Mais plus que la place dans les rayonnages, je reste convaincu (en lehmano-wagnerien pratiquant) que la SF n'est pas une littérature accessible, ou en tout cas analysable, sans un appareil critique idoine. Les polardeux ont réussi à imposer cette idée dans la culture mainstream, et lorsqu'on lit aujourd'hui une critique de polar dans la presse généraliste, c'est bien selon une grille de lecture particulière que le livre est analysé. Ça n'est, hélas, pas encore le cas pour la SF.Lensman a écrit :Eric:
Non seulement il n'y aucun mal à ce que ce soit un genre, et à supposer même que ça n'en soit pas un (pour faire plaisir à Georges), la SF a tout à gagner à ce que l'on croit que c'en est un, ne serait ce que par la place cchez les libraires, le caractère commode des étiquettes qui permettent largement aux lecteurs de trouver plus aisément les textes susceptibles de l'ntéresser, la possiblité de faire des festivals, conférence, etc. sur le genre (ou pseudo-genre), de rencontrer des gens marrants sur les forums consacrés au genre (qui n'existerait pas), etc.
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Sur ce critère là, je t'accorde que l'entité SF, qui existe, comme le Romantisme, le Surréalisme et un certain nombre d'écoles artistiques, nécessite effectivement un appareil critique adapté, et que le principal reproche que méritent réellement les auteurs de "littgen" qui utilisent des thèmes ou des objets "SF est effectivement la méconnaissance des règles et bases formelles de la SF; Et faute de ces bases, leurs oeuvres ne sont PAS de la SF, que ce soit Globalia de Rufin qui, de toute manière, récuse l'étiquette et prétend utiliser des outils SF sans écrire de la SF, ou Shikasta, de Doris Lessing, qui a pourtant été publiée par son auteur avec l'étiquette (ajoutons que Doris Lessing a écrit de la vraie SF avec Les expériences syriennes, 3° volet de Canopus in Argo, remake, réussi, de Shikasta).Eric a écrit :Mais plus que la place dans les rayonnages, je reste convaincu (en lehmano-wagnerien pratiquant) que la SF n'est pas une littérature accessible, ou en tout cas analysable, sans un appareil critique idoine. Les polardeux ont réussi à imposer cette idée dans la culture mainstream, et lorsqu'on lit aujourd'hui une critique de polar dans la presse généraliste, c'est bien selon une grille de lecture particulière que le livre est analysé. Ça n'est, hélas, pas encore le cas pour la SF.Lensman a écrit :Eric:
Non seulement il n'y aucun mal à ce que ce soit un genre, et à supposer même que ça n'en soit pas un (pour faire plaisir à Georges), la SF a tout à gagner à ce que l'on croit que c'en est un, ne serait ce que par la place cchez les libraires, le caractère commode des étiquettes qui permettent largement aux lecteurs de trouver plus aisément les textes susceptibles de l'ntéresser, la possiblité de faire des festivals, conférence, etc. sur le genre (ou pseudo-genre), de rencontrer des gens marrants sur les forums consacrés au genre (qui n'existerait pas), etc.
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Le rôle important de l'intertextualité dans la SF permet de distinguer immédiatement une oeuvre de "para-SF" (oeuvre écrite par un non-participant à l'"école" SF) d'une oeuvre de "vraie SF".
Le problème est le même pour les romans policiers, effectivement. Avec le problème que les critiques "littéraires" acceptent d'apprendre l'appareil critique adapté au polar, et prétendent se passer de celui de la SF... Mais cela passe, finalement, par la disparition du ghetto, non?
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D’un autre coté, lire de la littérature de genre à souvent un coté péjoratif, dévalorisant et c’est une réaction phycologique habituelle que de ne pas vouloir l’admettre. Comment moi, lire une littérature de genre, absolument pas, je lis de la LITERAURE un point c’est tout. C’est souvent cette réaction qui pousse les même a refuser les étiquettes, a trouver bien meilleur un livre de SF publié hors genre (qui peut-être, serait dédaigné dans une collection des SF ), a rejeter les milieux spécialisés.. etc.. etc.…Eric a écrit :+1Lensman a écrit :Si, elle est passée, mais elle est fausse...
