Imaginales 2010 : Conf. "Écrire pour le grand public...

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Erion
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Message par Erion » mar. juin 08, 2010 1:07 pm

kibu a écrit :
Je ne sais pas pourquoi mais je suis de plus en plus d'accord avec ce que disent Erion, Georges Bormand et Oncle Joe.
Et eux, le savent-ils ?
Tu verras, tu y viendras, toi aussi. Ca ne fait mal que la première fois.
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kibu
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Message par kibu » mar. juin 08, 2010 1:14 pm

Gloups !
A l'envers, à l'endroit

Ô Dingos, ô châteaux

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Patrice
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Message par Patrice » mar. juin 08, 2010 1:16 pm

Salut,

Resistance is futile.

A+

Patrice

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Aldaran
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Message par Aldaran » mar. juin 08, 2010 1:22 pm

Merci Henry pour cette beuglante.

Pour les positionnements divers au sujet du style vs histoire, la discussion ne fait que confirmer ce que je pense depuis longtemps (et dont on a déjà parlé ici et ailleurs il y a de nombreux mois) : c'est l'histoire qui est importante.
Le style, à mon sens, ce n'est qu'une histoire de goût. Mais l'histoire (ou le propos, ou "ce que le type derrière son clavier raconte"), c'est ce qui compte vraiment. Parce qu'il pourra enrubanner et poudrer tant qu'il pourra, si le type derrière son clavier n'a rien à dire, on va se faire chier comme des rats morts.
Mais je peux me tromper !

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Le_navire
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Message par Le_navire » mar. juin 08, 2010 1:44 pm

henri a écrit :@ Le Navire : tu dis : "Sans tenir compte du fait qu'en choisissant de réduire la complexité de leurs ouvrages à une simple ligne narrative, la conclusion ne peut être que : bah, y a pas grand chose à analyser là dedans. "

Tu vois, ça, c'est clairement ce qui me gonfle. Grave.
T'as lu quoi, de moi, pour estimer avoir raison de dire ça de mes bouquins ? Lequel de mes romans réduit sa complexité à une simple ligne narrative ? Lequel ? Et puis ça veut dire quoi, une simple ligne narrative ?
Bon, d'abord, (je te réponds quand même, en espérant que même si tu ne réponds plus, tu liras ça) : le problème dans ce que j'écris là haut, c'est qu'il faudrait, moi la première qu'on fasse plus gaffe à ce qu'on écrit. Parce qu'on réagit ici à ce que vous avez dit tous les deux, Werber et toi, et que le fil coulé d'un forum entraîne à globaliser le discours. Ce que j'écris là, je peux le maintenir pour Werber, dont j'ai lu trois ou quatre bouquins (enfin, lu... à part deux, j'ai pas pu pour les autres) d'autant plus facilement qu'il le revendique lui-même dans ses interventions nombreuses ou il se fait le chantre la simplicité à outrance. C'est aussi le danger de jouer sur le rapport affectif avec la Ligue et de s'exposer publiquement de concert avec son plus hum... problématique représentant. Désolée, donc.

Pour toi, j'avoue, il y a une différence et un problème (enfin, un problème d'exposition) : je n'ai lu que la Moïra. J'ai lu les trois. En effet, pas de problème de simplification extrême de la ligne narrative, dans ton cas. OTAN pour moi. Une écriture parfois maladroite, beaucoup de clichés. Des personnages qui manquent de finesse ou de profondeur. Des longueurs, beaucoup.

Ah, et je ne crois pas que tu l'ignores, mais je le précise quand même : je suis l'éditeur de feu le Navire en pleine ville : j'avais lu la Moïra (comme les bouquins d'Éric l'Homme que je n'aime pas non plus, même si je trouve le garçon charmant) sur les conseils de bibliothécaires jeunesse. Et oui, j'en avais conclu que ni les tiens, ni ceux d'Éric, ne correspondaient à une littérature jeunesse de la qualité que j'avais envie, moi personnellement je, de publier. Pas une question de succès. Dans le genre par exemple, j'aime bien les Bottero, dont les textes ont des personnages plus profonds, plus complexes, et qui parfois, était capable de glisser çà et là des lignes d'une très grande beauté stylistique sans alourdir pour autant le récit.

