Le site Scifi-Universe a interviewé Stéphane Marsan. Une interview vidéo qui se trouve ici.
Il parle notamment du numérique chez Bragelonne qui a pas mal de projets de ce côté là.
Stéphane Marsan, les projets Bragelonne et le numérique
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jerome
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Stéphane Marsan, les projets Bragelonne et le numérique
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
Très bonne interview.
"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
http://melkine.wordpress.com/
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Je vois pas en quoi c'est un gag.
D'après ce que je sais :
- Nombre d'ouvrages lors du lancement plus que correct, avec du fond comme de l'inédit;
- Prix corrects (y en aura toujours pour râler mais je pense pas qu'ils ne peuvent aller plus bas sans les agents étrangers ne mettent un contrat sur leurs têtes);
- Format correct (ePub je crois);
- Stuff DRM;
- Ca va arriver beaucoup plus vite que vous ne le pensez.
D'après ce que je sais :
- Nombre d'ouvrages lors du lancement plus que correct, avec du fond comme de l'inédit;
- Prix corrects (y en aura toujours pour râler mais je pense pas qu'ils ne peuvent aller plus bas sans les agents étrangers ne mettent un contrat sur leurs têtes);
- Format correct (ePub je crois);
- Stuff DRM;
- Ca va arriver beaucoup plus vite que vous ne le pensez.
ai visionné la moitié de chaque vidéo (pas de mon fait d'ailleurs : la lecture s'arrête net sans raison).
c'est quand même très agréable d'écouter cette interview. Sur la critique il n'a pas tort. En France il y a la littérature (généralement chiante pour le lecteur lambda) et le reste (la sous littérature, la littérature de genre, les best sellers aussi). la critique met dans le même sac des livres qui n'ont pas beaucoup de points communs mais qu'il est de bon ton de mépriser...
c'est quand même très agréable d'écouter cette interview. Sur la critique il n'a pas tort. En France il y a la littérature (généralement chiante pour le lecteur lambda) et le reste (la sous littérature, la littérature de genre, les best sellers aussi). la critique met dans le même sac des livres qui n'ont pas beaucoup de points communs mais qu'il est de bon ton de mépriser...
Malheureusement, les progrès de la science sont souvent comme une hache dans les mains d’un criminel pathologique - Albert Einstein
Salut,
En France, dans les années 70, on trouvait dans Fiction des critiques des bouquins parus au Fleuve Noir, mais celles-ci ne faisaient guère qu'un quart de page, sans plus, et il ne serait venu à l'esprit d'aucun auteur de ce genre de s'en plaindre. Le roman de gare c'était le roman de gare. Chacun son rôle (quitte à oeuvre sur divers plans malgré tout).
Maintenant, il est de bon ton de taper sur la critique parce qu'elle ne critique pas assez la littérature dite "populaire".
Mais quel est l'intérêt d'écrire des critiques sur des bouquins qui sont publiés par tonnes, qui ne souffrent d'aucun problème de distribution et donc d'accès au public?
Bref, Marsan, nouvel éditeur de la Ligue de l'Imaginaire? Des Caliméro aux poches pleines?
A+
Patrice (qui fournit les cacahouètes).
Ca n'est pas tout à fait comme ça que je le vois.Lhisbei a écrit :ai visionné la moitié de chaque vidéo (pas de mon fait d'ailleurs : la lecture s'arrête net sans raison).
c'est quand même très agréable d'écouter cette interview. Sur la critique il n'a pas tort. En France il y a la littérature (généralement chiante pour le lecteur lambda) et le reste (la sous littérature, la littérature de genre, les best sellers aussi). la critique met dans le même sac des livres qui n'ont pas beaucoup de points communs mais qu'il est de bon ton de mépriser...
En France, dans les années 70, on trouvait dans Fiction des critiques des bouquins parus au Fleuve Noir, mais celles-ci ne faisaient guère qu'un quart de page, sans plus, et il ne serait venu à l'esprit d'aucun auteur de ce genre de s'en plaindre. Le roman de gare c'était le roman de gare. Chacun son rôle (quitte à oeuvre sur divers plans malgré tout).
Maintenant, il est de bon ton de taper sur la critique parce qu'elle ne critique pas assez la littérature dite "populaire".
Mais quel est l'intérêt d'écrire des critiques sur des bouquins qui sont publiés par tonnes, qui ne souffrent d'aucun problème de distribution et donc d'accès au public?
Bref, Marsan, nouvel éditeur de la Ligue de l'Imaginaire? Des Caliméro aux poches pleines?
A+
Patrice (qui fournit les cacahouètes).
Salut,
A+
Patrice
Le gag est juste là.Kettch a écrit :Je vois pas en quoi c'est un gag.
D'après ce que je sais :
- Nombre d'ouvrages lors du lancement plus que correct, avec du fond comme de l'inédit;
- Prix corrects (y en aura toujours pour râler mais je pense pas qu'ils ne peuvent aller plus bas sans les agents étrangers ne mettent un contrat sur leurs têtes);
- Format correct (ePub je crois);
- Stuff DRM;
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Patrice
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Poum Poum Pouloum
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Bon ok, je fournis les bières pour aller avec les cacahuètes (Chimay bleue ça vous va ? )Lensman a écrit :... ou le mot "métaphysique"?kibu a écrit :On va bien se marrer...
Moi, quand on prononce le mot "critique", ça me fait le même effet que lorsque l'on dit le mot "fandom".
ça veut tout dire et rien.
Mais qu'est-ce qu'on se marre...
Oncle Joe
un petit peu de cacahuètes ?Patrice a écrit :Salut,
Maintenant, il est de bon ton de taper sur la critique parce qu'elle ne critique pas assez la littérature dite "populaire".
Mais quel est l'intérêt d'écrire des critiques sur des bouquins qui sont publiés par tonnes, qui ne souffrent d'aucun problème de distribution et donc d'accès au public?
Bref, Marsan, nouvel éditeur de la Ligue de l'Imaginaire? Des Caliméro aux poches pleines?
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Patrice (qui fournit les cacahouètes).
il n'y a pas d'intérêt d'écrire des critiques sur des bouquins publiés par tonnes (enfin si j'ai bien tout compris dans les littératures de l'imaginaire ce sont plutôt des kg que des tonnes) qui "trouvent" leur public. par contre il y aurait un intérêt à critiquer des livres publiés dans des collections spécialisées et plutôt mal ou peu distribués (je cite rivière blanche avec les cahuètes?). ce que la critique officielle ne fait pas et ne fera pas parce qu'il est de bon ton de mépriser les littératures de l'imaginaire (ce n'est pas de la littérature ), toutes les littératures de l'imaginaire : populaire ou "élitiste", roman de gare ou plus littéraire... Bragelonne n'est peut être pas le plus mal loti mais je n'ai pas l'impression que Stéphane Marsan parlait uniquement de Bragelonne. son constat valait pour tous. et je trouve qu'il a raison (même si dire que Marsan / Bragelonne ne fait pas et ne dit pas que des conneries c'est comme parler de Werber c'est mal vu).
kibu : t'as de la bière au frais au moins ?
Malheureusement, les progrès de la science sont souvent comme une hache dans les mains d’un criminel pathologique - Albert Einstein