C'est que j'ai toujours un peu de mal à distinguer la culture du pédantisme... (et je suis myope..)Nébal a écrit :Ca fait pédant, surtout.
Oncle Joe
Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
+1fabrice a écrit :Y a un climat, ici.
Bon, si vous voulez croire que MH est un chic type, libre à vous.
De mon point de vue, un auteur qui défend la prostitution et avoue aimer les femmes "quand elles bavent comme des labradors" a intérêt à poser un sacré projet littéraire sur la table - je veux dire, autre chose que de pleurnicher sur la fin du monde et recopier des notices d'appareil photo.
Une chose est sûre : Houellebecq a un gros problème avec la sexualité. La sienne et celle des autres. Pour le reste, je ne vais pas perdre mon temps à essayer de déterminer s'il est vraiment raciste, vraiment misogyne, vraiment fan de Raël, etc. Tout ça est assez malsain et, en définitive, je m'en tape.
Il y a plein d'autres auteurs talentueux qui ne s'envoient pas des mineures en Thaïlande.
Regarde Céline... Il est à la Pléiade, je crois...fabrice a écrit :Y a un climat, ici.
Bon, si vous voulez croire que MH est un chic type, libre à vous.
De mon point de vue, un auteur qui défend la prostitution et avoue aimer les femmes "quand elles bavent comme des labradors" a intérêt à poser un sacré projet littéraire sur la table - je veux dire, autre chose que de pleurnicher sur la fin du monde et recopier des notices d'appareil photo.
Une chose est sûre : Houellebecq a un gros problème avec la sexualité. La sienne et celle des autres. Pour le reste, je ne vais pas perdre mon temps à essayer de déterminer s'il est vraiment raciste, vraiment misogyne, vraiment fan de Raël, etc. Tout ça est assez malsain et, en définitive, je m'en tape.
Il y a plein d'autres auteurs talentueux qui ne s'envoient pas des mineures en Thaïlande.
Ce que je trouve navrant, moi, c'est qu'on s'attaque à ses livres, avec comme arguments essentiels des éléments biographiques et une bonne dose de moraline. Non, les écrivains n'ont pas tous un comportement irréprochable - ils sont humains -, et leurs livres sont inextricablement liés à leur vie. Et, oui, ils ont le droit d'aimer les femmes qui bavent comme un labrador (leurs personnages aussi). Raymond Abellio a très vraisemblablement collaboré avec les Allemands, mais ses romans sont parmi les plus beaux que j'ai lus et, comme ceux de Houellebecq, les plus propices à la réflexion - en même temps qu'à l'émotion - avec un point commun : une certaine vision des femmes, et de leurs relations avec les hommes. Tu le sais, toi qui as lu, et apprécié je crois, Abellio. Quant à la sexualité, c'est un élément essentiel dans la vie de la plupart des gens, et Houellebecq est l'un des seuls à l'avoir abordée sous un angle, très contemporain, qui dépasse la psychologie de comptoir, l'érotisme libertin ou le mysticisme béat.fabrice a écrit :Y a un climat, ici.
Bon, si vous voulez croire que MH est un chic type, libre à vous.
De mon point de vue, un auteur qui défend la prostitution et avoue aimer les femmes "quand elles bavent comme des labradors" a intérêt à poser un sacré projet littéraire sur la table - je veux dire, autre chose que de pleurnicher sur la fin du monde et recopier des notices d'appareil photo.
Une chose est sûre : Houellebecq a un gros problème avec la sexualité. La sienne et celle des autres. Pour le reste, je ne vais pas perdre mon temps à essayer de déterminer s'il est vraiment raciste, vraiment misogyne, vraiment fan de Raël, etc. Tout ça est assez malsain et, en définitive, je m'en tape.
Il y a plein d'autres auteurs talentueux qui ne s'envoient pas des mineures en Thaïlande.
