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Ce qui la même chose (juste une question de point de vue..)dracosolis a écrit :ou alors c'est le fandom qui souffre d'une pathologie récurrenteLensman a écrit :[
Et King n'est pas rejeté par le fandom F non plus... C'est à croire que c'est juste BW qui a un problème... incompréhensible!
Oncle Joe
En fait, sans parler d'oubli (terme paraissant un peu fort), je pense tout de même qu'on peut estimer que certaines oeuvres n'ont pas la reconnaissance que l'on pense qu'elles devraient avoir - eu égard à la qualité qu'on leur prête (j'espère prendre assez de précautions oratoires pour bien souligner la subjectivité de tout cela).Lensman a écrit :Dans le cas précis de Maurice Renard, il y a un Bouquin/Laffont qui reprend beaucoup de textes. Pour Rosny, il y a les préhistoriques aussi chez Bouquin, la SF est rééditée de temps à autres (un beau Marabout, jadis, par exemple, et Lem s'occupe d'un volume du même style).
Si on regarde un peu, on s'aperçoit que ces auteurs sont réédités pas si mal que ça, de manière périodique. Ce n'est que justice...
Les grandes merveilles oubliées, ça n'existe pas. Les bons trucs finissent toujours par ressortir. Il est vrai qu'il y a des "modes", mais pour les productiojns culturelles anciennes, ce sont d'autres facteurs qui entrent en jeu.
Oncle Joe
Le reconnaissance qu'elles devraient avoir... vis à vis de qui, que l'on considèrerait comme l'instance respectable et respectée de la reconnaissance? Tu connais la devise de Groucho Marx: "Jamais je ne ferai partie d'un club qui m'accepterait comme membre..."Romain d'Huissier a écrit :En fait, sans parler d'oubli (terme paraissant un peu fort), je pense tout de même qu'on peut estimer que certaines oeuvres n'ont pas la reconnaissance que l'on pense qu'elles devraient avoir - eu égard à la qualité qu'on leur prête (j'espère prendre assez de précautions oratoires pour bien souligner la subjectivité de tout cela).Lensman a écrit :Dans le cas précis de Maurice Renard, il y a un Bouquin/Laffont qui reprend beaucoup de textes. Pour Rosny, il y a les préhistoriques aussi chez Bouquin, la SF est rééditée de temps à autres (un beau Marabout, jadis, par exemple, et Lem s'occupe d'un volume du même style).
Si on regarde un peu, on s'aperçoit que ces auteurs sont réédités pas si mal que ça, de manière périodique. Ce n'est que justice...
Les grandes merveilles oubliées, ça n'existe pas. Les bons trucs finissent toujours par ressortir. Il est vrai qu'il y a des "modes", mais pour les productiojns culturelles anciennes, ce sont d'autres facteurs qui entrent en jeu.
Oncle Joe
Rééditions partielles ou ne bénéficiant que de peu d'exposition par exemple, peuvent frustrer le fan.
(je m'aperçois que la discussion a pas mal dérivé par contre, depuis ma dernière intervention)
Disons une reconnaissance auprès de ceux qui seraient les plus à même de faire connaître l'oeuvre en question. Les "décideurs" du milieu en quelque sorte. Bref ceux qui ont le pouvoir de communication et de publication. (après je connais mal le milieu littéraire professionnel et je dis donc sans doute des conneries)Le reconnaissance qu'elles devraient avoir... vis à vis de qui, que l'on considèrerait comme l'instance respectable et respectée de la reconnaissance?
Ben en SF, "ceux qui seraient les plus à même de faire connaître l'oeuvre en question" ce sont les... lecteurs ( ca fait partie des caractéristiques de la littérature populaire, que de fonctionner sur le bouche à oreilles).Romain d'Huissier a écrit :Disons une reconnaissance auprès de ceux qui seraient les plus à même de faire connaître l'oeuvre en question. Les "décideurs" du milieu en quelque sorte. Bref ceux qui ont le pouvoir de communication et de publication. (après je connais mal le milieu littéraire professionnel et je dis donc sans doute des conneries)Le reconnaissance qu'elles devraient avoir... vis à vis de qui, que l'on considèrerait comme l'instance respectable et respectée de la reconnaissance?
