SF : Définitions
Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
- Steve_Austin
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- Eric
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A noter, désolé Jean, que Einstein détestait la SF qu'il considérait comme une perversion des messages scientifiques, qui donnait une fausse impression de comprendre des théories complexe.
Il disait : "Je ne pense jamais au futur. Il arrive bien assez tôt."
Il disait : "Je ne pense jamais au futur. Il arrive bien assez tôt."
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
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Pour moi, la SF est vraiment une littérature ouverte.
On y trouve de tout dans des cadres plus ou moins futuristes, que ce soit des romans d'aventure, du polar, des histoires d'amour et bien sur des romans qui sous couvert d'un décor dans le futur nous parle essentiellement des dérives de notre présent.
La SF, c'est autant une invitation au rêve qu'à la réflexion. Même si sans doute aujourd'hui on rêve plus qu'on ne réfléchit...
On y trouve de tout dans des cadres plus ou moins futuristes, que ce soit des romans d'aventure, du polar, des histoires d'amour et bien sur des romans qui sous couvert d'un décor dans le futur nous parle essentiellement des dérives de notre présent.
La SF, c'est autant une invitation au rêve qu'à la réflexion. Même si sans doute aujourd'hui on rêve plus qu'on ne réfléchit...
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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- jlavadou
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Entièrement d'accord. On peut avoir l'un et l'autre, l'un ou l'autre, mais pas ni l'un ni l'autre. C'est d'ailleurs le mot "rêve", dans le titre du premier roman que j'ai lu de mon plein gré, qui a déclenché mon goût pour le fantastique et la SF.jerome a écrit :La SF, c'est autant une invitation au rêve qu'à la réflexion.
Si on rêve qu'on réfléchit, est-ce qu'on peut considérer qu'on réfléchit plus qu'on ne rêve vu qu'on peut réfléchir quand on ne rêve pas ?Même si sans doute aujourd'hui on rêve plus qu'on ne réfléchit...