En plus, la SF, c'est davantage qu'un genre. Mais c'en est un aussi.
Oncle Joe
Et en plus, quel mal il y aurait à ce que cela soit un genre ?
Le polar en est bien un, sans pour autant qu'on lui conteste cette privauté. C'est même d'ailleurs en s'assumant en tant que tel qu'il a acquis ses lettres de noblesses, et accessoirement une sacrée place dans les rayonnages des librairies.
Perso, je trouve cela assez puéril – oui, je lis une littérature de genre. Non, je ne me pose pas la question de savoir si cela compte ou pas dans l’histoire littéraire. C’est la littérature que j’aime, celle qui me motive, bonne, ou mauvaise, point barre !
Mais bon, chacun sa façon de voir et de réagir!
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C'est effectivement un emploi incorrect et péjoratif du mot genre que font les académicanthropes et autres snobinards germanopratins en parlant d'une prétendue "littérature de genre", variante xylolinguistique de la "littérature populaire" ou vulgaire. Et bien sûr il n'y a pas une "bonne littérature" et une "littérature vulgaire", il n'y a qu'une LITTéRATURE, avec de bonnes oeuvres (parfois même dans la littgen) et des oeuvres ratées ou volontairement mauvaises (même dans les écoles élitistes comme le Surréalisme, la SF ou les transfictions).Papageno a écrit : D’un autre coté, lire de la littérature de genre à souvent un coté péjoratif, dévalorisant et c’est une réaction phycologique habituelle que de ne pas vouloir l’admettre. Comment moi, lire une littérature de genre, absolument pas, je lis de la LITERATURE un point c’est tout. C’est souvent cette réaction qui pousse les même a refuser les étiquettes, a trouver bien meilleur un livre de SF publié hors genre (qui peut-être, serait dédaigné dans une collection des SF ), a rejeter les milieux spécialisés.. etc.. etc.…
Perso, je trouve cela assez puéril – oui, je lis une littérature de genre. Non, je ne me pose pas la question de savoir si cela compte ou pas dans l’histoire littéraire. C’est la littérature que j’aime, celle qui me motive, bonne, ou mauvaise, point barre !
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Ceci étant, NON, nous ne lisons pas une "littérature de genre" parce que, de toute manière, il n'EXISTE PAS de littératures autres que la seule littérature qui existe, et qui mériteraient ce nom d'oiseau...
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Mais ce n'est pas tout à fait vrai, et une fois encore, je m'appuie sur l'exemple du polar. Et pour répondre à Georges, oui, ça passe en partie par la sortie du placard.
J'ai le sentiment, mais je peux me tromper, que si le polar est un genre devenu fréquentable, c'est qu'il a eu Patrick Manchette, et que nous autres, pauvres essefeux, attendons encore le nôtre. Peut-être aussi que le polar n'a pas cette fierté mal placée d'être dans un ghetto et qui débouche si souvent sur un très autocomplaisant sentiment d'exclusion qu'il est si bon d'entretenir.
J'ai le sentiment, mais je peux me tromper, que si le polar est un genre devenu fréquentable, c'est qu'il a eu Patrick Manchette, et que nous autres, pauvres essefeux, attendons encore le nôtre. Peut-être aussi que le polar n'a pas cette fierté mal placée d'être dans un ghetto et qui débouche si souvent sur un très autocomplaisant sentiment d'exclusion qu'il est si bon d'entretenir.
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Avant Manchette, il y avait eu Simenon, publié par la NRF en collections blanches.Eric a écrit :Mais ce n'est pas tout à fait vrai, et une fois encore, je m'appuie sur l'exemple du polar. Et pour répondre à Georges, oui, ça passe en partie par la sortie du placard.
