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Les éditions Glyphe soldent ses livres parus dans la défunte collection Imaginaires. Au programme des remises de 30 à 60%.

Toutes les infos et les prix sont là .

Déjà soldés ?

Et d'une manière qui avantage honteusement les Parisiens !

Eons a écrit :Déjà soldés ?

Ce sont des livres qui ont bien plus que les six mois légaux, non? Glyphe n'a pas les capacités de stockage ad eternam nécessaires pour garder les livres au prix d'origine.

Et d'une manière qui avantage honteusement les Parisiens !

Tu t'offres le voyage, ça compensera les frais de port (qui, soit dit au passage, sont des frais, pas un supplément de revenu pour Glyphe). T'as qu'à venir à l'AG Présences d'esprits, par la même occasion (c'est le 26).

bormandg a écrit :

Eons a écrit :Déjà soldés ?

Ce sont des livres qui ont bien plus que les six mois légaux, non? Glyphe n'a pas les capacités de stockage ad eternam nécessaires pour garder les livres au prix d'origine.

6 mois, c'est pour les libraires en non-réassort. La loi impose deux ans après la parution, or non seulement certains titres sont de l'année dernière, mais il me semble que Glyphe n'existe même pas depuis deux ans.

bormandg a écrit :

Et d'une manière qui avantage honteusement les Parisiens !

Tu t'offres le voyage, ça compensera les frais de port (qui, soit dit au passage, sont des frais, pas un supplément de revenu pour Glyphe). T'as qu'à venir à l'AG Présences d'esprits, par la même occasion (c'est le 26).

Justement, la différence aurait correspondu au coût du port, OK. Mais là, c'est plus proche du double des frais de port.

Et : non, même en achetant tout (alors que peut-être 2 ou 3 m'intéresseraient à tout casser) et avec ma réduction SNCF de 30% en 2e classe, je ne m'y retrouverais pas.

Les 6 mois et deux ans, c'est pour les intermédiaires. L'éditeur fait ce qu'il veut, quand il veut.

Glyphe existe depuis les années 90, mais au départ, c'était une maison d'éditions spécialisée dans la publications d'essais, en particulier sur l'histoire de la médecine et la typographie, deux des domaines de prédilection d'Eric Martini. La collection Imaginaires a été créée en 2007, avec la parution de (Pro)Créations.

Le roman de Carole Boudebesse, La Mallette jaune (que je vous recommande absolument), était paru l'année précédente dans une autre collection consacrée aux romans (qui existe depuis des années, on y trouve des polars, des romans historiques, etc.). C'est ce bouquin de SF qui a donné envie à Eric de se lancer dans l'édition de littérature de l'Imaginaire.

Conclusion : Eons, renseigne-toi avant de dire n'importe quoi !

Ceci dit, ça me fait râler aussi cette différence de prix, j'aurais bien fait provision de cadeaux pour mon entourage. Mais il faut bien se dire que les frais de port, pour une petite entreprise comme Glyphe, ça n'est pas seulement le tampon de la poste, c'est les cartons d'emballage, et c'est un temps fou passé à s'occuper de ça, de faire la queue, porter des cartons dans les escaliers, etc. Et pendant ce temps, la personne qui s'en charge ne travaille pas sur autre chose et c'est un manque à gagner.

Mais, oui, Georges a raison, c'est une bonne idée de coupler ça avec l'AG de PDE

Sinon Lucie, tu sais qui va te remplacer à la tête de la collection ? Tu as démissioné en septembre et on a pas d'infos pour l'instant.

Heu... franchement, là, comme ça, j'ai l'impression que la collection ne va pas continuer. Mais je peux me tromper.

Le recueil de nouvelles de Michèle Sébal est paru hors collection, et je crois que dans la niche commerciale de Glyphe, c'est plus sûr, actuellement. (Au passage, lisez-le, c'est un bijou)

Mais les textes de Michèle séduisent volontiers un public peu habitué au fantastique (donc pas les mêmes librairies, donc pas les mêmes circuits de commerciaux, etc.). Du coup, je ne sais pas si ce système conviendrait pour d'autres ouvrages, plus franchement SFFF. Enfin, plus exactement, je sais que ça ne conviendrait pas

edit : précision : je n'étais pas "à la tête de la collection", j'étais co-directrice de collection, en charge de la direction littéraire (et par la force des choses de la promo, c'est d'ailleurs ce qui m'a tuer -- et oui, la faute d'orthographe est volontaire )

Lucie a écrit :Conclusion : Eons, renseigne-toi avant de dire n'importe quoi !

