Ah non ! Je ne pourrai pas rigoler en même temps, car je ne suis pas masochiste (les femmes maîtrisent mal la syntaxe).Le_navire a écrit :Au hasard ?
Vous voir prendre un coup mal placé et vous regarder souffrir en rigolant.
Oncle Joe
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:lol:moi aussi, j'adorerais placer la ponctuation à coup de tatanes, des fois...Lensman a écrit :Ah non ! Je ne pourrai pas rigoler en même temps, car je ne suis pas masochiste (les femmes maîtrisent mal la syntaxe).Le_navire a écrit :Au hasard ?
Vous voir prendre un coup mal placé et vous regarder souffrir en rigolant.
Oncle Joe
C'était pas fait pour rire, parce que ton propos est quand même bien douteux.Le_navire a écrit : @Erion: Tu me dis où je dois rire, là, j'ai pas suivi.
Rhôôôôôô, LN, t'es incurable ! On-te-l'a-dit-et-ré-pé-tééé : ce que dit l'auteur, on s'en carre. C'est le style qui compte, bordel. Le style !Le_navire a écrit :Et c'est vraiment, mais alors vraiment très con, en plus. Non, pardon, Lem, mais là, je suis censé dire quoi exactement ? C'est ça le féminisme ? C'est d'une bêtise crasse, et caricatural jusqu'au ridicule.Lem a écrit :Spécialement pour toi, cet extrait d'un papier MH intitulé L'humanité, second stade. C'est une sorte de réponse à ta question :Le_navire a écrit :Le féminisme ne fait pas partie des valeurs humanistes ?
On ne me dit rien, à moi.Trente ans après les débuts du féminisme "grand public", les résultats sont consternants. Non seulement les femmes sont massivement entrées dans le monde de l'entreprise, mais elles y accomplissent l'essentiel des tâches (tout individu ayant effectivement travaillé sait à quoi s'en tenir sur la question : les employés masculins sont bêtes, paresseux, querelleurs, indisciplinés, incapables en général de se mettre au service d'une tâche collective quelconque). Le marché du désir ayant considérablement étendu son empire, elles doivent parallèlement, et parfois pendant plusieurs dizaines d'années, se consacrer à l'entretien de leur "capital-séduction", dépensant une énergie et des sommes folles pour un résultat dans l'ensemble peu probant (les effets du vieillissement restant grosso modo inéluctables). N'ayant nullement renoncé à la maternité, elles doivent en dernier lieu élever seules le ou les enfants qu'elles ont réussi à arracher aux hommes ayant traversé leur existence – lesdits hommes les ayant entre-temps quittées pour une plus jeune ; encore bien heureuses lorsqu'elles réussissent à obtenir le versement de la pension alimentaire. En résumé, l'immense travail de domestication accompli par les femmes au cours des millénaires précédents afin de réprimer les penchants primitifs de l'homme (violence, baise, ivrognerie, jeu) et d'en faire une créature à peu près susceptible d'une vie sociale s'est trouvé réduit à néant en l'espace d'une génération.
Euh, après quelques années d'auto-analyse, je peux dire "et inversement" ?Le_navire a écrit :Je t'aime, toi.marypop a écrit :Y a quoi de rigolo à être une femme ?
mmm ... laisse moi donc pirouetter : y a quoi de rigolo à être un homme ?
Mon féminisme à moi est simple : la femme est un homme comme les autres.
On peut pisser debout (sans s'en mettre plein les chaussure ; encore que des fois...).marypop a écrit :mmm ... laisse moi donc pirouetter : y a quoi de rigolo à être un homme ?
N'empêche qui si Houellebecq était une femme, il aurait moins de succès : une femme philosophe humoriste, ça le fait pas (ou alors, genre Hannah Arendt, et là, c'est la prise de tête...)Aldaran a écrit :Rhôôôôôô, LN, t'es incurable ! On-te-l'a-dit-et-ré-pé-tééé : ce que dit l'auteur, on s'en carre. C'est le style qui compte, bordel. Le style !
Mouhahahahaha !!
J'en connais qui, mais je ne dénoncerai pas mes copines.thomasday a écrit :On peut pisser debout (sans s'en mettre plein les chaussure ; encore que des fois...).marypop a écrit :mmm ... laisse moi donc pirouetter : y a quoi de rigolo à être un homme ?
Tu m'as jamais vu quand je drague.thomasday a écrit :Personne ne vous drague lourdement (ou disons plutôt que c'est très rare et généralement l'oeuvre d'un homme plus âgé)
Hum. Non, rien. Suis-je représentative de ma génération post-soixante-huitarde ?thomasday a écrit :Personne ne vous met la main aux fesses dans le métro.
Non, n'en parle pas, là, tu vas nous faire du mal...thomasday a écrit :Et je ne parle pas des règles et de la ménopause.
Et je dirais même plus.thomasday a écrit :On peut pisser debout (sans s'en mettre plein les chaussure ; encore que des fois...).marypop a écrit :mmm ... laisse moi donc pirouetter : y a quoi de rigolo à être un homme ?
Personne ne vous drague lourdement (ou disons plutôt que c'est très rare et généralement l'oeuvre d'un homme plus âgé)
Personne ne vous met la main aux fesses dans le métro.
Et je ne parle pas des règles et de la ménopause.
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L'auteur, on s'en carre, le style aussi. C'est le sens qui prime. Le style n'existe que pour être au service du sens. C'est ce que tout sémioticien normalement constitué dirait.Rhôôôôôô, LN, t'es incurable ! On-te-l'a-dit-et-ré-pé-tééé : ce que dit l'auteur, on s'en carre. C'est le style qui compte, bordel. Le style !
Mouhahahahaha !!