Maintenant, peut être as-tu progressé depuis. Je ne sais pas. En tout cas, je note, incidemment, que d'aucuns qui te connaissent bien mieux que moi et t'apprécient, avec qui j'ai pu échanger sur le sujet, n'ont jamais pris la peine de me dire : ah, mais c'est qu'il a fait de gros progrès, tu devrais essayer tel ou tel de ses derniers ouvrages, ça n'a rien à voir. Par contre j'ai souvent entendu "pas ta came, de toute façon" et ce qui sous-entend pas ma came, je ne vais pas le lire, en effet, pas après avoir essayé une fois. Ce que tu fais sûrement aussi, non ? On est pas masochiste et on ne lit pas par hasard, juste pour voir, des livres de ceux qu'on a pas aimé pour voir si d'aventure, ils progresseraient. Sauf si on en reçoit expressément le conseil.

Bref. Revenons à la Ligue. Qui est le vrai sujet qui fâche ici. Explique-moi un truc, un seul : avez-vous, oui ou non, tenté d'amorcer un mouvement de revendication du genre de l'imaginaire en regroupant en son sein d'autres auteurs qui font profession d'une autre conception de la littérature de genre ? Avez-vous proposé à d'autres auteurs, connus et respectés par une grande partie des lecteurs et acteurs du milieu de l'imaginaire, et en dehors de votre petite bande de copains sympas, de faire partie de la démarche ? De ce que j'en ai compris, non. Si tu peux me détromper, j'en serai ravie, vraiment. A défaut je suis dubitative, et on en arrive à la conclusion suivante.

En montant la Ligue, vous avez affiché clairement votre choix de n'être que les représentants de vous-mêmes, d'abord parce que vous vous êtes associés entre auteurs qui ont, globalement, une démarche assez commune. Ensuite parce que vous l'avez fait dans votre coin, sans concertation autre qu'avec vous-même. (tu remarqueras, ici, qu'on est aussi tombé un chouilla beaucoup sur le râble de Serge pour des raisons pas si éloignées : lorsqu'il a sorti sa préface, puis qu'il est venu en discuter ici, on lui a reproché d'avoir lancé cette théorie tout seul dans son coin pour ne venir la mettre à l'épreuve des échanges qu'après coup, alors qu'elle était lourde de sens en introduisant un recueil qui se voulait un état de la SF d'aujourd'hui. Et il a souffert, le pauvre, sur plus de 680 pages...)

Donc premier gros gros problème. Alors que tous, on se bat depuis des années, parfois des décennies pour certains, afin d'obtenir cette reconnaissance, vous mettez les pieds dans le plat en disant, l'Imaginaire c'est nous. Ah ? Bien sûr c'est vous : aussi. Mais de là à vous en faire les uniques représentants, ben y a de quoi vous prendre Godzilla, King Kong, GI Joe et Gandizer ( :wink: ) sur la tronche.

C'était tellement, mais tellement évident, que je ne crois pas une seule seconde (parce que je ne crois pas que vous soyez des imbéciles) que vous ayez été le moins du monde surpris que ça vous tombe dessus les crocs et griffes dehors.

Et quand vous hurlez que c'est injuste, moi je ne peux conclure qu'une seule chose. Vous faites de la provoc. Pourquoi, ça je l'ignore. Parce que ça vous amuse ? Parce que vous vous vengez des mauvaises critiques ? Parce que ça vous rapporte quand même ? Je n'en sais rien. J'ose espérer, quand même que la première réponse est la bonne.

Sauf qu'encore une fois, ça ne pouvait faire rire que vous. Et que, à la limite, hein ? On l'aurait oublié, personne n'en a parlé depuis des mois. Et paf ! Imaginales.

Et là, zou, vous repartez pour un tour. Putain, mais vous vous êtes réécoutés, Bernard et toi ? Encore une fois, après de pareilles provocs, comment vouliez-vous que ça ne réagisse pas ? Vous l'espériez, non ? Allez, quoi, sois honnête. Vous l'espériez. Je ne veux même pas imaginer le contraire, ce serait trop peu flatteur pour vous deux.

Alors, on sème, on récolte. Et on assume. C'est surtout ça, en fait, on assume. Assumer le fait que certaines critiques puissent être (très) mauvaises. Assumer le fait qu'en faisant le choix de t'exposer médiatiquement, tu deviens une cible privilégiée. Assumer le fait que faire de la provoc a des conséquences. Assumer le fait qu'à t'afficher publiquement en accord parfait avec Werber , Werber et ses théories odieuses à beaucoup sur l'écriture et ses lecteurs, tu cours le risque d'être jeté avec l'eau du bain.

