Parmi eux Olivier Girard du Bélial' qui n'a pas trop aimé 2010.
Extrait :
1- Quel bilan éditorial tirez-vous de l'année 2010 ?
Olivier Girard : 2010 fut une année merdique comme rarement (en quinze ans d'existence du Bélial', on a jamais vu un tel calme en librairies). Ceci dit, nous tirons pas trop mal notre épingle du jeu dans un contexte aussi morose... Le problème majeur, à savoir l'absence de public en librairies, est aggravé par une surproduction éditoriale grotesque et une offre d'une qualité d’ensemble affligeante. Bref, nous sommes aujourd'hui en 2011 et, pour ma part, je ne regretterais pas 2010.
Reste à espérer que cette nouvelle année sera plus propice, ce qui est loin d'être évident...