C'est une info de Christian Grenier
Marcelle Perriod est décédée le 22 janvier 2011. Jean-Louis Fraysse et elle écrivaient sous le pseudonyme de Michel Grimaud. On leur doit notamment le superbe Malakansar et La Dame de Cuir.
On avait pu les interviewer en 2008.
Le décès de Marcelle Perriod
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jerome
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Le décès de Marcelle Perriod
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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Soslan
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Ah p*, le choc. Pour une fois que c'est un auteur que je connais, et qu'en plus j'adore (je fais allusion à mes lectures de Grimaud bien sûr).
Le cafard pour la soirée au moins.
Condoléances à Jean-Louis Fraysse et à la famille.
Le cafard pour la soirée au moins.
Condoléances à Jean-Louis Fraysse et à la famille.
"La Lune commence où avec le citron finit la cerise" (André Breton)
http://karelia.over-blog.com/
Et pour ne pas faire que ma propre promo :
http://musardises.moonfruit.fr/
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Et pour ne pas faire que ma propre promo :
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Je me permets de reprendre le faire part publié par nos amis de SFF:
Marcelle Perriod est décédée le 22 janvier 2011.
Jean-Louis Fraysse et elle écrivaient sous le pseudonyme de Michel
Grimaud.
Ils ont consacré leur vie à la littérature en général et à la
littérature jeunesse en particulier.
Militants de la première heure, ils ont fait partie, en 1975, des
premiers signataires de la Charte ( des auteurs et illustrateurs
jeunesse). Leur production, riche d’une cinquantaine d’ouvrages,
touche de nombreux domaines : les problèmes de société ( Le Paradis
des autres, Rageot, 1973 ; Les larmes de la Terre, R. Laffont 1973 ),
le roman policier ( Cache-cache mortel, Galllimard 2003 ) et la
science-fiction – tant pour les adultes ( Malakansar, Denoël 1981 )
que pour les jeunes ( La ville hors du temps, Gallimard , 1999 )
La sincérité de leur engagement et leur écriture exigeante leur ont
permis de cumuler de nombreux prix, notamment le Gd Prix de la
Littérature Jeunesse avec Le Passe-Monde ( La Farandole, 1986 ) le Gd
Prix de la Science-Fiction française avec Le tyran d'Axilane
( Gallimard, 1982 ).
Passionnée de musique, Marcelle jouait du piano ; elle avait été
l’élève de Samson François.
Nos pensées vont tout particulièrement à son mari Jean-Louis ainsi
qu’à ses enfants Dominique et Isabelle, et à leur petite-fille Alice.
Christian Grenier
Marcelle Perriod est décédée le 22 janvier 2011.
Jean-Louis Fraysse et elle écrivaient sous le pseudonyme de Michel
Grimaud.
Ils ont consacré leur vie à la littérature en général et à la
littérature jeunesse en particulier.
Militants de la première heure, ils ont fait partie, en 1975, des
premiers signataires de la Charte ( des auteurs et illustrateurs
jeunesse). Leur production, riche d’une cinquantaine d’ouvrages,
touche de nombreux domaines : les problèmes de société ( Le Paradis
des autres, Rageot, 1973 ; Les larmes de la Terre, R. Laffont 1973 ),
le roman policier ( Cache-cache mortel, Galllimard 2003 ) et la
science-fiction – tant pour les adultes ( Malakansar, Denoël 1981 )
que pour les jeunes ( La ville hors du temps, Gallimard , 1999 )
La sincérité de leur engagement et leur écriture exigeante leur ont
permis de cumuler de nombreux prix, notamment le Gd Prix de la
Littérature Jeunesse avec Le Passe-Monde ( La Farandole, 1986 ) le Gd
Prix de la Science-Fiction française avec Le tyran d'Axilane
( Gallimard, 1982 ).
Passionnée de musique, Marcelle jouait du piano ; elle avait été
l’élève de Samson François.
Nos pensées vont tout particulièrement à son mari Jean-Louis ainsi
qu’à ses enfants Dominique et Isabelle, et à leur petite-fille Alice.
Christian Grenier
rééditer la SF des Grimaud ?
Michel Grimaud ? Un auteur(e) bicéphale sympathique que j'avais eu l'occasion de croiser aux Imaginales en 2004.
Il serait temps de songer à rééditer « Le Tyran d'Axilane », en jeunesse, et, pour les adultes, « La dame de cuir », belle parabole romantique sur la xénophobie, et surtout le superbe « Malakansâr », un roman initiatique de toute beauté.
Il serait temps de songer à rééditer « Le Tyran d'Axilane », en jeunesse, et, pour les adultes, « La dame de cuir », belle parabole romantique sur la xénophobie, et surtout le superbe « Malakansâr », un roman initiatique de toute beauté.