Page 1 sur 1

la mort du poète

Posté : dim. juin 10, 2012 2:17 pm
par John Drone
je ne saurai trop conseiller à ceux qui ne connaissent Ray Bradbury que par ses 2 romans best sellers F 451 et Chroniques Martiennes d'aller se plonger dans ses nouvelles : chatiment sans crime, la sirène, l'enfant invisible, icy il doit y avoir des tygres, la petite pyramide bleue... ces textes de space opera s'attachent aux personnages, aux thèmes de la famille et de l'enfance , ils sont empreints de mystère, de tendresse et de mélancolie, mais parfois aussi d'une incroyable violence.

Re: la mort du poète

Posté : dim. juin 10, 2012 2:46 pm
par Lensman
John Drone a écrit :je ne saurai trop conseiller à ceux qui ne connaissent Ray Bradbury que par ses 2 romans best sellers F 451 et Chroniques Martiennes d'aller se plonger dans ses nouvelles : chatiment sans crime, la sirène, l'enfant invisible, icy il doit y avoir des tygres, la petite pyramide bleue... ces textes de space opera s'attachent aux personnages, aux thèmes de la famille et de l'enfance , ils sont empreints de mystère, de tendresse et de mélancolie, mais parfois aussi d'une incroyable violence.
Les nouvelles de Bradbury sont sont son point fort, il n'y a pas de doute. C'est tellement vrai, d'ailleurs, que Chroniques martiennes est un recueil de nouvelles... c'est dire !

Oncle Joe

Re: la mort du poète

Posté : dim. juin 10, 2012 9:30 pm
par Hoêl
Lensman a écrit :
John Drone a écrit :je ne saurai trop conseiller à ceux qui ne connaissent Ray Bradbury que par ses 2 romans best sellers F 451 et Chroniques Martiennes d'aller se plonger dans ses nouvelles : chatiment sans crime, la sirène, l'enfant invisible, icy il doit y avoir des tygres, la petite pyramide bleue... ces textes de space opera s'attachent aux personnages, aux thèmes de la famille et de l'enfance , ils sont empreints de mystère, de tendresse et de mélancolie, mais parfois aussi d'une incroyable violence.
Les nouvelles de Bradbury sont sont son point fort, il n'y a pas de doute. C'est tellement vrai, d'ailleurs, que Chroniques martiennes est un recueil de nouvelles... c'est dire !

Oncle Joe
Ah , Tonton , dans mes bras !
Toi aussi tu cherches à faire progresser les bots de façon à ce qu'ils deviennent nos compagnons de demain !
Que dis-je nos compagnons , nos partenaires !
Que dis-je nos partenaires , ach ! nos bien-aimés Zouverains !!!

-Dr Folamour ? il est l'heure de votre piqûre...

Re: la mort du poète

Posté : lun. juin 11, 2012 9:11 am
par crazy guide
Hoêl a écrit :
Lensman a écrit :
John Drone a écrit :je ne saurai trop conseiller à ceux qui ne connaissent Ray Bradbury que par ses 2 romans best sellers F 451 et Chroniques Martiennes d'aller se plonger dans ses nouvelles : chatiment sans crime, la sirène, l'enfant invisible, icy il doit y avoir des tygres, la petite pyramide bleue... ces textes de space opera s'attachent aux personnages, aux thèmes de la famille et de l'enfance , ils sont empreints de mystère, de tendresse et de mélancolie, mais parfois aussi d'une incroyable violence.
Les nouvelles de Bradbury sont sont son point fort, il n'y a pas de doute. C'est tellement vrai, d'ailleurs, que Chroniques martiennes est un recueil de nouvelles... c'est dire !

Oncle Joe
Ah , Tonton , dans mes bras !
Toi aussi tu cherches à faire progresser les bots de façon à ce qu'ils deviennent nos compagnons de demain !
Que dis-je nos compagnons , nos partenaires !
Que dis-je nos partenaires , ach ! nos bien-aimés Zouverains !!!

-Dr Folamour ? il est l'heure de votre piqûre...
Pour une fois qu'on essaye pas de nous vendre quelque chose dans une langue totalement incompréhensible (qui se croit être de l'anglais, souvent).
Mais si les bots commencent à apprécier la littérature il ne nous reste plus qu'à espérer que la fin du monde soit bien pour le mois de décembre.

Posté : lun. juin 11, 2012 9:22 am
par Lensman
Je m'étonne tout de même qu'un robot ne soit pas capable de s'apercevoir que Chroniques martiennes est un recueil de nouvelles. Un humain, je le conçois, car l'humain se livre à des raisonnements compliqués et tordus, influencés par l'affect, sans compter l'étourderie. Mais pour un robot, ça n'a pas de sens...

Oncle Joe