, les héros sont confrontés à des situations plus burlesques qu'effrayantes (l'épisode musical, l'épisode amnésique)Julien d'Hem a écrit :Les deux premières saison sont outrageusement adolescente, et puis Joss Whedon c'est réveillé...
En fait, ce que je voulais dire, c'est que l'humour est plus fin, et l'histoire mieux écrite à partir de la troisième saison.
Et dans cette saison, le rôle et la position centrale de Buffy sont remis en questions par des jeunettes qui en veulent, un peu de la même manière qu'elle le fait avec les conseils de Giles tout au long de la saison.Nicky a écrit :Et en saison 7 (que j'ai pas aimée), les personnages principaux décident de prendre leur vie en main, et d'entraîner d'autres avec eux. La forme "ultime" de responsabilité (un peu comme monter une société, les morts en plus). Buffy y crée ce qu'elle avait vaguement découvert/combattu en saison 4 : un groupe soudé, une communauté avec ses propres buts.
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Yoyoangel, bot.
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Voilà, je crois que la démonstration est faite que qualifier Buffy de série superficielle est infondé.
Je ne vais pas aller jusqu'à dire qu'il faut absolument voir tout Buffy -- C'est pas Guerre et Paix, non plus -- mais cela mérite totalement qu'on s'y attarde dans un colloque universitaire, au même titre que les mangas (ce qui a lieu régulièrement) et tous les arts populaires en général.
Mais je comprends très bien que certains puissent vouer une haine sans fin à Maffesoli
Je ne vais pas aller jusqu'à dire qu'il faut absolument voir tout Buffy -- C'est pas Guerre et Paix, non plus -- mais cela mérite totalement qu'on s'y attarde dans un colloque universitaire, au même titre que les mangas (ce qui a lieu régulièrement) et tous les arts populaires en général.
Mais je comprends très bien que certains puissent vouer une haine sans fin à Maffesoli

"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
http://melkine.wordpress.com/
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- Eons
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- Enregistré le : sam. févr. 17, 2007 6:49 pm
- Localisation : Le cœur de Flandre
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Rien de super, en effet. Tout juste ficielle.Erion a écrit :Voilà, je crois que la démonstration est faite que qualifier Buffy de série superficielle est infondé.
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
Certainement.Erion a écrit :Voilà, je crois que la démonstration est faite que qualifier Buffy de série superficielle est infondé.
Certainement pas. Pas avec mes impôts en tous cas.cela mérite totalement qu'on s'y attarde dans un colloque universitaire, au même titre que les mangas (ce qui a lieu régulièrement) et tous les arts populaires en général.
Si Erion International Ltd souhaite le faire à titre privé, avec ses propres sous inutilement dépensés à ce genre d'études-foutaises, rien à dire.
Je propose d'ailleurs comme sujet d'un prochain colloque: L'utilisation du téléphone portable dans les séries américaines depuis ces 15 dernières années: quels impacts sur la mise en scène et la mise en images?
Mais pas avec mes impôts.
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Rassure-toi, tes impôts paient rien, c'est majoritairement financé par le privé dans le cas du manga.gutboy a écrit : Si Erion International Ltd souhaite le faire à titre privé, avec ses propres sous inutilement dépensés à ce genre d'études-foutaises, rien à dire.
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- Roland C. Wagner
- Messages : 3588
- Enregistré le : jeu. mars 23, 2006 11:47 am
Pour une fois que je n'en veux pas à mort à Maffesoli...
Ceci dit, si je trouve qu'il y a un intérêt à étudier les cultures populaires et télévisuelles, c'est vrai que tout ramener à une seule série, au lieu de tirer une étude sur les comparaisons des séries adolescentes, par exemple dans ce qu'elles traduisent de l'évolution de la vision de l'ado dans la société, c'est un peu gonflé.
Ceci dit, l'étude de la culture du cardon en basse Provence au XIXe (authentique, doctorat d'Histoire), c'est pas piqué des hannetons nonple.

Ceci dit, si je trouve qu'il y a un intérêt à étudier les cultures populaires et télévisuelles, c'est vrai que tout ramener à une seule série, au lieu de tirer une étude sur les comparaisons des séries adolescentes, par exemple dans ce qu'elles traduisent de l'évolution de la vision de l'ado dans la société, c'est un peu gonflé.
Ceci dit, l'étude de la culture du cardon en basse Provence au XIXe (authentique, doctorat d'Histoire), c'est pas piqué des hannetons nonple.
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