Étant d'une honnêteté scrupuleuse, j'ai toujours respecté les règles qui s'imposent aux libraires. Mais en effet, vérification aprofondie faite, il y a un vide juridique côté éditeurs.

Lucie a écrit :Ceci dit, ça me fait râler aussi cette différence de prix, j'aurais bien fait provision de cadeaux pour mon entourage. Mais il faut bien se dire que les frais de port, pour une petite entreprise comme Glyphe, ça n'est pas seulement le tampon de la poste, c'est les cartons d'emballage…

N'exagérons pas. Un carton "classique" n'est nécessaire que dans le cas d'une commande conséquente. Quand il s'adit d'un à 3 ou 4 livres (selon taille et épaisseur), une enveloppe-bulle convient très bien, va très vite pour le conditionnement, et coûte moins de 20 c. Et même les cartons pliants (jusqu'à 6 ou 8 cm d'épaisseur avec 2 piles côte à côte) sont simples à mettre en œuvre.

Et, pour finir, des soldes, ce n'est, sauf bide monumental, pas 3 000 exemplaires à emballer.

Ce n'est pas à moi qu'il faut opposer l'argument "petite entreprise".

Eons a écrit :

Lucie a écrit :Conclusion : Eons, renseigne-toi avant de dire n'importe quoi !

Étant d'une honnêteté scrupuleuse, j'ai toujours respecté les règles qui s'imposent aux libraires. Mais en effet, vérification aprofondie faite, il y a un vide juridique côté éditeurs.

Je parlais du

il me semble que Glyphe n'existe même pas depuis deux ans.

Bon, OK, tu as dit "il me semble". Mais quand même, tu aurais pu te renseigner avant. Regarder sur le site ou la page MySpace ou encore nooSFere

Eons a écrit :

Lucie a écrit :Conclusion : Eons, renseigne-toi avant de dire n'importe quoi !

Étant d'une honnêteté scrupuleuse, j'ai toujours respecté les règles qui s'imposent aux libraires. Mais en effet, vérification aprofondie faite, il y a un vide juridique côté éditeurs.

Quel vide juridique ? Le prix du livre est déterminé par l'éditeur. Il est où le vide juridique ?

Daelf a écrit :

Eons a écrit :

Lucie a écrit :Conclusion : Eons, renseigne-toi avant de dire n'importe quoi !

Étant d'une honnêteté scrupuleuse, j'ai toujours respecté les règles qui s'imposent aux libraires. Mais en effet, vérification approfondie faite, il y a un vide juridique côté éditeurs.

Quel vide juridique ? Le prix du livre est déterminé par l'éditeur. Il est où le vide juridique ?

Côté soldes.

Le prix du livre est certes fixé par l'éditeur, mais ce prix est normalement définitif : un changement de prix implique une nouvelle édition. C'est même pour ça que, sauf "collections" bien définies (avec alors un code référençant le prix), le prix est obligatoirement imprimé directement sur le bouquin.

Les soldes sont un cas à part, vu que c'est un nouveau prix pour une édition existante.

Eons a écrit :Étant d'une honnêteté scrupuleuse, j'ai toujours respecté les règles qui s'imposent aux libraires.

C'est dommage : tu es éditeur, pas libraire

Tes règles à toi sont d'établir un contrat honnête, de publier des ouvrages et de payer des droits d'auteurs à tes écrivains

Lucie a écrit :

Eons a écrit :Étant d'une honnêteté scrupuleuse, j'ai toujours respecté les règles qui s'imposent aux libraires.

C'est dommage : tu es éditeur, pas libraire

Si puisqu'on vend aussi en ligne. Tu l'ignorais ?

Eons a écrit :

Lucie a écrit :

Eons a écrit :Étant d'une honnêteté scrupuleuse, j'ai toujours respecté les règles qui s'imposent aux libraires.

C'est dommage : tu es éditeur, pas libraire

Si puisqu'on vend aussi en ligne. Tu l'ignorais ?

Y compris des ouvrages publiés par d'autres éditeurs ? Que tu commandes à leurs distributeurs ? Avec le statut et la marge des libraires ?