et pour pouvoir dire ensuite, Heureusement qu'on a publié dans cette collection pour relevé un peu le niveau ...parce que sinon....Autrement dit, c'est l'auteur qui fait la respectabilité, et pas le genre

Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
Il est grand temps que les auteurs de genre publient en littgen histoire d'en relever le niveau.Papageno a écrit :et pour pouvoir dire ensuite, Heureusement qu'on a publié dans cette collection pour relevé un peu le niveau ...parce que sinon....Autrement dit, c'est l'auteur qui fait la respectabilité, et pas le genre
Faut voir...Roland C. Wagner a écrit :Il est grand temps que les auteurs de genre publient en littgen histoire d'en relever le niveau.Papageno a écrit :et pour pouvoir dire ensuite, Heureusement qu'on a publié dans cette collection pour relevé un peu le niveau ...parce que sinon....Autrement dit, c'est l'auteur qui fait la respectabilité, et pas le genre
J'ai bon ?
A vrai dire, je ne vois aucune raison de ne pas mener les deux de conserve. Après, ça marche ou pas...bormandg a écrit : Il faut savoir si l'auteur veut s'inscrire dans la continuité du "genre" ou s'il veut seulement inscrire une idée prise au genre dans son oeuvre. Ce sont deux démarches différentes. .
Les deux démarches peuvent effectivement êtres menées de concert par des auteurs différents.Lensman a écrit :A vrai dire, je ne vois aucune raison de ne pas mener les deux de conserve. Après, ça marche ou pas...bormandg a écrit : Il faut savoir si l'auteur veut s'inscrire dans la continuité du "genre" ou s'il veut seulement inscrire une idée prise au genre dans son oeuvre. Ce sont deux démarches différentes. .
Oncle Joe
Attention, on détourne la question. Qui est, même si ça dérange, le fait que, pour certains critiques et certains lecteurs, la présence d'auteurs reconnus qui affichent leur soutien au "genre" en publiant sous étiquette est une source de respectabilité. Respectabilité qui, pour l'auteur concerné, est acquise avant qu'il publie sous l'étiquette.Papageno a écrit :et pour pouvoir dire ensuite, Heureusement qu'on a publié dans cette collection pour relevé un peu le niveau ...parce que sinon....Autrement dit, c'est l'auteur qui fait la respectabilité, et pas le genre
Ce n'est qu'une réponse appropriée à l'attitude des critiques.Roland C. Wagner a écrit :Il est grand temps que les auteurs de genre publient en littgen histoire d'en relever le niveau.Papageno a écrit :et pour pouvoir dire ensuite, Heureusement qu'on a publié dans cette collection pour relevé un peu le niveau ...parce que sinon....Autrement dit, c'est l'auteur qui fait la respectabilité, et pas le genre
J'ai bon ?
Loc. adv. De conserve, se dit de deux ou plusieurs bâtiments qui font route ensemble. Ces deux avisos naviguent de conserve, vont de conserve, sont de conserve. Fig. Agir de conserve, d'accord avec quelqu'un.
Ce que je veux dire, c'est que la respectabilité acquise de cette manière, je n'appelle pas ça de la respectabilité... mais si certains se contentent de cet ersatz, c'est à eux de voir... bof... On en revient à mon problème: la respectabilité, ça n'existe pas en soi. Ce qui existe, c'est qui la confère, et pour quelles raisons.bormandg a écrit :Attention, on détourne la question. Qui est, même si ça dérange, le fait que, pour certains critiques et certains lecteurs, la présence d'auteurs reconnus qui affichent leur soutien au "genre" en publiant sous étiquette est une source de respectabilité. Respectabilité qui, pour l'auteur concerné, est acquise avant qu'il publie sous l'étiquette.Papageno a écrit :et pour pouvoir dire ensuite, Heureusement qu'on a publié dans cette collection pour relevé un peu le niveau ...parce que sinon....Autrement dit, c'est l'auteur qui fait la respectabilité, et pas le genre
Ce n'est pas obligatoire, que les auteurs soient différents. Barjavel, auteur considéré comme un auteur normal, a publié Le diable l'emporte en Présence du Futur, et Hougron y a publié Le signe du chien.bormandg a écrit :Les deux démarches peuvent effectivement êtres menées de concert par des auteurs différents.Lensman a écrit :A vrai dire, je ne vois aucune raison de ne pas mener les deux de conserve. Après, ça marche ou pas...bormandg a écrit : Il faut savoir si l'auteur veut s'inscrire dans la continuité du "genre" ou s'il veut seulement inscrire une idée prise au genre dans son oeuvre. Ce sont deux démarches différentes. .
Oncle Joe
Lensman a écrit :Ce n'est pas obligatoire, que les auteurs soient différents. Barjavel, auteur considéré comme un auteur normal, a publié Le diable l'emporte en Présence du Futur, et Hougron y a publié Le signe du chien.bormandg a écrit :Les deux démarches peuvent effectivement êtres menées de concert par des auteurs différents.Lensman a écrit :A vrai dire, je ne vois aucune raison de ne pas mener les deux de conserve. Après, ça marche ou pas...bormandg a écrit : Il faut savoir si l'auteur veut s'inscrire dans la continuité du "genre" ou s'il veut seulement inscrire une idée prise au genre dans son oeuvre. Ce sont deux démarches différentes. .
Oncle Joe
Le Naguen, du même, n'a pas été publié dans une collection "de genre", mais a été repris ensuite en J'ai Lu SF[/i. La réédition dans des collections SF de textes parus initialement "hors genre" est d'ailleurs un autre phénomène, intéressant et qui n'est pas rare: il montre que, pour les directeurs de ces collections, les deux démarches ont bien été menées par l'auteur (consciemment ou non... mais c'est le résultat qui compte!), puisqu'ils considèrent que son roman d'abord paru "hors SF" est tout à fait intéressant pour les lecteurs de leurs collections.
Oncle Joe
En fait, l'emploi de "normal" n'était pas du tout un lapsus, c'est une autre manière de dire, un peu ironique (tu me connais...) auteur non confiné aux littératures de genre...bormandg a écrit : N'oublions pas, il est vrai, le cas de Margaret Atwood qui a fini par reconnaître que sa Handmaid's tale s'inscrivait parfaitement dans la continuité de la New wave SF britannique. Mais il s'agit là d'un changement de démarche, pas de l'emploi conjoint des deux.
Je remarque un lapsus assez freudien "auteur normal". Le cas de Barjavel mériterait un traitement à part (et ce n'est certainement pas le seul cas) puisque ses premières oeuvres sont antérieures à l'apparition de l'étiquette et que ses dernières oeuvres en Presses de la Cité jouent à la fois sur le marché "normal" et le marché SF. De même la question est posée pour Hougron: a-t-il volontairement choisi l'étiquette SF pour le Signe du chien (Présence du futur se voulait littéraire) et pourquoi ne l'a-t-il pas demandée pour Le naguen? En fait nous sommes là devant une situation parfaitement chaotique et toute affirmation qui se veut générale est certainement porteuse d'exception, donc fausse...
J'avais donc bien cherché cette réplique...