Albéric a écrit :Erion a écrit :Albéric a écrit :
Je le dis et le répète, je posais des questions, je ne me faisais aucune affirmation.
Tu as posé des questions, et on t'a répondu que non, il n'y a pas de racisme dans le milieu éditorial français de l'imaginaire. Voilà. C'est aussi simple que ça.
En revanche, si tu tiens à poser la question jusqu'à ce qu'on invente une raison, on peut le faire, et par exemple, on peut te dire qu'il y a un consensus dans le milieu éditorial français pour ne jamais éditer d'auteur ayant séjourné plus de trois mois en Antarctique, et c'est la preuve d'un racisme insupportable envers les manchots.
Dans ces conditions, il est exact de dire qu'il y a du racisme dans le milieu de l'édition de l'imaginaire en France. La réponse te satisfait ?
Et c'est tout naturellement que quand je pose la question d'éventuels préjugés au sein du lectorat, vous revenez me faites dire ce que je n'ai pas dit en revenant systématiquement à mon interrogation initiale.
Vous faites me faites marcher hein ou vous faites exprès de ne pas comprendre ?
Non, non, ils sont comme ça.
En plus, j'ai l'impression qu'ils mélangent ce que tu as dit avec ce que disait Fabien au début du fil...
Albéric a écrit :Il y a un constat, certains on répondu clairement donc je cherche d'autres pistes.
(après les arguments du style "oh non ce n'est pas possible !" je me superméfie aussi...)
Je me superméfie aussi. Je suis d'accord avec le sexisme. Quant au reste, on a parfois de mauvaises surprises.
Cela dit, si on ne peut pas parler pour l'ensemble des lecteurs, on peut au moins parler pour l'ensemble des éditeurs spécialisés et dire que, oui, on les connaît, oui, certains sont ultra-sexistes, mais racistes, non. Plutôt moins que dans d'autres branches de la littérature.
Et j'en reviens à "quand on fréquente des petits hommes verts, on se rend pas compte si l'autre à côté est blanc rosâtre ou bois brûlé... à moins qu'il ou elle en parle, ce qui est rarement le cas.
Sauf pour la minorité italienne dont on peut se rendre compte qu'elle est sacrément envahissante
