Non, ce n'est pas à ça que je pense. Ce à quoi je pense c'est de parler autour de soi de la chose. A sa famille, ses amis, ses collègues, etc. D'essayer de les intéresser au truc, de les cerner en terme de goût pour savoir si c'est un genre qui peut les intéresser et si oui, trouver la bonne porte d'entrée, le bon livre pour les aider à franchir le pas et le leur offrir si besoin.sarouken a écrit :Déjà essayé ici : http://jaimepaslasf.blogspot.fr/Herbefol a écrit :Pour moi, une partie de la solution consiste à évangéliser, ni plus, ni moins. Les lecteurs de SF doivent eux aussi participer à la résolution du problème et tenter de convaincre autour d'eux que non la SF ce n'est pas sale, débile, etc. Et que oui on peut en lire.
Organisé par une assos qui s'occupe de polar (sans doute plus ouverte que les fans SF ?). Invités, Norbert Merjagnan, des gens de l'atalante, une organisatrice des utopiales. Début du débat : "le fandom est consanguin" WTF dans le public. Les 3/4 ne connaissent pas le terme fandom et n'est pas venu pour qu'on lui en parle. On fait remarquer le coté parfois vieillot et rebutant de la SF. Les invités répondent que cela fait partie de l'histoire de la SF et qu'il faut le voir comme de l'auto-dérision. Cela ne doit faire rire que les fans de SF, les autres ne le voient pas.
Les soirées et les rencontre c'est sympa, mais pour ça faut que les gens viennent vers vous. Et ça réduit quand même considérablement le champ d'action possible.
D'une certaine façon, ce dont je parle c'est presque de faire comme les témoins de Jéhovah.

Mais surtout c'est d'aller vers eux et pas de leur demander de venir vers nous. Ça me paraît le point clé de la démarche. Si les gens ne vont pas à la SF, la SF doit venir à eux.