MH balaie les arguments postmodernes selon lesquels "tout a changé". Selon lui, vraisemblablement, très peu de choses ont changé, éventuellement rien. L'écrivain a toujours vocation à rendre compte de la situation de l'être humain, par des moyens simples et directs – du point de vue littéraire, il est vraisemblablement balzacien. Toutes les nuances, réserves, complications, relativismes esthétiques et moraux sont à ses yeux des excuses et des diversions pour ne pas dire la vérité, excuses et diversions organisées par des intellectuels qui se savent incapables d'accomplir leur tâche par défaut de culture scientifique et/ou manque de courage. La vérité est celle-ci : la vie est mauvaise. l'homme est un animal et l'essentiel de ses caractéristiques psychologiques, politiques et sociales sont de la biologie continuée par d'autres moyens, d'où une cruauté à peine atténuée. Le moi inviduel est une illusion récente et surrévaluée. Il y a très peu de liberté individuelle ; peut-être même aucune. Le vieillissement et la mort rendent l'existence absurde.Sur le plan scientifique et technique, le XXème siècle peut être placé au même niveau que le XIXème. Sur le plan de la littérature et de la pensée, par contre, l'effondrement est presque incroyable, surtout depuis 1945, et le bilan consternant : quand on se remémore l'ignorance scientifique crasse d'un Sartre et d'une Beauvoir, pourtant supposés s'inscrire dans le champ de la philosophie, quand on considère le fait presque incroyable que Malraux a pu – ne fût-ce que très brièvement – être considéré comme un "grand écrivain", on mesure le degré d'abrutissement auquel nous aura mené la notion d'engagement politique et on s'étonne de ce que l'on puisse aujourd'hui prendre un intellectuel au sérieux ; on s'étonne par exemple de ce qu'un Bourdieu ou un Baudrillard trouvent encore des journaux disposés à publier leur niaiseries.
Mais selon Houellebecq, le désir baisse tendantiellement et s'éparpille en se portant sur une multitude fragmentée d'objets publicitaires et la représentation n'est plus innocente, elle ne se présente plus comme un reflet neutre d'une réalité extérieure, elle est "infectée par le second degré", c'est à dire qu'elle est un bavardage. C'est "le monde comme supermarché et dérision", un écran qui nous cache la vérité et dont "la fête" peut être considéré comme l'exemple-type :d'une part existant comme volonté (comme désir, comme élan vital), d'autre part perçu comme représentation (en soi neutre, innocente, purement objective, susceptible comme telle de reconstruction esthétique).
Pour l'essentiel, l'art de Houellebecq consiste en ce retour aux fondamentaux dont personne, selon lui, ne veut prendre la pleine mesure. Traverser l'écran de blabla insignifiant dressé un peu partout pour neutraliser la vision terrifiante de l'homme produite par la science, abattre les vaches sacrées de la représentation qui traînent ici et là, essayer d'y voir clair. C'est pourquoi il ne fait jamais aucune nuance, c'est pourquoi il est délibérément "simpliste". Le monde est rempli de faux problèmes insolubles qui nous font perdre du temps alors que les vraies questions sont simples et peu nombreuses. Dans la mesure où "l'Occident a tout sacrifié au désir de certitudes rationnelles, même son bonheur" – est-il possible d'être heureux ou vaut-il mieux renoncer tout de suite ?Le but de la fête est de nous faire oublier que nous sommes solitaires, misérables et promis à la mort ; autrement dit, de nous transformer en animaux. C'est pourquoi le primitif a un sens de la fête très développé. Une bonne fambée de plantes hallucinogènes, trois tambourins et le tour est joué : un rien l'amuse. A l'opposé, l'Occidental moyen n'aboutit à une extase insuffisante qu'à l'issue de raves interminables dont il ressort sourd et drogué : il n'a pas le sens de la fête. Profondément conscient de lui-même, radicalement étranger aux autres, terrorisé à l'idée de la mort, il est bien incapable d'accéder à une quelconque exaltation. Cependant, il s'obstine. La perte de sa condition animale l'attriste ; il en conçoit honte et dépit ; il aimerait être un fêtard ou du moins passer pour tel. Il est dans une sale situation.
