La librairie Scylla à Paris et les dédicaces !
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- Virprudens
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Je note bien consciencieusement tout ça. Je m'en resservirai.
Je pense notamment utiliser en doublette la méthode de Daylon (insulte-les!) et de Katioucha ('je vous offre une bière?')
(Quand ils viendront à Lyon, ces enfoirés d'auteurs parisiens de merde !)
(Y'a des troquets sympa)
Je pense notamment utiliser en doublette la méthode de Daylon (insulte-les!) et de Katioucha ('je vous offre une bière?')
(Quand ils viendront à Lyon, ces enfoirés d'auteurs parisiens de merde !)
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- Please, be polite.
- Go fuck yourself.
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Je préfère largement entendre des trucs bateaux, personnellement, je suis d'accord avec Erion sur ce coup-là. quand c'est sincère, ça fait toujours plaisir. On en parlait hier chez Scylla mais le truc que je déteste le plus en signature, c'est quand quelqu'un se pointe avec un bouquin et te le tend sans un mot, sans te dire s'il l'a lu ou pas, s'il connaît ou s'il a acheté par hasard, si ça lui a plu ou s'il a détesté, et surtout sans te donner le moindre élément pour te permettre de personnaliser ta dédicace. S'il y a justement une chose que l'auteur ne sait pas, à moins qu'il te connaisse déjà, c'est pourquoi tu es là (et comme il est curieux, il aime bien le savoir).gutboy a écrit :Ou alors tu dis rien parce que l'auteur sait pourquoi tu es là.
Mélanie: effectivement mais dans le cas d'hier personne ou presque n'avait lu le livre. Et des fois, en même temps que tu tends ton exemplaire et que tu essaies d'en placer une, hop l'éditeur te passe devant et entame une conversation avec l'auteur. Et pis des fois l'auteur commence à rédiger la dédicace avant même que tu aies eu l'occasion de glisser une parole, du coup.
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)
- Virprudens
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Mais, on a quand même une petite idée de la raison de sa présence. Les gus qui avaient décidé de se faire une toile à cette adresse sans savoir que le cinoche a été remplacé par une librairie il y a une quinzaine d'années et qui se sont dit "ah ouais, tiens, une dédicace, pourquoi pas ?" doivent être rares.Mélanie a écrit :S'il y a justement une chose que l'auteur ne sait pas, à moins qu'il te connaisse déjà, c'est pourquoi tu es là (et comme il est curieux, il aime bien le savoir).
Mais s'il y a à boire, on peut effectivement se poser la question...
Sans aller jusque là. Ce n'est pas vraiment ce que j'ai voulu dire. Plus précisément ce que j'avais en tête, c'est que le net permet une proximité immédiate avec l'auteur qui transforme un peu la nature de la rencontre en chair et en os.Aldaran a écrit :Mais, on a quand même une petite idée de la raison de sa présence. Les gus qui avaient décidé de se faire une toile à cette adresse sans savoir que le cinoche a été remplacé par une librairie il y a une quinzaine d'années et qui se sont dit "ah ouais, tiens, une dédicace, pourquoi pas ?" doivent être rares.Mélanie a écrit :S'il y a justement une chose que l'auteur ne sait pas, à moins qu'il te connaisse déjà, c'est pourquoi tu es là (et comme il est curieux, il aime bien le savoir).
Mais s'il y a à boire, on peut effectivement se poser la question...
Je veux dire, j'ai eu plus d'une fois l'occasion, en public ou en MP, ici ou sur d'autres forums, de dire ce que je pense de ce que j'ai lu de Catherine Dufour ou Mélanie Fazi, ou Roland C. Wagner, etc... Ca transforme un peu ce que l'on est susceptible de dire en "live", même si c'est bien de pouvoir le faire.
Apology accepted, Captain Dufour.Katioucha a écrit :Millexcuses
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Comment pourrais-je faire comme tout le monde? C'est d'un vulgaire.Virprudens a écrit :T'avais qu'à être en T-shirt sale comme tout le monde.
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Y a toujours moyen de parler des précédents, cela dit.Mélanie: effectivement mais dans le cas d'hier personne ou presque n'avait lu le livre.
Enfin je ne parlais pas de ce cas de figure particulier où toutes les personnes présentes se connaissent plus ou moins, ne serait-ce que par forum interposé, mais plutôt des signatures en général. Ce n'est pas parce que quelqu'un vient te demander une dédicace qu'il te connaît forcément. Dans certains salons, tu vends même essentiellement à des gens qui achètent ton bouquin sur un coup de tête sans jamais en avoir entendu parler.
Y a quand même le cas de figure assez courant où quelqu'un entre acheter un bouquin, tombe sur un auteur en dédicace qu'il/elle ne connaît absolument pas et repart avec un livre de l'auteur en question. C'est à ça aussi que je pensais.Mais, on a quand même une petite idée de la raison de sa présence. Les gus qui avaient décidé de se faire une toile à cette adresse sans savoir que le cinoche a été remplacé par une librairie il y a une quinzaine d'années et qui se sont dit "ah ouais, tiens, une dédicace, pourquoi pas ?" doivent être rares.
Ouiiii ! Et là, il te demande : "Y a pas de sexe ou de violence, là dedans ? C'est pour ma petite fille." "Non, non, pas du tout, tu réponds. C'est juste l'histoire d'une petite fille chinoise qui ne peut plus grandir", tu réponds. Et tu te dis que ça lui fera une expérience, à la gamine.
Modifié en dernier par Katioucha le mer. sept. 17, 2008 10:38 am, modifié 1 fois.
Edvige. Exploitation documentaire et valorisation de l’information générale.Clément a écrit :Ah ces auteurs qui sont prêts à toutes les compromissions pour vendre ! Faudra pas s'étonner si elle finit dans Edwige la gamine !
La gamine pourra toujours si elle le souhaite finir dans Edwige, mais c'est un tout autre sujet.
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- dracosolis
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