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A paraître en octobre aux éditions Mnémos :

Les Derniers Parfaits de Paul Béorn

(illustration : David Lecossu)

Fragments d'une fantasy antique, collectif


Le Lion de Macédoine - l'intégrale de David Gemmell

(illustration : Alain Brion)

(Source)

Gemmell. L'occasion d'essayer à nouveau.

marie.m a écrit :A paraître en octobre aux éditions Mnémos :

Les Derniers Parfaits de Paul Béorn

(illustration : David Lecossu)

Quelqu'un sait quel est le sujet de ce roman ? Le titre et la couv' m'interpellent.

je n'en sais rien, mais ça m'évoque éventuellement les cathares, de parler de "parfaits"

Avec une croix occitane en dessous, c'est plus que probable, en effet.

Hop, je passe dans la section d'à côté, je clique sur "les projets de Paul Béorn" et je trouve ceci :

Le pitch :
"Une puissante armée cathare attaque par surprise la cité de Maramante. Parmi les captifs réduits en esclavage, quatre réussissent à s'échapper, enchaînés les uns aux autres. Au lieu de fuir, ils prennent une folle décision : traverser Occitania du nord au sud jusqu'en Hispania. Ils arriveront peut-être à temps pour avertir le prince Jean et son armée qui guerroient contre les Maures, avant que l'ennemi ne mette le royaume de France à feu et à sang.
Or personne n'a pénétré dans le mystérieux royaume d'Occitania depuis un demi-siècle. Les cathares s'y sont alliés, dit-on, à des démons aux pouvoirs terrifiants."

précision : ce n'est pas un roman historique. C'est purement un roman de fantasy et d'aventure. Les personnages ont de la magie, ils adorent des dieux à têtes d'animaux et leur univers est rempli de vestiges de "l'Empire premier" enchantés par un pouvoir dont on a perdu les secrets..."

Je joue peut-être trop à Pathfinder JdR, mais ce pays a un gros parfum de Varisie pour moi.

Oph a écrit :Hop, je passe dans la section d'à côté, je clique sur "les projets de Paul Béorn" et je trouve ceci :

Comme quoi, cette section est utile

kibu a écrit :Gemmell. L'occasion d'essayer à nouveau.

Il n'est pas mal , mais Troie lui est largement supérieur à mon avis .

"Une puissante armée cathare…

Dont acte.

Oserai-je dire « Les Cathares actent » ?

(Ah ben oui, je l'ai dit !)

Seul problème mais de taille : les cathares étaient structurellement non-violents.

akhenatonej a écrit :Seul problème mais de taille : les cathares étaient structurellement non-violents.

Dans le résumé cité par oph il est marqué "ce n'est pas un roman historique".

Oui, vu, mais à ce point...

akhenatonej a écrit :Oui, vu, mais à ce point...

Tu as eu l'occasion de lire le roman en avant-première ?

Non, toi oui ?

Mais un texte comme "Une puissante armée cathare attaque par surprise la cité de Maramante. Parmi les captifs réduits en esclavage..." me terrorise littéralement.

Source Wikipedia :

Pour les cathares, l'abstinence de nourriture animale n'est pas une privation. Guilhem Bélibaste, dernier « parfait » cathare connu, a dit à propos des pratiques de privations catholiques : « le jeûne que vous faites vaut autant que le jeûne du loup ». Il s'agit plutôt d’un prolongement de l’interdit du meurtre à toute vie animale. Le catharisme, là encore, se distingue par une certaine radicalité. En effet, tous les animaux, dans la perspective cathare, sont susceptibles d'avoir reçu une âme céleste.
Le végétarisme cathare était un refus de commettre la violence à l'égard d'une créature « ayant du sang », – principe pour eux des « vrais chrétiens » :
« Si un criminel dangereux les attaquait, ils pouvaient se défendre ; tuer la vipère ou le loup. Encore qu'à l'époque du catharisme triomphant, un « parfait » ne l'eût sans doute point fait, car il était aussi grave de tuer une bête « ayant du sang » que de tuer un homme. »
— René Nelli, la vie quotidienne des Cathares du Languedoc au XIIIe siècle.

akhenatonej a écrit :Non, toi oui ?

Mais un texte comme "Une puissante armée cathare attaque par surprise la cité de Maramante. Parmi les captifs réduits en esclavage..." me terrorise littéralement.

Je sais que quand on est un critique littéraire, on dispose automatiquement du savoir permettant de déterminer ce qu'un auteur doit écrire, mais tant qu'on a pas lu une ligne d'un texte, ce serait peut-être bien de partir du principe que l'auteur n'est pas un absolu idiot et qu'il sait ce qu'il fait.
Quand tu auras lu le texte, tu pourras te plaindre. En attendant, aies un peu confiance dans l'auteur.