fais gaffe à ta langue tout de même, il semblerait que les fessiers de dumay et Girard soient hors du commun...^^Nébal a écrit :Gilles Dumay et Olivier Girard - je ne pourrai parler que pour ces deux-là - ont tous deux publié d'excellents livres dans leurs maisons d'édition respectives, qui figurent parmi les plus intéressantes à l'heure actuelle sur la scène de l'imaginaire francophone - je confèrerais même volontiers la première place à Lunes d'encre, ainsi que j'ai déjà eu l'occasion de l'écrire à plusieurs reprises (smack) - et ce malgré le Razzie de l'incompétence éditoriale qui lui a été décerné (mais il faudrait également mentionner de très bonnes publications chez Denoël en dehors de cette collection).silramil a écrit :Le concept du prix bisounours, tel que je l'avais en tête, était un poil plus élaboré : indiquer tout ce qu'ont fait de bien l'année dernière les organisateurs du prix razzie. Sans ironie. Simplement pour leur donner la publicité qu'ils méritent, mais qu'ils cherchent en empruntant le côté obscur. Et on verra quel effet cela produit.
PS : sans ironie.
Le premier, sous le nom de plume de Thomas Day, a par ailleurs livré de très bonnes nouvelles (kiss). J'ajouterai que j'aime beaucoup ses critiques dans Bifrost, évidemment la meilleure revue française consacrée aux littératures de l'imaginaire, et dont le rédacteur en chef n'est autre qu'Olivier Girard (biz).
Evidemment, après avoir écrit ça, difficile de ne pas conclure sur un "sluuuuuurp" de bon aloi ; pourtant, je pense tout ce que j'ai écrit. Sans ironie.
hop, je tiens Dumay pour un excellent directeur littéraire, également
commercialement c'est une autre paire de manches
littérairement, il me gonfle
humainement, c'est une encore autre galaxie