Tes choix ne sont pas condamnables en eux-même, et ils n'appartiennent qu'à toi. Mais tu es un homme public, et tes choix ont des conséquences, des bonnes ou des mauvaises. Assume-les toutes, et ne rejette pas la faute sur les méchants du camp d'en face qui, de toute façon, n'ont guère d'influence ni sur ta vie, ni sur ton travail.

Maintenant, tu peux m'envoyer chier, hein ? Mon avis ne changera rien à ta vie, mes conseils ne valent que ce que valent les conseils, des clous, du vent, quand ils ne viennent pas des gens qui vous sont proches. Mais ne viens pas nous dire qu'on ne peut ni veut dialoguer. Et si ça fait de moi une emmerdeuse, j'assume. :wink:
Modifié en dernier par Le_navire le mar. juin 08, 2010 1:55 pm, modifié 1 fois.
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Erion
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Message par Erion » mar. juin 08, 2010 1:50 pm

Le_navire a écrit : Donc premier gros gros problème. Alors que tous, on se bat depuis des années, parfois des décennies pour certains, afin d'obtenir cette reconnaissance, vous mettez les pieds dans le plat en disant, l'Imaginaire c'est nous. Ah ? Bien sûr c'est vous : aussi. Mais de là à vous en faire les uniques représentants, ben y a de quoi vous prendre Godzilla, King Kong, GI Joe et Gandizer ( :wink: ) sur la tronche.
TOUS????????????

Un peu trop gros le troll, là. Y'a des gens qui veulent avoir des lecteurs, des gens qui veulent être bien vu des dîners en ville, d'autres qui bossent pour qu'un livre atteigne son lectorat potentiel.

Merci de ne pas parler au nom de tout le monde. C'est plus prudent.
"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
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fabrice
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Message par fabrice » mar. juin 08, 2010 1:50 pm

Tiens, Lucie, ton post me remet en mémoire les merveilleux cours de Nabokov sur la littérature, récemment réédités : « Rappelez-vous que la simplicité, c’est de la foutaise ! Aucun grand écrivain n’est simple. Le Saturday Evening Post est simple. Le style du journaliste est simple. Upton Lewis est simple. Maman est simple. Les “digests” sont simples. La damnation est simple. Mais les Tostoï et les Melville ne sont pas simples. »

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Nébal
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Message par Nébal » mar. juin 08, 2010 1:51 pm

Le_navire a écrit :Bon, d'abord [...] j'assume
Laconiquement : + 1.
Modifié en dernier par Nébal le mar. juin 08, 2010 1:56 pm, modifié 2 fois.

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Transhumain
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Message par Transhumain » mar. juin 08, 2010 1:53 pm

henri a écrit :Tu vois, ça, c'est clairement ce qui me gonfle. Grave.
T'as lu quoi, de moi, pour estimer avoir raison de dire ça de mes bouquins ? Lequel de mes romans réduit sa complexité à une simple ligne narrative ? Lequel ? Et puis ça veut dire quoi, une simple ligne narrative ?
Une simple ligne, ou plusieurs, peu importe. Eh bien, as-tu seulement laissé entendre ici, une seule fois, que le style exprimait pour toi bien plus qu'une volonté d'écrire une histoire ? Il ne s'agit pas d'écrire "mieux", Roland a raison sur ce point, mais de projets différents. Autant que je m'en souvienne, je n'ai jamais trouvé, chez Werber, ou dans la Moïra, cette richesse, née d'un travail incessant de la langue (par exemple Damasio), ou d'un jeu intertextuel de tous les instants (par exemple Fabrice), ou encore d'idées renversantes (dans les bons romans de SF), richesse qui fait que les histoires qu'eux racontent (parce qu'ils en racontent, et des bonnes) excèdent largement le cadre du scénario bien ficelé. Il ne s'agit pas de distinguer entre les livres qui ont du succès et les autres, ou les genres entre eux, mais, du point de vue de l'auteur (on les voit, mes grosses italiques ?), deux conceptions difficilement conciliables de la littérature. Quant au lecteur, il fait ce qu'il veut, et peut prendre son pied en lisant un bon best-seller qui tache, et le lendemain s'extasier des épiphanies joyciennes. Cela dit, faut pas pousser, le relativisme a ses limites : Damasio et Colin sont en bonne place dans ma bibliothèque, tandis que Nos amis les humains et les trois tomes de la Moïra ont surtout servi à caler cette dernière. Comme quoi, rien ne se perd.

