Une étude américaine aurait montré qu'il y avait plus de brillants scientifiques chez les dyspraxiques, qui sont donc mauvais en lettres.Jean-no a écrit :Ce qui m'étonne c'est que certaines filières autrefois très marqués socialement, comme le métier d'ingénieur, aient à présent des recrues (un peu) illettrées (grandes écoles über-sélectives mises à part). Mais c'est moins grave, pour moi, que de voir que les étudiants des filières littéraires ont le même problème. Mais peut-être suis-je juste un vieux con qui voit du déclin partout...
Peut-être que, juste, enfin, les scientifiques ont le droit d'accéder à leur domaine de compétences sans qu'on leur barre la route pour des questions littéraires ?
(Zut, suis en train de faire un nouveau post...)
On a trop eu tendance à considérer que l'élite était celle qui maîtrisait la langue, alors que c'est qu'une question de bol.