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Une interview inédite d'Emmanuel Jouanne
Posté : mer. juin 15, 2011 7:30 pm
par Roland C. Wagner
Un pan bien oublié de la science-fiction française moderne sur
Génération SF.
Posté : mer. juin 15, 2011 9:03 pm
par PierrePaul
Merci, Roland. J'ai eu l'impression d'entendre sa voix. Et malgré la difficulté de la relation, le bonhomme me manque.
Vivement la suite.
Posté : jeu. juin 16, 2011 2:24 pm
par Roland C. Wagner
Pareil pour moi, surtout pour la voix. Même si l'interview a sans doute été réalisé à la machine à écrire.
Et voici la suite.
Posté : jeu. juin 16, 2011 6:01 pm
par dracosolis
Il m'aurait bien plu ce type...

Posté : jeu. juin 16, 2011 10:56 pm
par Gérard Klein
dracosolis a écrit :Il m'aurait bien plu ce type...

Je l'aimais beaucoup. Dommage que les lecteurs ne l'aient pas aimé du tout, pas plus en poche qu'en GF.
Posté : ven. juin 17, 2011 10:20 am
par Soslan
Gérard Klein a écrit :dracosolis a écrit :Il m'aurait bien plu ce type...

Je l'aimais beaucoup. Dommage que les lecteurs ne l'aient pas aimé du tout, pas plus en poche qu'en GF.
Ou avec beaucoup de retard : l"hommage du Cafard à l'occasion du décès de cet auteur que je ne connaissais pas du tout de son vivant, m'a fait acheté sa biblio à peu près complète, sur laquelle il ne doit y avoir que
Damier imaginaire et
L'hiver aller-retour que j'ai un peu oublié dans ma PAL depuis. Évidemment, tout ça était de l'occase. Et pour les rencontres auteur/lecteur, c'est un peu râpé.
Posté : ven. juin 17, 2011 10:50 am
par Lensman
Pour les rencontres auteur/lecteur, Emmanuel était parfois, disons, imprévisible et impulsif... il fallait le connaître...
Que de souvenirs d'après-midi et soirées de discussions, autour d'une, non, deux, non, quatre, non seize... bières...
Oncle Joe
Posté : ven. juin 17, 2011 8:45 pm
par Roland C. Wagner
Lensman a écrit :Pour les rencontres auteur/lecteur, Emmanuel était parfois, disons, imprévisible et impulsif... il fallait le connaître...
Que de souvenirs d'après-midi et soirées de discussions, autour d'une, non, deux, non, quatre, non seize... bières...
Oncle Joe
Oh, tu peux aller jusqu'à vingt-quatre — et un litre de pastis pour les faire glisser.
Posté : jeu. juil. 07, 2011 1:52 pm
par Roland C. Wagner
La fin de l'interview.
Extrait :
« “Faire carrière ”, pour un écrivain ? Oh, c'est possible lorsqu'il s'agit moins pour l'auteur de se délivrer de ses obsessions que de délivrer les mortels de leur argent de poche. Un Guy des Cars fait carrière, pas un Jeury ou un Walther. Pour ce qui est de l'œuvre, c'est différent. Je ne crois pas à “l'Œuvre”, au
Magnum Opus regroupant la totalité des écrits, et censé exprimer dans son intégralité l'auteur lui-même. Pour moi, chaque livre est unique, et il n'est possible de le rattacher à d'autres livres que pour autant que le texte lui-même le permette. »