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Transhumain
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Message par Transhumain » mar. juin 08, 2010 1:54 pm

fabrice a écrit :Tiens, Lucie, ton post me remet en mémoire les merveilleux cours de Nabokov sur la littérature, récemment réédités : « Rappelez-vous que la simplicité, c’est de la foutaise ! Aucun grand écrivain n’est simple. Le Saturday Evening Post est simple. Le style du journaliste est simple. Upton Lewis est simple. Maman est simple. Les “digests” sont simples. La damnation est simple. Mais les Tostoï et les Melville ne sont pas simples. »
Oui mais tu triches : Nabokov est un dieu.

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Message par Don Lorenjy » mar. juin 08, 2010 1:59 pm

J'aime bien ce que dit le Navire, d'abord parce que c'est le Navire, j'y peux rien, mais aussi parce qu'elle commence par "le problème dans ce que j'écris là haut, c'est qu'il faudrait, moi la première qu'on fasse plus gaffe à ce qu'on écrit. "

Je retourne faire gaffe à ce que j'écris, comme Henri, Roland, Draco, Anne, Sarmate (tant pis s'il n'a rien dit, il avait qu'à), Jean-Claude, Fabrice et les autres.
Je me compare pas, attention, on fait juste une sorte de même chose au même moment.
Les marques Don Lorenjy et Don Lo sont retirées des rayons

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Message par Le_navire » mar. juin 08, 2010 2:01 pm

Lucie a écrit :
Ce qui signifie en clair que tu poses d'emblée la moindre utilité d'une femme de ménage ou d'un agriculteur par rapport à un écrivain ou à un éditeur :?
C'est bien beau la culture, mais tu boufferais comment sans l'agriculture ?
Non, je ne dis pas ça du tout, Lucie. Maintenant, je faisais une référence cachée que tout le monde n'a pas, donc je précise pour que mon propos soit clair : la femme de ménage et l'agriculteur ne sont pas des choix innocents mais font référence à une étude qui a circulé récemment et qui affiche par exemple que l'un et l'autre rapportent plus à la société qu'un trader. Donc, au contraire, j'aurais tendance à dire : mieux vaut pour la société une femme de ménage ou un agriculteur qu'un Bernard Werber.

Et là, paf, j'assume.
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Message par Le_navire » mar. juin 08, 2010 2:09 pm

Erion a écrit :
Le_navire a écrit : Donc premier gros gros problème. Alors que tous, on se bat depuis des années, parfois des décennies pour certains, afin d'obtenir cette reconnaissance, vous mettez les pieds dans le plat en disant, l'Imaginaire c'est nous. Ah ? Bien sûr c'est vous : aussi. Mais de là à vous en faire les uniques représentants, ben y a de quoi vous prendre Godzilla, King Kong, GI Joe et Gandizer ( :wink: ) sur la tronche.
TOUS????????????

Un peu trop gros le troll, là. Y'a des gens qui veulent avoir des lecteurs, des gens qui veulent être bien vu des dîners en ville, d'autres qui bossent pour qu'un livre atteigne son lectorat potentiel.

Merci de ne pas parler au nom de tout le monde. C'est plus prudent.
La prudence n'a jamais été mon fort.
Donc : oups ! Pardon ! Tous, sauf Erion et peut être quelques autres qui se reconnaitront.

Et là, ça va comme ça ?
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Erion
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Message par Erion » mar. juin 08, 2010 2:11 pm

Le_navire a écrit : Et là, ça va comme ça ?
Ben tu dis "moi et une poignée" et ça sera parfait.
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Roland C. Wagner
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Message par Roland C. Wagner » mar. juin 08, 2010 2:19 pm

Transhumain a écrit :Roland a raison
Bah, comme d'hab'.

Ça devient lassant, à force.
« Regarde vers Lorient / Là tu trouveras la sagesse. » (Les Cravates à Pois)

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