L'autre, plus sombre et entachée par l'échec, à la fin de la Possibilité d'une île.Ayant rompu le lien filial qui nous rattachait à l'humanité, nous vivons. A l'estimation des hommes, nous vivons heureux ; il est vrai que nous avons su dépasser les puissances, insurmontables pour eux, de l'égoïsme, de la cruauté et de la colère ; nous vivons de toute façon une vie différente. La science et l'art existe toujours, dans notre société, mais la poursuite du Vrai et du Beau, moins stimulée par l'aguillon de la vanité individuelle, a de fait acquis un caractère moins urgent. Aux humains de l'ancienne race, notre monde fait l'effet d'un paradis. Il nous arrive d'ailleurs parfois de nous qualifier nous-mêmes – sur un mode il est vrai légèrement humoristique – de ce nom de "dieux" qui les avait tant fait rêver.
Et aussi…En l'absence de tout conflit, un monde apparaît, se développe. Le réseau des interactions enveloppe l'espace, crée l'espace par son développement instantané. Observant les interactions, nous connaissons le monde. Définissant l'espace par l'intermédiaire des observables, en l'absence de toute contradiction, nous proposons un monde dont nous pouvons parler. Nous appelons ce monde : la réalité.
Et encore…Nous avançons vers le désastre guidés par une image fausse du monde ; et personne ne le sait. Les neurochimistes eux-mêmes ne semblent pas se rendre compte que leur discipline avance sur un terrain miné. Tôt ou tard, ils aborderont les bases moléculaires de la conscience ; ils se heurteront alors de plein fouet aux modes de pensée issus de la mécanique quantique. Nous n'échapperons pas à une redéfinition des conditions de la connaissance, de la notion même de réalité ; il faudrait dès maintenant en prendre conscience sur un plan affectif. En tout cas, tant que nous resterons dans une vision mécaniste et individualiste du monde, nous mourrons. Il ne me paraît pas judicieux de demeurer plus longtemps dans la souffrance et dans le mal. Cela fait cinq siècles que l'idée du moi occupe le terrain ; il est temps de bifurquer.
Si la mutation finale des Particules élémentaires est réussie – utopique –, c'est en partie, crois-je comprendre, parce que cet hypthétique "nouveau langage" a été forgé (les voix posthumaines qui encadrent le roman s'expriment sous forme poétique).Dans l'ambiance de catastrophe conceptuelle produite par les premières découvertes quantiques, on a parfois suggéré qu'il serait opportun de créer un nouveau langage, une nouvelle logique, ou les deux. Clairement, le langage et la logique ancienne se prêtaient mal à la représentation de l'univers quantique. Pourtant, Bohr était réticent. La poésie, soulignait-il, prouve que l'utilisation fine et partiellement contradictoire du langage usuel permet de dépasser ses limitations. Le principe de complémentarité introduit par Bohr est une sorte de gestion fine de la contradiction ; des points de vue complémentaires sont simultanément introduits sur le monde ; chacun d'entre eux, pris isolément, peut être exprimé sans ambiguité en langage clair ; chacun d'entre eux, pris isolément, est faux. Leur présence conjointe crée une situation nouvelle, inconfortable pour la raison ; mais c'est uniquement à travers ce malaise conceptuel que nous pouvons accéder à une représentation correcte du monde. Parallèlement, Jean Cohen affirme que l'utilisation absurde que la poésie fait du langage n'est pas à elle-même son propre but. La poésie brise la chaîne causale et joue constamment avec la puissance explosive de l'absurde ; mais elle n'est pas l'absurdité. Elle est l'absurdité rendue créatrice ; créatrice d'un sens autre, étrange mais immédiat, illimité, émotionnel.
...fabrice a écrit :Y a un climat, ici.
