Meilleure dans le sens, où c'est celle qui correspond le mieux au projet de Tolkien (créer une mythologie anglo-saxonne) et qui permet de rapprocher le SdA de ses sources revendiquées. Ce que j'apprécie, c'est la cohérence globale. Comme le dit l'auteur de l'article, c'est si évident que personne ne l'a fait (et un chercheur qui commence déjà par demander si ça n'a pas déjà été fait, je trouve ça respectable). Maintenant, est-ce que cela apporte un éclairage supplémentaire ? Pas forcément. Je ne suis pas tombé à la renverse à la lecture de l'article.Transhumain a écrit : Erion : la psychanalyse jungienne n'est pas forcément "la meilleure" pour interpréter le Seigneur des Anneaux. D'ailleurs l'amie de Bull semble explorer, elle, des pistes lacaniennes (le Nom-du-Père), donc très différentes...
Une approche lacanienne m'intéresse beaucoup moins, parce qu'il s'agit d'une approche autobiographique, et, à titre personnel, je me fous de la vie de Tolkien.