J'ai le sentiment, mais je peux me tromper, que si le polar est un genre devenu fréquentable, c'est qu'il a eu Patrick Manchette, et que nous autres, pauvres essefeux, attendons encore le nôtre. Peut-être aussi que le polar n'a pas cette fierté mal placée d'être dans un ghetto et qui débouche si souvent sur un très autocomplaisant sentiment d'exclusion qu'il est si bon d'entretenir.
En SF, il aurait pu y avoir Barjavel, et le "Manchette" actuel aurait été Werber, sans les rapports disons variables (litote de politesse) que le premier a eus et que le second a avec le "milieu" SF. Lequel "milieu" a donc une part de responsabilité dans la situation.
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Mais justement, pour moi, Barjavel, c'est LE mauvais exemple de pénétration de la SF dans la litt'gen. Parce que ce n'est pas de la littérature de genre. Si tu prends l'exemple de Ravage, il ne respecte aucun des codes de la SF ou du merveilleux scientifique. Aucune explication scientifique, justement, aucune logique technicienne et même aucune cohérence prospective (pour ce que ça pouvait valoir à l'époque). On est aux anitpodes de ce qu'un Heinlein pouvait produire sensiblement à la même époque. C'est, comme je l'avais dit dans ma chronique, la dernière borne fréquentable pour le non-lecteur/détracteur de SF, avant la disqualification en littérature de genre. Et si Barjavel a été si étudié en milieu scolaire, c'est parce que ses romans s'analysent justement selon une grille non-spécifique.
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Bon, je récuse l'expression "littérature de genre". Et Ravage respecte les règles existantes en France après Rosny Ainé, Renard, Spitz, Magog, Moselli, etc.... Que Barjavel n'ait pas lu les pulps américains et ne s'intègre pas dans la SOUS-école (au sens de sous-ensemble, sans connotation de valeur) américaine ne justifie pas le moins du monde l'exclusion prononcée à son encontre par le "milieu", excommunication que j'espère voir DéFINITIVEMENT rapportée à Nyons dans deux mois. Ceci étant Ravage ou Le Voyageur imprudent supportent parfaitement l'usage de la grille spécifique, adaptée au roman français avant 1950. Même si les derniers romans de Barjavel marquent plutôt une régression qu'un progrès, mais là c'est un autre problème.... Pas du tout d'accord avec ton analyse.Eric a écrit :Mais justement, pour moi, Barjavel, c'est LE mauvais exemple de pénétration de la SF dans la litt'gen. Parce que ce n'est pas de la littérature de genre. Si tu prends l'exemple de Ravage, il ne respecte aucun des codes de la SF ou du merveilleux scientifique. Aucune explication scientifique, justement, aucune logique technicienne et même aucune cohérence prospective (pour ce que ça pouvait valoir à l'époque). On est aux antipodes de ce qu'un Heinlein pouvait produire sensiblement à la même époque. C'est, comme je l'avais dit dans ma chronique, la dernière borne fréquentable pour le non-lecteur/détracteur de SF, avant la disqualification en littérature de genre. Et si Barjavel a été si étudié en milieu scolaire, c'est parce que ses romans s'analysent justement selon une grille non-spécifique.
Comme écrit dans le message précédent: pour qie la SF puisse être intégrée dans la population littéraire générale, il faudrait aussi que les ghettoïstes juifs fondamentalistes de la SF acceptent les règles d'intégration.
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Euh... t'es sûr que l'image est bien choisi?bormandg a écrit : les ghettoïstes juifs fondamentalistes
Y en a un qui vient de se faire éclater le crâne à coups de barres de fer à cause de son identité religieuse un peu trop visible...
Il est bien ce fil.
On passe tout en revue: Aubenque, la critique, la SF comme genre... ça va bientôt en arriver à la définition de la SF, et on aura fait le tour.
Je viens de comprendre pourquoi je ne serai jamais un bon critique de SF, ni même un critique tout court. Je le savais déjà, du reste...
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C'est vrai que les amateurs de SF n'en sont pas encore là, en France du moins (en Argentine, l'antiSFisme de la junte a effectivelment atteint ce niveau. Je n'ai pas la liste complète, mais le nom d'Oesterheld me vient tout de suite.systar a écrit :Euh... t'es sûr que l'image est bien choisi?bormandg a écrit : les ghettoïstes juifs fondamentalistes
Y en a un qui vient de se faire éclater le crâne à coups de barres de fer à cause de son identité religieuse un peu trop visible...