Bon, si vous voulez croire que MH est un chic type, libre à vous.
De mon point de vue, un auteur qui défend la prostitution et avoue aimer les femmes "quand elles bavent comme des labradors" a intérêt à poser un sacré projet littéraire sur la table - je veux dire, autre chose que de pleurnicher sur la fin du monde et recopier des notices d'appareil photo.
Une chose est sûre : Houellebecq a un gros problème avec la sexualité. La sienne et celle des autres. Pour le reste, je ne vais pas perdre mon temps à essayer de déterminer s'il est vraiment raciste, vraiment misogyne, vraiment fan de Raël, etc. Tout ça est assez malsain et, en définitive, je m'en tape.
Il y a plein d'autres auteurs talentueux qui ne s'envoient pas des mineures en Thaïlande.
Je ne sais pas très bien comment le formuler autrement : je m'attaque à ce dernier livre parce que je le trouve miteux. Pas bon. Mal construit. Et surtout, usant toujours des mêmes ficelles.Transhumain a écrit :Ce que je trouve navrant, moi, c'est qu'on s'attaque à ses livres, avec comme arguments essentiels des éléments biographiques et une bonne dose de moraline. Non, les écrivains n'ont pas tous un comportement irréprochable - ils sont humains -, et leurs livres sont inextricablement liés à leur vie. Et, oui, ils ont le droit d'aimer les femmes qui bavent comme un labrador (leurs personnages aussi). Raymond Abellio a très vraisemblablement collaboré avec les Allemands, mais ses romans sont parmi les plus beaux que j'ai lus et, comme ceux de Houellebecq, les plus propices à la réflexion - en même temps qu'à l'émotion - avec un point commun : une certaine vision des femmes, et de leurs relations avec les hommes. Tu le sais, toi qui as lu, et apprécié je crois, Abellio. Quant à la sexualité, c'est un élément essentiel dans la vie de la plupart des gens, et Houellebecq est l'un des seuls à l'avoir abordée sous un angle, très contemporain, qui dépasse la psychologie de comptoir, l'érotisme libertin ou le mysticisme béat.fabrice a écrit :Y a un climat, ici.
Bon, si vous voulez croire que MH est un chic type, libre à vous.
De mon point de vue, un auteur qui défend la prostitution et avoue aimer les femmes "quand elles bavent comme des labradors" a intérêt à poser un sacré projet littéraire sur la table - je veux dire, autre chose que de pleurnicher sur la fin du monde et recopier des notices d'appareil photo.
Une chose est sûre : Houellebecq a un gros problème avec la sexualité. La sienne et celle des autres. Pour le reste, je ne vais pas perdre mon temps à essayer de déterminer s'il est vraiment raciste, vraiment misogyne, vraiment fan de Raël, etc. Tout ça est assez malsain et, en définitive, je m'en tape.
Il y a plein d'autres auteurs talentueux qui ne s'envoient pas des mineures en Thaïlande.
Sinon, tu n'as jamais pensé à créer une Ligue Troy qui ferait la promo des écrivains vertueux ?
Difficile de le prendre au sérieux en lisant ça.Lem a écrit :De son poste d'observation, philosophique et littéraire, MH considère que le XXème siècle a été un immense foutage de gueule, à base d'intimidation gauchiste, d'intellectualisme creux et de sentimentalisme obsolète.
Là on est plutôt dans le truisme.Lem a écrit :La grande production du XXème siècle a été selon lui la science, en particulier la physique, la biologie, la génétique, et toute réflexion qui ne prend pas appui sur ses résultats est une escroquerie.
