les 50 000 ne cumulent pas grand format + poche qui plus est ?Pascal a écrit :C'est depuis parution.arsenie a écrit :Damasio n'y figure pas, avec plus de 50 000 ventes annoncées (mais ptêt sur plus d'1 an ?)
Les littératures de l'imaginaire en France
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Merci : ce n'est pas si vieux ! ( mars 2007 pour l''édition poche folio SF dont on parle)Pascal a écrit :C'est depuis parution.arsenie a écrit :Damasio n'y figure pas, avec plus de 50 000 ventes annoncées (mais ptêt sur plus d'1 an ?)
En rajoutant les ventes en grand format ... ça grimpe!

- je n'ai pas trop idée, mais ça me paraît "bon" comme chiffre?
et sans "prescripteurs" ni pub organisée

Ca me paraît plus que bon.arsenie a écrit :Merci : ce n'est pas si vieux ! ( mars 2007 pour l''édition poche folio SF dont on parle)Pascal a écrit :C'est depuis parution.arsenie a écrit :Damasio n'y figure pas, avec plus de 50 000 ventes annoncées (mais ptêt sur plus d'1 an ?)
En rajoutant les ventes en grand format ... ça grimpe!![]()
- je n'ai pas trop idée, mais ça me paraît "bon" comme chiffre?
et sans "prescripteurs" ni pub organisée
De mémoire, il me semble que 50 000 on doit être dans les chiffres d'hypérion qui est un énorme succès de librairie.
si on commence à mélanger sf archaïque et proto-sf, personne ne s'y retrouvera plus.
Dieu.
Dieu.
Deux pièces pour alimenter le débat.
D'abord, pour les anglophones, cet article paru sur le site du Comics Journal, où R. Fiore part d'une mise en parallèle de la convention de San Diego (comics) et de la WorldCon (SF) pour esquisser une explication possible du déclin de la SF aux Etats-Unis. Certaines de ses observations me semblent très pertinentes.
Ensuite, pour revenir en France, cette phrase de Boris Cyrulnik extraite de son entretien dans le Siné Hebdo de cette semaine (rien à voir avec la SF a priori, sauf que...) :
JDB
D'abord, pour les anglophones, cet article paru sur le site du Comics Journal, où R. Fiore part d'une mise en parallèle de la convention de San Diego (comics) et de la WorldCon (SF) pour esquisser une explication possible du déclin de la SF aux Etats-Unis. Certaines de ses observations me semblent très pertinentes.
Ensuite, pour revenir en France, cette phrase de Boris Cyrulnik extraite de son entretien dans le Siné Hebdo de cette semaine (rien à voir avec la SF a priori, sauf que...) :
A méditer.Je me suis rendu compte que les idées qui rentrent dans la culture ne sont pas forcément les meilleures, ce sont celles qui sont soutenues par un appareil politique. Même si l'idée est mauvaise, s'il y a un appareil politique -- c'est-à-dire des journaux, un comité central, des délégations régionales, des événements --, s'il y a une technique de prise de pouvoir politique, une très mauvaise idée peut très bien rentrer dans la culture.
JDB