J'aime bien cette idée.Poum Poum Pouloum a écrit :On pourrait même imaginer que tous les exemplaires publiés sont intriqués...la première personne à lire le livre jusqu'à la fin détruit la superposition d'états et impose le résultat de la mesure à tous les autres exemplaires du bouquin : ça pourrait inciter à se jeter dessus.MF a écrit :Le roman se situe dans la post-singularité vingienne, nous avons affaire, pour le moins à une transhumaine et, partant, l'auteur bloqué dans son imaginaire par la singularité ne peut qu'échafauder un corpus complet d'hypothèses soumis aux lois de l'incertitude quantique.
Tant que le livre n'est pas complétement lu, le statut des décisions découlant du scénario quantique reste indéterminé.
Le lecteur n'a entre les mains que la fonction d'onde du roman (même la mise en page fluctue ! mais ne coule pas) et seule la réduction du paquet d'onde déclenchée par la lecture de la lettre N du mot FIN (conseil aux auteurs de ce type de roman : ne jamais, JAMAIS, utiliser le mot FIN DANS le roman !) permettra au lecteur ébaubi de savoir si la sal^pe de succube couche, ou pas, avec le mec beau comme un dieu.
(oui, je sais, on s'en fout)