Exemple de "désir de simulacres publicitaires" : la recherche de la reconnaissance littéraire (je pense aux sempiternels débats sur la reconnaissance de la SF) ou encore, le succès public (les "vrais" écrivains de SF français aimeraient vendre autant que Werber). La chair est faible, nous sommes peu de chose, allez, mais Houellebecq est heureusement là pour nous ramener aux... élémentaux.Lem a écrit : Mais pour accomplir cette quête, il importe de commencer par déboulonner la plupart des représentations ambiantes, qui nous en détournent en nous faisant désirer des simulacres publicitaires. Il importe de liquider l'attachement sentimental qui nous relie à ces simulacres pour revenir brutalement aux faits élémentaires – le malheur, la mort inévitable, l'absurdité obscène du moi – et formuler à nouveaux nos buts, en toute connaissance de cause. D'où ce ton de provocation systématique et cet usage constant de la pacotille qui procède aussi , sans doute, d'un intérêt médiatique bien compris.
Là, je t'arrête tout de suite, Onc' Joe, il s'agit d'un pur désir vénal.Lensman a écrit :Exemple de "désir de simulacres publicitaire" : […] le succès public (les "vrais" écrivains de SF français aimeraient vendre autant que Werber).
Why not tout ça, cher Lem. Mais le moins que l'on puisse dire, c'est que l'espoir que tu évoques, ou tout au moins la possibilité de sa réalisation, ne transparaît guère dans les dernières pages de La Carte. Dès lors, à quoi bon ?Lem a écrit : On résume ? Pour moi, Houellebecq est le contraire d'un nihiliste. Il pense que le salut existe, que le monde peut avoir un sens, que le bonheur est possible, que rien de tout cela ne nous est interdit. Mais pour accomplir cette quête, il importe de commencer par déboulonner la plupart des représentations ambiantes, qui nous en détournent en nous faisant désirer des simulacres publicitaires. Il importe de liquider l'attachement sentimental qui nous relie à ces simulacres pour revenir brutalement aux faits élémentaires – le malheur, la mort inévitable, l'absurdité obscène du moi – et formuler à nouveaux nos buts, en toute connaissance de cause. D'où ce ton de provocation systématique et cet usage constant de la pacotille qui procède aussi , sans doute, d'un intérêt médiatique bien compris.
Pour être sérieux une seconde, je dois dire que je suis assez d'accord avec toi (même si le "personnage" Houellebecq m'amuse). C'est son aspect très désagréable.fabrice a écrit :Je ne sais pas très bien comment le formuler autrement : je m'attaque à ce dernier livre parce que je le trouve miteux. Pas bon. Mal construit. Et surtout, usant toujours des mêmes ficelles.
Certes, Houellebecq a du talent. Certes, il a dit des choses nouvelles et s'est souvent attaqué à des sujets peu abordés dans la littérature française contemporaine. Ça ne suffit pas à faire de lui un porteur de vérité.
Personnellement, et dans la mesure où rien, à mes yeux, ne vient décidément sublimer cette misogynie de comptoir et ce pessimisme paré d'oripeaux philosophiques dont j'ai longtemps espéré qu'ils annonçassent autre chose, je passe mon tour.
Pour le reste, chacun fait ce qu'il veut avec sa chatte et avec sa bite, on est bien d'accord là-dessus. Le truc étrange, c'est que la plupart des filles que je connais ont beaucoup de mal avec Houellebecq : sans doute, comme il l'écrirait, sont-elles un peu connes.
Quant au discours sur la prostitution en Thaïlande, oui, il me reste vraiment en travers de la gorge, tout simplement parce que des lecteurs peuvent être amenés à le prendre pour argent comptant : les filles sont heureuses, le sida n'existe pas et en plus, c'est pas cher, pourquoi se priver ?
Là, on quitte le domaine de la littérature pour celui de la connerie pure.
Bon, je suis prêt à vendre des indulgences, pour soulager les consciences dans ce domaine...Roland C. Wagner a écrit :Là, je t'arrête tout de suite, Onc' Joe, il s'agit d'un pur désir vénal.Lensman a écrit :Exemple de "désir de simulacres publicitaire" : […] le succès public (les "vrais" écrivains de SF français aimeraient vendre autant que Werber).
Ce sont surtout les droits d'auteur afférents qui font saliver.