C'est vrai que changer de fil est pardois utile; envoyer des remarques sur le ghetto à un fil qui s'appelle Aubenque...systar a écrit : Il est bien ce fil. On passe tout en revue: Aubenque, la critique, la SF comme genre... ça va bientôt en arriver à la définition de la SF, et on aura fait le tour.
Je viens de comprendre pourquoi je ne serai jamais un bon critique de SF, ni même un critique tout court. Je le savais déjà, du reste...
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Oula, je sens qu'on s'emballe. Ce n'est pas la SF qui était attaquée par la junte militaire, me semble-t-il, mais bien tous les arts qui (défonçage de porte ouverte) (ou élévation à la clarté de l'évidence -merci Systar) donnent matière à réfléchir aux gens / peuple / mec lambda. Donc par là même est dangereux pour le pouvoir en place.bormandg a écrit : C'est vrai que les amateurs de SF n'en sont pas encore là, en France du moins (en Argentine, l'antiSFisme de la junte a effectivelment atteint ce niveau. Je n'ai pas la liste complète, mais le nom d'Oesterheld me vient tout de suite.
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Ce n'est pas en tant que séfarade que le jeune juif a été massacré... La SF fait partie des arts qui donnent à réfléchir (enfin la partie fiction spéculative), donc était incluse dans l'antiartistisme de la junte.Charlotte a écrit :Oula, je sens qu'on s'emballe. Ce n'est pas la SF qui était attaquée par la junte militaire, me semble-t-il, mais bien tous les arts qui (défonçage de porte ouverte) (ou élévation à la clarté de l'évidence -merci Systar) donnent matière à réfléchir aux gens / peuple / mec lambda. Donc par là même est dangereux pour le pouvoir en place.bormandg a écrit : C'est vrai que les amateurs de SF n'en sont pas encore là, en France du moins (en Argentine, l'antiSFisme de la junte a effectivelment atteint ce niveau. Je n'ai pas la liste complète, mais le nom d'Oesterheld me vient tout de suite.
Ceci étant, il est temps de couper le bout de fil qui s'approche dangereusement du point Godwin... Le fil entier devrait peut-être s'arrêter, je crois, l'attraction gravitationnelle du point Godwin est forte, on s'approche dangereusement de l'horizon événementiel...
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Non, juste parce qu'il avait une kippa.bormandg a écrit : Ce n'est pas en tant que séfarade que le jeune juif a été massacré...
Toi t'es pas gêné, c'est toi qui te mets à parler de ghetto juif, et qui remarques ensuite que ça se met à tendre vers le point Godwin... pour réclamer la fermeture du fil!!!La SF fait partie des arts qui donnent à réfléchir (enfin la partie fiction spéculative), donc était incluse dans l'antiartistisme de la junte.
Ceci étant, il est temps de couper le bout de fil qui s'approche dangereusement du point Godwin... Le fil entier devrait peut-être s'arrêter, je crois, l'attraction gravitationnelle du point Godwin est forte, on s'approche dangereusement de l'horizon événementiel...
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Et 100% des gagnants ont tenté leur chance. Exemple abusif, tout ça.bormandg a écrit :La SF fait partie des arts qui donnent à réfléchir (enfin la partie fiction spéculative), donc était incluse dans l'antiartistisme de la junte.
Huum... pour soigner le malade, j'aurai bien une idée, quant à l'organe à sacrifier. Il me semble avoir détecté une certaine tumeur, dans ces dernières pages. Avec une bonne amputation du compte membre, ça ira tout de suite mieux.bormandg a écrit :Ceci étant, il est temps de couper le bout de fil qui s'approche dangereusement du point Godwin... Le fil entier devrait peut-être s'arrêter, je crois, l'attraction gravitationnelle du point Godwin est forte, on s'approche dangereusement de l'horizon événementiel...
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