Hum... peux-tu me les décrire?Romain d'Huissier a écrit :Disons une reconnaissance auprès de ceux qui seraient les plus à même de faire connaître l'oeuvre en question. Les "décideurs" du milieu en quelque sorte. Bref ceux qui ont le pouvoir de communication et de publication. (après je connais mal le milieu littéraire professionnel et je dis donc sans doute des conneries)Le reconnaissance qu'elles devraient avoir... vis à vis de qui, que l'on considèrerait comme l'instance respectable et respectée de la reconnaissance?
En fait ma mention des bureaux de tabac faisait écho au message de Roland. Il faut se souvenir que Armand de Caro, fondateur du Fleuve avait construit tout un réseau de distribution alternatif à ses début d'éditeur, et les bureaux de tabac y ont eu bonne place et s'y sont maintenus jusqu'aux années 80. Et oui à Saint Léonard de Noblat, Haute Vienne on pouvait acheter des Fleuves Noir et quelques j'ai Lu au bar des sports jusqu'en 1988 ou 1989.J'ai peut-être trouvé un exemple de livre particulièrement bien adapté aux bureaux de tabac
Le livre est le même, mais je n'arrive pas a acheter un livre dans une grande surface. Sans doute qu'il me faut un environnement bien précis.Je suis d'ailleurs persuadé qu'il y a des différences entre acheter son livre en librairie et acheter son livre au supermarché. Superficiellement c'est la même chose. Mais que la démarche et les conditions matérielles de l'acte seront différentes. Si certains en savent plus là dessus je serais vraiment preneur.
Ben moi, quand je vais au Auchan en France, je reste toujours un peu dans le rayon bouquins (alors que j'ai fait les deux autres librairies du centre commercial avant, toujours), je regarde longuement et trouve même souvent des jolies choses. Dernièrement, j'y ai acheté "L'oeil dela Sybille" de Dick et "Chronominets" d'Asimov, que je n'avais jamais vus, ni l'un ni l'autre, en librairie. C'est là aussi que j'ai pu mettre la main sur "Crash" DVD/livre en Folio ciné, jamais rencontré en librairie non plus (et recherché activement pourtant celui-là).Travis a écrit :Le livre est le même, mais je n'arrive pas a acheter un livre dans une grande surface. Sans doute qu'il me faut un environnement bien précis.Je suis d'ailleurs persuadé qu'il y a des différences entre acheter son livre en librairie et acheter son livre au supermarché. Superficiellement c'est la même chose. Mais que la démarche et les conditions matérielles de l'acte seront différentes. Si certains en savent plus là dessus je serais vraiment preneur.
Fin 80 - Début 90, si je voulais acheter un Fleuve Noir, il fallait que j'aille en supermarché, pas en librairie (vu l'hostilité de mon libraire local).Fabien Lyraud a écrit : Je suis d'ailleurs persuadé qu'il y a des différences entre acheter son livre en librairie et acheter son livre au supermarché. Superficiellement c'est la même chose. Mais que la démarche et les conditions matérielles de l'acte seront différentes. Si certains en savent plus là dessus je serais vraiment preneur.
Lensman a écrit :Hum... peux-tu me les décrire?Romain d'Huissier a écrit :Disons une reconnaissance auprès de ceux qui seraient les plus à même de faire connaître l'oeuvre en question. Les "décideurs" du milieu en quelque sorte. Bref ceux qui ont le pouvoir de communication et de publication. (après je connais mal le milieu littéraire professionnel et je dis donc sans doute des conneries)Le reconnaissance qu'elles devraient avoir... vis à vis de qui, que l'on considèrerait comme l'instance respectable et respectée de la reconnaissance?
Oncle Joe
(après je connais mal le milieu littéraire professionnel et je dis donc sans doute des conneries)
